Examples of using "Bent" in a sentence and their french translations:
- Elle s'est penchée en avant.
- Elle se pencha en avant.
c'est-à - dire "pliés".
Elle se pencha.
- Il s'est abaissé.
- Il s'inclinait.
Elle se pencha en avant.
Le plomb se plie facilement.
La fourchette est tordue.
La cuillère est tordue.
Elle se pencha sur l'enfant.
Il inclina profondément la tête.
Tom s'inclinait.
J'ai dit : « Mon rotor n'est pas plié. Je reconnais un rotor plié. »
L'arbre se courba sous le vent.
Elle baissa la tête honteusement.
Il s'est finalement plié à mes désirs.
Ne soyez pas déterminé à nous soigner.
N'est-ce pas ? D'habitude, il a les épaules un peu baissées.
Il a un penchant naturel pour la musique.
Le docteur se pencha au-dessus du garçon malade.
Elle est résolue à devenir avocate.
Il dirigea ses pas vers le village.
Il s'efforce de devenir docteur.
Le plomb se plie facilement.
Je me suis penché pour prendre la plume.
- Les dents de la fourchette sont recourbées.
- Les dents de la fourchette ont été tordues.
John a un penchant naturel pour le tennis.
Il a dit : « Ah bon, alors votre rotor est plié. »
Il s'est coupé en quatre pour faire plaisir à sa femme.
Elle se baissa et ramassa la pièce.
- Il est décidé à faire l'acquisition de la villa marine.
- Il est résolu à faire l'acquisition de la villa au bord de mer.
Le monde ne devrait-il pas être courbé s'il était rond?
Tom se pencha et ramassa une poignée de sable.
- Il est résolu à découvrir qui a tué sa fille.
- Il est déterminé à découvrir qui a tué sa fille.
- Je me demande pourquoi tant de ces clous sont tordus.
- Je me demande pourquoi tant de ces clous sont pliés.
Tom, seul, penché au bord gauche de la phrase, hésitait à sauter, pour en finir avec toute cette histoire.
La pelouse tondue de près séduit un peuple qui a tendance, par ses origines, à trouver du plaisir dans la contemplation d'un pâturage bien entretenu.
Ainsi dans son refus il demeure obstiné ; / vainement de nos pleurs il est environné ; / vainement mon épouse, et mon fils, et moi-même, / le conjurons, pour lui, pour ses enfants qu'il aime, / de ne pas achever de déchirer nos cœurs, / et de n'aggraver pas le poids de nos malheurs.
La mer rend les vaisseaux à ces tranquilles bords ; / l'hymen promet ses fruits, la terre ses trésors. / Je donne à tous des lois, des champs, des domiciles. / Mais notre sort nous suit dans ces nouveaux asiles : / un air contagieux, exhalant son poison, / charge de ses vapeurs la brûlante saison : / l'eau tarit, l'herbe meurt, et la stérile année / voit sur son front noirci sa guirlande fanée.