Examples of using "Facevano" in a sentence and their french translations:
- Ils ne faisaient pas de cauchemars.
- Elles ne faisaient pas de cauchemars.
Ils faisaient la sourde oreille.
- Ils faisaient les lits.
- Elles faisaient les lits.
- Ils faisaient des cauchemars.
- Elles faisaient des cauchemars.
- Ils se faisaient voler.
- Elles se faisaient voler.
Ils bricolaient.
Elles réalisaient des exorcismes
- Ils ne faisaient pas la sourde oreille.
- Elles ne faisaient pas la sourde oreille.
- Ils n'ont pas fait la sourde oreille.
- Elles n'ont pas fait la sourde oreille.
- Ils ne font pas la sourde oreille.
- Ils ne faisaient pas les lits.
- Elles ne faisaient pas les lits.
- Ils n'ont pas fait les lits.
- Elles n'ont pas fait les lits.
- Ils se faisaient des illusions.
- Elles se faisaient des illusions.
- Ils faisaient allusion au divorce.
- Elles faisaient allusion au divorce.
Ils se douchaient.
- Ils ne faisaient pas de cauchemars.
- Elles ne faisaient pas de cauchemars.
Ils faisaient comme si de rien n'était.
faisaient tous partie du tableau.
Ils faisaient la sieste.
- Ils faisaient perdre l’espoir à Tom.
- Elles faisaient perdre l’espoir à Tom.
Ils faisaient le ménage.
Ils ont plus ou moins fait cela en dehors du bureau.
Les soldats gardaient le pont.
- Ils ne faisaient pas la sieste.
- Elles ne faisaient pas la sieste.
Ses bras et son ventre lui faisaient très mal.
Les pirates s'en prenaient aux vaisseaux marchands désarmés.
qui portaient toutes sur mon futur :
Si l'on remonte au 19ème siècle, la Colombie et le Vénézuéla ne formaient qu'un seul pays
Et ce n'étaient pas que les explorateurs qui faisaient bien les choses.
Mes pieds me font mal.
de consulter des dizaines de gynécologues pendant des années
et cela suggère qu'ils font les choses correctement.
Les enfants faisaient voler des cerfs-volants.
- Am, stram, gram, pic et pic et colégram, bour et bour et ratatam, am, stram, gram.
- Pote pote les carottes, à la place des tomates, boule de canon tu fiches le camp !
- Pisse l'andouille, c'est toi l'andouille !
- En den tic, sipita lastic, sipita laboumlala, en den tic.
En prenant l'habitude de mettre et de lire des émoticônes et autres abréviations chargées d'indiquer le ton des messages, les jeunes vident les langues de leur charge émotionnelle, ravalant les mots à une simple information insipide, au point qu'ils sont devenus incapables d'y détecter le moindre humour sans ces symboles. C'est à se demander comment nos ancêtres faisaient pour rire ou pleurer des correspondances qu'ils recevaient. Les langues autrefois si riches de cette dualité sont donc en train d'évoluer en combinaisons de deux systèmes de symboles distincts : l'un pour le contenu, l'autre pour le ton.