Examples of using "Cared" in a sentence and their french translations:
Qui s'en souciait ?
- Il s'en souciait.
- Il s'en est soucié.
Personne ne s'en souciait.
- Je ne savais pas que ça t'intéressait.
- J'ignorais que vous vous en souciez.
- Je ne savais pas que tu t'en souciais.
qui tient à moi,
Elle s'occupait de son père malade.
Elle se souciait toujours de ma santé.
- Je ne me suis jamais soucié de telles choses.
- Je ne me suis jamais souciée de telles choses.
Il ne s'est jamais beaucoup préoccupé de moi.
- Elle s'occupa de sa mère malade.
- Elle prit soin de sa mère malade.
Je ne savais pas que ça t'intéressait.
- Je ne savais pas que tu t'en souciais autant.
- J'ignorais que vous vous en inquiétiez autant.
et parce qu'ils méritent notre attention.
Je pensais que personne ne s'en souciait.
Personne ne se souciait vraiment que Tom n'aidait pas.
des gens qui tenaient à moi et qui m'aimaient.
Vous êtes aimés et les gens tiennent à vous.
il a pris soin de lui pour survivre jusqu'à aujourd'hui
Marie s'occupait des malades et des pauvres.
et se souciaient peu de l'avenir de notre pays.
- Tout le monde à l'air de s'en foutre.
- Personne ne semble y prêter attention.
Il prit soin de sa mère après que son père mourut.
Qui s'est occupé du chien, quand tu étais absent ?
où les enfants se sentent en sécurité, pris en compte et estimés.
car je ne pouvais pas voir en ligne les choses qui comptaient.
"Quelqu'un tenait à embellir cette zone."
Je m'occupais des lapins quand j'étais à l'école.
J'ai réalisé qu'on tenait à moi et que j'étais aimée.
Si tu te souciais vraiment de ta copine, tu respecterais ses sentiments.
Je pense qu'il est temps que j'admette que je ne me suis jamais soucié de toi.
Qui parmi vous a aimé un animal dans sa vie ?
Je ne pense pas que Tom fasse attention.
Je m'occupais des lapins quand j'étais à l'école.
La poupée vécut très longtemps bien soignée, bien aimée ; mais petit à petit elle perdit ses charmes.
Il ne me répond rien. Puis, d'un ton plein d'effroi, / poussant un long soupir : " Fuis, dit-il, sauve-toi ; / sauve-toi, fils des dieux ; contre nous tout conspire : / il fut un Ilion, il fut un grand empire. / Tout espoir est perdu ; fuis : tes vaillantes mains / ont fait assez pour Troie, assez pour nos destins. / Notre règne est fini, notre heure est arrivée. "