Translation of "Tendresse" in Portuguese

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Examples of using "Tendresse" in a sentence and their portuguese translations:

" Pour ton frère, ô mon fils ! j'implore ton appui ; / va, court trouver Didon, et l'enflamme pour lui. / Qu'il l'aime, et qu'en dépit d'une fière déesse, / leurs transports amoureux secondent ma tendresse ! "

"Por isso decidi-me a agir primeiro / e prender a rainha nos meus laços, / fazendo-a arder de modo que não mude, / sob a influência de outra divindade, / porém, tomando o meu partido, se apaixone / irremediavelmente por Eneias".

" Tu vois ton frère Énée assailli de revers, / victime de Junon, et le jouet des mers ; / tu le vois, et, pour lui partageant ma tendresse, / cent fois j'ai vu ton cœur ressentir ma tristesse. "

"De que maneira teu irmão Eneias / anda batido pelo mar, de praia em praia, / vítima do rancor da iníqua Juno, / tu não ignoras, e compartilhaste / muitas vezes de nossa própria dor".

Lorsque imitant ce fils vainement attendu, / caressé par Énée, à son cou suspendu, / du héros, abusé par l'image d'Iule / il a rassasié la tendresse crédule, / préparant le poison qui doit brûler son cœur, / il marche vers la reine, il est déjà vainqueur.

Depois de pendurar-se do pescoço / de Eneias, de abraçá-lo longamente, / a saudade matando ao pai tapeado, / o falso Ascânio volta-se à rainha.

J'arrive enfin, j'arrive au palais paternel ; / je vole vers mon père : ô désespoir cruel ! / Mon père, qu'avant tout doit sauver ma tendresse, / quand je veux au danger dérober sa vieillesse, / refuse de survivre à nos communs malheurs, / et d'aller dans l'exil prolonger ses douleurs.

Quando chego, porém, ao solar pátrio, / antigo lar de tantos ancestrais, / meu pai, a quem vou logo procurar, / desejando levá-lo incontinenti / para as alturas do Ida, se recusa / a prolongar a vida e suportar o exílio, / deixando atrás de si Troia arrasada.

Cependant, à son tour, Andromaque pensive / prépare ses adieux ; sa tendresse attentive / aux présents d'Hélénus veut ajouter le sien. / Ascagne reçoit d'elle un manteau phrygien, / de superbes tissus où la navete agile / a glissé des fils d'or dans sa trame fragile, / des travaux de ses mains plus précieux encor. / " Tenez, prenez ce don de l'épouse d'Hector, / cher enfant : qu'il vous prouve à jamais ma tendresse. / C'est le dernier présent d'une triste princesse ; / de vos parents, hélas ! c'est le dernier bienfait. / Prenez, ô de mon fils doux et vivant portrait ! / Voilà son air, son port, son maintien, son langage ; / ce sont les mêmes traits, il aurait le même âge ... "

Também triste no instante derradeiro / daquele adeus, Andrômaca, não menos / generosa que Heleno, a Ascânio presenteia / com finos trajes adornados de ouro, / uma clâmide frígia e farto suprimento / de preciosos tecidos, e assim fala: / “Filho, aceita estas prendas, meus lavores, / como lembrança e testemunho do carinho imperecível da viúva do teu tio / Heitor; recebe os derradeiros mimos / de teus parentes, tu que és viva imagem / do meu caro Astianaz: esse rosto, esses olhos, / essas mãos ele tinha, e hoje estaria / com tua idade, a entrar na adolescência.”