Examples of using "Tantos" in a sentence and their french translations:
Autre pays, autre coutume.
J'ai commis tant d'erreurs.
Elle a autant de livres que moi.
Nous avons tellement d'exemples qui en fait
Il y a trop de mobilier dans la maison.
Elle est décédée il y a tant d'années !
- J'ai autant de livres que lui.
- Je dispose d'autant de livres que lui.
il y a tellement de blogs marketing
Il a autant de livres que son père.
Il ne faut pas utiliser trop de tirets.
autant de partages Twitter et de trafic.
Comment se fait-il, que pour tant de troubles,
combien d'amis il avait, tant seraient préparés
Je suis désolé d'avoir causé tant de problèmes.
Avec autant d'animaux domestiques, elle a des alternatives.
Aucun pays ne subit autant de séismes que le Japon.
Ils utilisent des données, ils avoir tant de clients,
Alors qu'il y a tellement de virus en Europe et en Amérique
Tu ne devrais pas laisser les enfants manger trop de sucreries.
Après tant d'années, c'est presque impossible de le reconnaître.
L'équipe de France a marqué autant de buts que l'équipe d'Angleterre.
Si beaucoup d'adultes canadiens font ce choix de façon rationnelle,
Pendant ce temps, il a participé à tant d'œuvres différentes que
L'équipe de France a marqué autant de buts que l'équipe d'Angleterre.
Malgré tous les efforts, il ne peut toujours pas battre le record.
mais pour s'excuser pour et Comcast avait tellement de problèmes,
Malgré tant d'avantages, le seul mal est ce problème de virus
tant d'ingénieurs ont embauché des développeurs de logiciels, mais les meilleurs gars du monde hein
David a tellement d'amies, qu'il ne peut même pas se rappeler de tous leurs noms.
À l'instar de tant d'animaux, leur chance est inextricablement liée aux phases lunaires.
Elle a autant de timbres que moi.
Il y a tant de langues dans le monde mais il n'y a aucun mot qui puisse exprimer combien je t'aime.
À force de voir des émoticônes partout, je perds l'habitude de chercher des traits d'humour dans les textes eux-mêmes.
Je ne sais pas s'il existe quelque langue nous offrant, comme l'espéranto, autant de ressources pour traduire certaines pensées exprimées dans d'autres langues.
Tout à coup par des cris dans l'ombre redoublés / au palais de Priam nous sommes appelés. / C'est là que nous trouvons le plus affreux carnage.
" Sinon vainqueur insulte aux désastres de Troie. / Triomphant au milieu de nos murs enflammés, / un monstre affreux vomit des bataillons armés : / et, tandis que ses flancs enfantent leurs cohortes, / des milliers d'ennemis, se pressant sous nos portes, / fondent sur nos remparts à flots plus débordés / qu'ils n'ont jamais paru dans nos champs inondés. "
" Enfin nous respirons ; enfin, après dix ans, / Ilion d'un long deuil affranchit ses enfants. / Le libre citoyen ouvre toutes ses portes, / vole aux lieux où des Grecs ont campé les cohortes. / On aime à voir ces champs témoins de nos revers, / ces champs abandonnés, ces rivages déserts. "
Mon père ordonne alors de repasser les flots, / d'aller interroger les trépieds de Délos, / d'apprendre dans quels lieux doivent finir nos peines, / nos travaux renaissants, nos courses incertaines.
J'arrive enfin, j'arrive au palais paternel ; / je vole vers mon père : ô désespoir cruel ! / Mon père, qu'avant tout doit sauver ma tendresse, / quand je veux au danger dérober sa vieillesse, / refuse de survivre à nos communs malheurs, / et d'aller dans l'exil prolonger ses douleurs.
" À travers les écueils, le courroux de la mer, / nous cherchons les beaux lieux promis par Jupiter : / là nous attend la paix ; là nos yeux avec joie / verront se relever les murailles de Troie. / Vivez, conservez-vous pour les jours du bonheur. "
Étudiant en histoire, je connais aussi la dette de la civilisation à l'Islam. C'était l'Islam - dans des lieux comme l'université Al-Azhar - qui portait la lumière de la connaissance à travers tant de siècles, ouvrant la voie à la Renaissance et aux Lumières de l'Europe.
" Et moi, qui marche égale au souverain des cieux, / moi, l'épouse, la sœur du plus puissant des dieux, / armant contre un seul peuple et le ciel et la terre, / vainement je me lasse à lui livrer la guerre ! / Suis-je encore Junon ? et qui d'un vain encens / fera fumer encor mes autels impuissants ? "
" Hélas ! par cet espoir j'aimais à me venger ; / à nos malheurs passés j'opposais cette joie, / et Rome adoucissait les désastres de Troie : / chaque jour cependant reproduit nos malheurs. / Grand roi ! quand mettrez-vous un terme à nos douleurs ? "
Ainsi périt Priam ; ainsi la destinée / marqua par cent malheurs sa mort infortunée, / il périt, en voyant de ses derniers regards / brûler son Ilion et tomber ses remparts. / Ce potentat, jadis si grand, si vénérable, / n'est plus qu'un tronc sanglant, qu'un débris déplorable, / dans la foule des morts tristement confondu, / hélas ! et sans honneur sur le sable étendu.
" Rebutés par dix ans de batailles, / las de languir sans fruit au pied de nos murailles, / las de voir par le sort leurs assauts repoussés, / les Grecs, courbant des ais avec art enchâssés, / d'un cheval monstrueux en forment l'édifice : / Pallas leur inspira ce fatal artifice. / C'est un vœu, disaient-ils, pour un retour heureux. "
" Ô des Grecs le plus brave et le plus formidable, / fils de Tydée, hélas ! sous ton bras redoutable, / dans les champs d'Ilion, les armes à la main, / que n'ais-je pu finir mon malheureux destin ; / dans ces champs où d'Achille Hector devint la proie, / où le grand Sarpédon périt aux yeux de Troie, / où le Xanthe effrayé roule encor dans ses flots / les casques et les dards, et les corps des héros ! "