Translation of "Victime" in Portuguese

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Examples of using "Victime" in a sentence and their portuguese translations:

Une victime,

Uma presa morta...

- N'accuse pas la victime !
- N'accusez pas la victime !

Não culpe a vítima.

Un petit est une victime idéale.

Uma cria jovem é a presa ideal.

Tu n'as pas à être une victime.

Você não precisa ser uma vítima.

Et j'en ai été victime moi-même.

E eu era uma vítima disso.

Je veux examiner le corps de la victime.

Eu quero examinar o corpo da vítima.

Avec ses poils réceptifs, elle sent sa victime approcher.

Com recetores químicos nos pelos, deteta o cheiro da presa a aproximar-se.

La première victime de la guerre, c'est la vérité.

A primeira vítima da guerra é a verdade.

La première victime de toute guerre est la vérité.

A primeira vítima fatal de todas as guerras é a verdade.

Une victime ne croit pas en cette réputation, c'est Sanjay Gubbi.

Uma vítima que não acredita na fama de grande felino malvado é Sanjay Gubbi.

Nous avons utilisé des mesures d'urgence pour réanimer le patient victime d'un arrêt cardiaque.

- Utilizamos medidas de urgência para reanimar o paciente vítima de uma parada cardíaca.
- Nós utilizamos medidas de urgência para reanimar o paciente vítima de uma parada cardíaca.

- Il semble que la victime a tenté d'écrire le nom de l'assassin de son propre sang.
- Il semble que la victime ait tenté d'écrire le nom du meurtrier avec son propre sang.
- Il semble que la victime ait essayé d'écrire le nom du meurtrier de son propre sang.

Aparentemente a vítima pode escrever o nome do assassino com o próprio sangue.

- Dieu n'existe pas.
- Il n'y a pas de Dieu.
- Le blasphème est un crime sans victime.

- Não há nenhum deus.
- Deus não existe.

En dépit de la protection du gouvernement, il fut la victime d'une tentative d'assassinat qui le tua.

Apesar da proteção do governo, ele sofreu um atentado que o matou.

" Calchas se tait dix jours, sa pitié ne veut pas / révéler la victime et dicter son trépas. "

"Por dez dias o vate fica mudo, / fingindo recusar-se a anunciar qualquer nome, / o que valia expor alguém à morte."

Tel, d'un coup incertain par le prêtre frappé, / mugit un fier taureau, de l'autel échappé, / qui, du fer suspendu victime déjà prête, / à la hache trompée a dérobée sa tête.

Qual berra e muge o touro, que, ferido, / do altar escapa procurando sacudir / da cerviz o machado não certeiro.

" Tu vois ton frère Énée assailli de revers, / victime de Junon, et le jouet des mers ; / tu le vois, et, pour lui partageant ma tendresse, / cent fois j'ai vu ton cœur ressentir ma tristesse. "

"De que maneira teu irmão Eneias / anda batido pelo mar, de praia em praia, / vítima do rancor da iníqua Juno, / tu não ignoras, e compartilhaste / muitas vezes de nossa própria dor".

Achate au chef troyen tient alors ce langage : / " Fils des dieux ! vous voyez, vos vaisseaux sont sauvés, / vos guerriers réunis, vos amis retrouvés : / un seul manque à nos vœux, malheureuse victime, / que la mer à nos yeux engloutit dan l'abîme. / Au discours de Vénus jusqu'ici tout répond. "

E o segundo ao primeiro interpela: “Ó progênie / divina, em que inda pensas? Podes ver / que tudo se salvou, que recebemos / de volta a frota e os companheiros, à exceção / de apenas um, que vimos abismar-se / em meio às ondas; quanto ao mais, está / tudo conforme ao que predisse a deusa-mãe”.

" Au milieu des terreurs dont notre ame est troublée, / le roi d'Ithaque, aux yeux de la Grèce assemblée, / traîne à grand bruit Calchas; et ses cris odieux / le pressent de nommer la victime des dieux. / Déjà, lisant de loin dans son ame cruelle, / mes amis annonçaient ma sentence mortelle. "

"Nisso, o itacense, em meio a um vozerio / enorme, a Calcas, o adivinho, traz à cena, / mandando-lhe insistente que interprete / o decreto dos deuses; muita gente / percebeu logo a trama cruel e a quem visava / o arteiro, e, sossegada, o meu fim antevia."

À peine on a connu la mort de la victime, / tout frémit d'épouvante : on dit " que de son crime / le coupable a reçu le juste châtiment, / lui dont la main osa sur un saint monument / lancer un fer impie, et d'un bras sacrilège / d'un présent fait aux dieux souiller le privilège. "

Daqueles pobres corações todos se apossa / redobrado temor, então, porque se diz / ter Laocoonte merecido a dura pena, / pelo crime de haver, com sacrílego dardo, / ferido o flanco do sagrado lenho.

" Reine ! de ce grand jour faut-il troubler les charmes, / et rouvrir à vos yeux la source de nos larmes ; / vous raconter la nuit, l'épouvantable nuit / qui vit Pergame en cendre, et son règne détruit ; / ces derniers coups du sort, ce triomphe du crime, / dont je fus le témoin, hélas ! et la victime ?... "

“Ordenas-me, ó rainha, / renovar indizível dor, contando / como o pujante reino de Ílio pelos gregos / foi reduzido a escombros lamentáveis – / cenas bem tristes que meus olhos viram / e em que pude envolver-me pessoalmente."

" Bientôt s'allume entr'eux le flambeau de la haine. / Insatiable d'or, ce monstre furieux, / sans égard pour sa sœur, sans respect pour les dieux, / dans le temple en secret immole sa victime ; / et toutefois longtemps il sut cacher son crime, / et, d'une sœur crédule amusant la douleur, / longtemps d'un faux espoir il entretint son cœur. "

"Entre os cunhados / ódio feroz surgiu. Eis, cego pela sede / de ouro, surpreende o celerado ante os altares / a Siqueu e o golpeia sem ser visto, / prostrando-o, indiferente ao coração da irmã. / Ele ocultou por muito tempo o crime, / mil pretextos achando o cruel para iludir / com esperanças vãs a lacrimosa amante".

Le lâche, tant qu'Hector humilia la Grèce, / respecta cet enfant, ses malheurs et son nom, / mais, dès que le destin servit Agamemnon, / l'intérêt dans son cœur faisant taire la gloire, / oublia l'amitié pour suivre la victoire. / Le cruel ( que ne peut l'ardente soif de l'or ! ) / égorge Polydore, et saisit son trésor ; / et la terre cacha sa victime sanglante.

Polimestor, que era o tal rei, quando a Fortuna / se retira de Troia e lhe permite a ruína, / ao bando passa de Agamêmnon vitorioso / e, rompendo com todas as leis santas, / trucida Polidoro e do ouro se apodera. / A que extremos não levas os mortais, / ó detestável sede de riquezas!