Examples of using "Flames" in a sentence and their french translations:
On ventile les flammes.
Elle se met rapidement en colère.
et vous attisez la flamme.
Le vent a attisé les flammes.
L'appartement est en feu.
L'avion, écrasé, s'embrasa soudainement.
Toute la ville était en flammes.
Le bateau s'enflamma.
Ne mettez pas le feu au poudre.
Les flammes détruisirent l'ensemble du bâtiment.
l'urine puis s'enflamme le nez.
- Le pompier ne pouvait éteindre les flammes.
- Le pompier ne pouvait étouffer les flammes.
Les flammes se propagèrent rapidement sur le sol.
C'est un lance-flammes. Il lance des flammes.
La maison était en flammes.
Ta remarque idiote n'a fait qu'attiser les flammes.
Les pompiers ont découvert en arrivant la maison bien en feu.
Les flammes léchaient le fond de la marmite à ragoût.
Mais c'est aussi magique de regarder les flammes.
Tout à coup, la grange s'est enflammée.
En quelques instants, des flammes ont déchiré la capsule, tuant les trois astronautes.
La cheminée manquant de bois de chauffage, les flammes ont déjà commencé à perdre de leur vigueur.
Toutes ses années de travail et d'efforts sont parties en flammes.
Y a-t-il pays qui attise davantage le patriotisme que les États-Unis d'Amérique ?
Y a-t-il pays qui attise davantage le patriotisme que les États-Unis d'Amérique ?
Il se précipita à travers la fumée aveuglante et les flammes qui sifflaient, jusqu'à ce qu'il atteigne les enfants.
La maison était en flammes.
Le feu du cœur peut-il être éteint dans les flammes du bûcher funéraire ?
Nous pouvions voir les flammes avancer vers nous, de ce fait, nous avons couru dans le sens opposé.
Au cours des deux prochains jours, une grande partie de la ville est englouti dans les flammes lors d'une intense bataille d'artillerie.
J'entends tonner les coups de leur main foudroyante ; / tout tombe : je crois voir, de son faîte orgueilleux, / Ilion tout entier s'écrouler dans les feux.
Je cherche autour de moi si quelque ami me reste : / tous ont péri... Poussés d'un désespoir funeste, / tous de nos toits brûlants se sont précipités.
Je m'éloigne, et Cypris / défend au glaive, au feu, d'attenter à son fils : / le fer respectueux tombe à sa voix puissante ; / devant elle s'enfuit la flamme obéissante.
Déjà dans des torrents de flammes / Déiphobe à grand bruit voit son palais crouler ; / vers les palais voisins le vent les fait rouler, / et leur lumière affreuse éclaire au loin la plage.
À préparer les mets, à réveiller les flammes, / près des foyers ardents veillent cinquante femmes ; / cent autres, déployant la même activité, / et cent hommes, pareils en jeunesse, en beauté, / placent les mets, les vins, les coupes sur la table.
" Son simulacre à peine est placé parmi nous, / que dans ses yeux pétille une flamme brillante ; / de tout son corps dégoute une sueur sanglante ; / et, secouant sa lance et son noir bouclier, / trois fois elle bondit sous son casque guerrier. "
" Vous voyez cet Énée adorateur des dieux, / connu par ses exploits, connu par ses désastres ; / mon nom, trop glorieux, a volé jusqu'aux astres. / Emportant les débris et les dieux des Troyens, / avec eux je cherchais les bords ausoniens. "
" Pour ton frère, ô mon fils ! j'implore ton appui ; / va, court trouver Didon, et l'enflamme pour lui. / Qu'il l'aime, et qu'en dépit d'une fière déesse, / leurs transports amoureux secondent ma tendresse ! "
" Elle-même, tonnant du milieu des nuages, / bouleversa les mers, déchaîna les orages, / dans un noir tourbillon saisit l'infortuné / qui vomissait des feux de son flanc sillonné, / et de son corps lancé sur des roches perçantes / attacha les lambeaux à leurs pointes sanglantes. "
" Entends-moi donc : ce fils, si cher à mon amour, / Ascagne, par son père attendu dans ce jour, / se prépare à porter aux remparts de Carthage / les restes précieux des feux et du naufrage. "
Il dit : et la fureur enflamme mes esprits ; / je m'élance à travers le feu, le sang, les cris, / partout où la vengeance, où mon aveugle rage / et d'horribles clameurs appellent mon courage.
O vous, cendres de Troie ! et vous, flammes funestes ! / qui de mon Ilion dévorâtes les restes ! / Je vous atteste ici qu'affrontant les combats, / malgré moi le destin me sauva du trépas ; / et, si le sort cruel n'eût conservé ma vie, / que j'avais mérité qu'elle me fût ravie.
" Ce n'est pas tout encor : lorsque sur le rivage / aux dieux conservateurs tu paîras ton hommage, / qu'un long voile de pourpre, abaissé sur tes yeux, / dérobe à tes regards tout visage odieux ; / défends qu'aucun objet d'un augure sinistre / ne trouble le présage ainsi que le ministre. "
Didon les fait d'abord admettre en sa présence. / À peine au bruit confus succède le silence, / celui dont l'âge mûr a mérité leur choix, / Ilionée, ainsi fait entendre sa voix : / " Grande reine ! dit-il d'un ton plein de noblesse, / vous dont ces murs naissants attestent la sagesse, / et qui, donnant des mœurs à ce peuple indompté, / avez au frein des lois asservi sa fierté, / d'un peuple généreux, que le malheur accable, / vous voyez devant vous le reste déplorable ; / il vient vous implorer. À peine nos vaisseaux / échappaient aux fureurs et des vents et des eaux, / une troupe ennemie, au sortir du naufrage, / a menacé des feux ce qu'épargna l'orage. / O reine ! ouvrez l'oreille à nos cris douloureux ; / sachez ce qu'on nous doit, en sachant qui nous sommes. "
Ainsi périt Priam ; ainsi la destinée / marqua par cent malheurs sa mort infortunée, / il périt, en voyant de ses derniers regards / brûler son Ilion et tomber ses remparts. / Ce potentat, jadis si grand, si vénérable, / n'est plus qu'un tronc sanglant, qu'un débris déplorable, / dans la foule des morts tristement confondu, / hélas ! et sans honneur sur le sable étendu.
" Non; et, quoique ma gloire en rougisse tout bas, / quoiqu'un si lâche exploit déshonore mon bras, / du moins de ce fléau j'aurai purgé la terre ; / son sang paîra le sang qu'a coûté cette guerre, / satisfera ma rage, et celle des Troyens, / et les mânes plaintifs de mes concitoyens. "