Examples of using "голоса" in a sentence and their french translations:
J'ai entendu des voix.
- J'entendis des voix.
- J'ai entendu des voix.
Tu entendais des voix.
J'entends des voix.
Je déteste leurs voix.
Je déteste le son de ma voix.
J'ai pensé avoir entendu des voix.
Je déteste vos voix.
- Des fois, j'entends des voix.
- Quelques fois, j'entends des voix.
Des voix venaient de la cuisine.
pour faire entendre notre voix commune.
J'ai entendu des voix de l'autre côté de la porte.
J'entendis les voix joyeuses d'enfants.
On donna aux femmes le droit de vote.
J'ai entendu les voix joyeuses des enfants.
J'entends l'écho de ma voix.
J'entends des voix dans ma tête.
Chacun devrait exercer son droit de vote.
Vous pouvez reconnaître facilement les voix des enfants.
Tom n'obtiendra certainement pas mon vote.
Ils dirent qu'elle entendait des voix.
J'entendais des voix à l'extérieur de ma chambre d'hôtel,
On a le droit de vote à vingt ans.
Nous avons le droit de voter à vingt ans.
Les femmes étasuniennes n'avaient pas le droit de vote.
Tes yeux reflètent l'écho de ma voix.
J'avais juste envie d'entendre le son de ta voix.
La nouvelle loi va retirer le droit de vote aux minorités religieuses.
Tom a le droit de vote.
Toutes ces voix ont les réponses voulues pour leurs questions,
Le son de votre voix est comme le chant mélodique des sirènes pour moi.
- J'aime le son de ta voix.
- J'aime le son de votre voix.
Si on crie du haut d'une falaise, on entend l'écho de sa voix.
Je n'ai pas le droit de vote.
Maintenant que tu as atteint ta majorité, tu as le droit de vote.
J'aime le son de ta voix.
Une opération sur sa gorge lui a permis de guérir de la pneumonie, mais elle l'a laissé sans voix.
- Ils l'ont mis dans cette clinique après qu'il a dit qu'il entendait des voix.
- Elles l'ont mis dans cette clinique après qu'il a dit qu'il entendait des voix.
J'avais juste envie d'entendre le son de ta voix.
J'entends quelqu'un parler dans la pièce à côté.
Elle est née dans une génération juste après l'esclavage ; à une époque où il n'y avait ni voitures sur la routes ni avions dans le ciel ; à une époque où quelqu'un comme elle ne pouvait pas voter pour deux raisons — parce qu'elle était une femme et à cause de la couleur de sa peau.
Bien entendu, le peuple ne veut pas de guerre. Pourquoi est-ce qu'un pauvre gueux dans une ferme voudrait risquer sa vie dans une guerre dont il ne peut espérer au mieux qu'il en reviendra entier ? Naturellement, le commun de la population ne veut pas de guerre ; ni en Russie, ni en Angleterre, ni en Amérique, ni, en ce qui nous concerne, en Allemagne. C'est bien entendu. Mais, après tout, ce sont les dirigeants d'un pays qui en déterminent les lignes d'action, et ce n'est jamais qu'une question simple que d'entraîner le peuple, que ce soit dans une démocratie, une dictature fasciste, un Parlement, ou une dictature communiste. [...] Le peuple peut toujours être converti à la cause des dirigeants. Cela est facile. Tout ce qu'il suffit de faire, c'est de leur dire qu'ils sont attaqués et dénoncer les pacifistes pour leur manque de patriotisme qui expose le pays au danger. Cela marche de la même manière dans tous les pays.