Examples of using "Gebracht" in a sentence and their french translations:
Tom a apporté ça.
On le plaça sous narcotiques.
Thomas, gêné, rougit.
Marie, gênée, rougit.
Ses efforts n'eurent aucun résultat.
Ma tante m'a apporté des fleurs.
Ce territoire est inexploré.
- Elle l'exposa délibérément au danger.
- Elle l'a délibérément exposé au danger.
À qui avez-vous apporté les fleurs ?
Je t'ai apporté le mauvais tournevis.
Le sacrifice d'individus assure la survie de la colonie.
Jim doit être hospitalisé immédiatement.
On le persuada de changer sa décision.
- Elle a mis au monde un bébé bien portant.
- Elle donna naissance à un bébé en bonne santé.
- Tom t'a fait rire, n'est-ce pas ?
- Tom a réussi à te faire rire, n'est-ce pas ?
Je lui ai fait nettoyer ma chambre.
Madame Smith a mis son deuxième enfant au monde.
mais dans le rituel permettant aux pierres de prendre vie.
Je l'ai informée de mon arrivée.
La jeune fille avait l'air embarrassé par sa question brutale.
La fille insista pour qu'on l'amène au zoo.
Le vieil homme a été renversé et immédiatement emmené à l'hôpital.
On reconnaît depuis peu que la colère provoque un spectre de pathologies
Les traîtres français l'avaient informé de l'attaque imminente.
Saladin ordonne d'apporter de l'eau glacée et offert au roi.
- Je t'ai mené précisément où je voulais.
- Je vous ai mené précisément où je voulais.
- Je t'ai menée précisément où je voulais.
- Je vous ai menée précisément où je voulais.
- Je vous ai menés précisément où je voulais.
- Je vous ai menées précisément où je voulais.
à la bataille d'Auerstedt, et fut presque passé en cour martiale…
Elle a mis au monde un bébé bien portant.
Tom s'est cassé la jambe droite et a été conduit à l'hôpital quelques semaines avant Noël.
- Il était un peu embarrassé.
- Il était un peu dans l'embarras.
Un satellite fut lancé en orbite pour surveiller la fonte des glaciers.
La richesse comporte des avantages, et l'argument contraire, bien qu'il ait souvent été avancé, ne s'est jamais avéré très convaincant.
J'ai alors cherché dans des plus anciennes présentations de la spiritualité, pour pouvoir exprimer par des mots, ce qui ne l'était pas encore.
Bien entendu, le peuple ne veut pas de guerre. Pourquoi est-ce qu'un pauvre gueux dans une ferme voudrait risquer sa vie dans une guerre dont il ne peut espérer au mieux qu'il en reviendra entier ? Naturellement, le commun de la population ne veut pas de guerre ; ni en Russie, ni en Angleterre, ni en Amérique, ni, en ce qui nous concerne, en Allemagne. C'est bien entendu. Mais, après tout, ce sont les dirigeants d'un pays qui en déterminent les lignes d'action, et ce n'est jamais qu'une question simple que d'entraîner le peuple, que ce soit dans une démocratie, une dictature fasciste, un Parlement, ou une dictature communiste. [...] Le peuple peut toujours être converti à la cause des dirigeants. Cela est facile. Tout ce qu'il suffit de faire, c'est de leur dire qu'ils sont attaqués et dénoncer les pacifistes pour leur manque de patriotisme qui expose le pays au danger. Cela marche de la même manière dans tous les pays.