Examples of using "Chegando" in a sentence and their french translations:
J'arrive.
Mais y aller
- Personne ne l'a vu venir.
- Personne ne le vit venir.
- Nous nous approchons.
- Nous nous rapprochons.
- Nous devenons plus intimes.
- Ton anniversaire arrive bientôt.
- Votre anniversaire arrive bientôt.
- J'arrive.
- Je viens.
Le bus arrive.
L'hiver arrive bientôt.
- Je dois m'approcher.
- Je dois m'en approcher.
- Noël approchait.
- Noël se rapprochait.
Le train arrive !
Quand Tom arrive-t-il ?
- Nos invités arrivent.
- Nos invitées arrivent.
- C'est bientôt mon anniversaire.
- Mon anniversaire approche.
Noël approche.
L'automne arrive.
Nous n'aboutissons nulle part.
Elle le surprit lorsqu'elle arriva tôt.
Tom a environ trente ans.
Venir au bout de notre langue
- Le jour prend fin.
- La journée tire à sa fin.
Une tempête de poussière s'approche.
La fin des vacances arrive.
Ma patience est à bout.
- Il arrive.
- Il est en train d'arriver.
Pourquoi les chauves-souris arrivent-elles autant?
Viens à Nice, on va se baigner à poil !
Une fois arrivé à la station, j’ai appelé mon ami.
Ou bien on reste dehors pour tenter de rejoindre la forêt ?
Tous disent: «La mort arrive, c'est certain.
Ces problèmes ne nous mènent à rien.
Il y a quelqu'un qui arrive. Ferme la boîte et cache-la !
Le vent fort indique qu'une tempête arrive.
- J'arrive.
- Je viens.
- Me voici.
Noël approche.
Sa mère arrivera par le train de 9 h 10.
L’automne est déjà sur le point d’arriver.
Maintenant, comme vous obtenez ce trafic venir sur votre site web,
Le train arrive !
Noël approche.
Si vous êtes comme ça, appelez un médecin expert et dites "je viens à 5 minutes".
Il dit ; et de plus près / les flammes cependant menacent le palais ; / et, d'un cours plus rapide avançant vers leur proie, / en tourbillons fougueux leur fureur se déploie.
Eux-mêmes, appelés par un ordre honorable, / les nobles Tyriens célèbrent ce grand jour.
Enfin nous échappons de cette ville en cendre. / Nous nous croyions sauvés, lorsque je crois entendre / d'un bataillon nombreux les pas précipités ; / et, dans l'ombre jetant ses yeux épouvantés, / " Fuis, cours, fuis ! je les vois, je vois briller leurs armes ! " dit mon père.
Je suis comme cette folle de Sainte-Agathe qui sortait à chaque minute sur le pas de la porte et regardait, la main sur les yeux, du côté de La Gare, pour voir si son fils qui était mort ne venait pas.
" Tels que vous les voyez dans les airs rassemblés, / et remis de l'effroi qui les avait troublés, / en chantant battre l'air de leurs ailes bruyantes ; / ainsi vos compagnons et leurs nefs triomphantes / voguent à pleine voile ; et, rendant grâce au sort, / ils entrent, ou bientôt vont entrer dans le port. "
L'imprudente Didon tendrement le caresse, / le tient sur ses genoux, entre ses bras le presse, / s'enivre de sa vue, hélas ! et ne sait pas / quel redoutable dieu se joue entre ses bras.
Pyrrhus le suit ; déjà, tout bouillant de furie, / il le presse, il le touche, il l'atteint de son dard : / enfin au saint autel, asile du vieillard, / son fils court éperdu, tend les bras à son pére, / hélas ! et dans son sang tombe aux pieds de sa mère.
" Anténor, de la Grèce affrontant la furie, / a bien pu pénétrer dans les mers d'Illyrie, / a bien osé franchir ce Timave fameux / dont l'onde impétueuse, en torrents écumeux, / par sept bouches sortant et tombant des montagnes, / court d'une mer bruyante inonder les campagnes. "
Et là, son équitable voix / dicte ses jugements, et proclame ses lois ; / dispense également les travaux de Carthage, / ou par l'arrêt du sort en règle le partage ; / voit, juge, ordonne tout, et d'une noble ardeur / hâte de ses états la future grandeur. / Tout à coup, au milieu d'une foule bruyante, / des étrangers, tendant une main suppliante, / de leurs concitoyens entrent environnés, / et frappent du héros les regards étonnés.
Didon les fait d'abord admettre en sa présence. / À peine au bruit confus succède le silence, / celui dont l'âge mûr a mérité leur choix, / Ilionée, ainsi fait entendre sa voix : / " Grande reine ! dit-il d'un ton plein de noblesse, / vous dont ces murs naissants attestent la sagesse, / et qui, donnant des mœurs à ce peuple indompté, / avez au frein des lois asservi sa fierté, / d'un peuple généreux, que le malheur accable, / vous voyez devant vous le reste déplorable ; / il vient vous implorer. À peine nos vaisseaux / échappaient aux fureurs et des vents et des eaux, / une troupe ennemie, au sortir du naufrage, / a menacé des feux ce qu'épargna l'orage. / O reine ! ouvrez l'oreille à nos cris douloureux ; / sachez ce qu'on nous doit, en sachant qui nous sommes. "