Examples of using "Astray" in a sentence and their french translations:
Tom pervertit Marie.
- Son apparence m'a trompée.
- Son apparence m'a conduit en erreur.
Son apparence m'a conduit en erreur.
Elle perdit son chemin dans la forêt.
J'ai dû m'égarer dans mes calculs.
- Son apparence m'a trompé.
- Son apparence m'a trompée.
Des erreurs cruciales se sont produites pendant la campagne de Waterloo, avec des ordres égarés et des commandants
La petite partira à la dérive si personne ne s'en préoccupe trop.
Au milieu du chemin de notre vie, je me retrouvai dans une forêt obscure, car la voie droite était perdue.
Guide-nous dans le droit chemin, le chemin de ceux que Tu as comblés de faveurs, non pas de ceux qui ont encouru Ta colère, ni des égarés.
La première elle approche : " Une de mes compagnes, / leur dit-elle, avec moi parcourait ces campagnes. / Je ne vois plus ses pas, je n'entends plus sa voix. / Sur une peau de lynx elle porte un carquois ; / peut-être en ce moment, par sa vive poursuite, / d'un sanglier fougueux elle presse la fuite. / Si le hasard l'a fait apparaître à vos yeux, / ô jeunes voyageurs, dites-moi dans quels lieux / je puis la retrouver. "
" Là s'adressaient nos pas, lorsqu'un astre funeste, / déchaînant la tempête, et courrouçant les eaux, / parmi d'affreux rochers a jeté nos vaisseaux ; / et de nos compagnons échappés au naufrage / à peine un petit nombre a gagné le rivage. "
" Commandez à vos vents de servir ma furie ; / dispersez sur les mers ou noyez leurs vaisseaux, / et de leurs corps épars couvrez au loin les eaux. "
À ces mots, qui doublent mes alarmes, / je ne sais quel délire égara mes esprits ; / mais, tandis qu'éperdu, tremblant d'être surpris, / aux lieux les moins frayés je confiais ma fuite, / ma chère épouse, hélas ! que je crois à ma suite... / Sort cruel ! est-ce toi qui nous en séparas ? / Le chemin, trop pénible, arrêta-t-il ses pas ? / Ou dans ces noirs sentiers s'est-elle enfin perdue ? / Je ne sais.
Le vent tonne en courroux sur les mers qu'il tourmente ; / le flot monte et retombe en montagne écumante ; / l'œil ne distingue plus ni le jour, ni la nuit ; / le pilote éperdu, que la frayeur conduit, / abandonne au hasard sa course vagabonde. / Sur nous le ciel mugit ; sous nos pieds la mer gronde ; / le tonnerre redouble, et de l'air ténébreux / mille horribles éclairs sont les astres affreux.