Translation of "Troubler" in Portuguese

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Examples of using "Troubler" in a sentence and their portuguese translations:

Dans ce même moment, pour mieux nous aveugler, / un prodige effrayant vient encor nous troubler.

Nisto, o maior portento e mais terrível / (pobres Troianos!) nos apanha de surpresa, / causando enorme confusão.

Aussitôt, appelant Eurus et le Zéphyre, / " Eh quoi ! sans mon aveu, quoi ! dans mon propre empire, / d'une race rebelle enfants audacieux, / vents, vous osez troubler et la terre et les cieux ! "

O Euro e o Zéfiro chama e assim lhes fala: / “É vossa origem que vos faz tão atrevidos? / Já ousais céus e terras confundir / e essas massas enormes soerguer / sem minha permissão, ó ventos loucos?"

" Reine ! de ce grand jour faut-il troubler les charmes, / et rouvrir à vos yeux la source de nos larmes ; / vous raconter la nuit, l'épouvantable nuit / qui vit Pergame en cendre, et son règne détruit ; / ces derniers coups du sort, ce triomphe du crime, / dont je fus le témoin, hélas ! et la victime ?... "

“Ordenas-me, ó rainha, / renovar indizível dor, contando / como o pujante reino de Ílio pelos gregos / foi reduzido a escombros lamentáveis – / cenas bem tristes que meus olhos viram / e em que pude envolver-me pessoalmente."

" Fils d'Anchise, pourquoi, souillant des mains si pures, / viens-tu troubler mon ombre et rouvrir mes blessures ? / Hélas ! respecte au moins l'asile du trépas ; / d'un insensible bois ce sang ne coule pas. / Cette contrée a vu terminer ma misère ; / mais celle où tu naquis ne m'est point étrangère : / épargne donc ma cendre, ô généreux Troyen ! / Ma patrie est la tienne, et ce sang est le mien. / Ah ! fuis ces lieux cruels, fuis cette terre avare : / j'y péris immolé par un tyran barbare. / Polydore est mon nom ; ces arbustes sanglants / furent autant de traits qui percèrent mes flancs. / La terre me reçut ; et, dans mon sein plongée, / leur moisson homicide en arbres s'est changée. "

“Por que razão, Eneias, dilaceras / este infeliz? Oh, deixa-me sepulto! / Evita conspurcar as mãos piedosas. / Não sou estranho para ti – gerou-me Troia – / nem da planta este humor está manando. / Oh! Foge destas plagas desumanas, / foge da terra da cobiça e da avareza. / Sou Polidoro: neste sítio me prostraram / sob uma chuva de assassinas flechas, / hoje em pontudas hastes convertidas.”