Translation of "Mœurs" in Portuguese

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Examples of using "Mœurs" in a sentence and their portuguese translations:

" Et vous-même à la table où sont assis les dieux / le recevrez vainqueur des peuples de l'aurore. / Sous son astre brillant quels beaux jours vont éclore ! / Du métal le plus pur ses jours seront filés. / Je vois la foi, les mœurs, et les arts rappelés. "

"No céu, tranquila o acolherás um dia, / dos despojos do Oriente carregado, / e os mortais, qual a um deus, lhe farão preces".

" Mais, pour mieux vous calmer, je veux de votre Énée / suivre dans tout son cours la haute destinée. / De ce fils, votre amour, cent combats glorieux / signaleront bientôt le bras victorieux. / Vainqueur de l'Ausonie, à ses peuples dociles / il donnera des mœurs, et des lois, et des villes. / Là, tandis que l'état fleurira sous ses lois, / le printemps aux frimas succédera trois fois. "

"Esse teu filho – já que estás tão preocupada / e aflita, vou dizer-te, antecipando / de muito o que registra o livro do destino – / fará na Itália demorada guerra, / vencerá tribos belicosas, fundará / para seu povo uma cidade organizada, / até que três verões no Lácio o vejam / a reinar e um terceiro inverno passe, / depois que ele tiver os rútulos vencido".

Didon les fait d'abord admettre en sa présence. / À peine au bruit confus succède le silence, / celui dont l'âge mûr a mérité leur choix, / Ilionée, ainsi fait entendre sa voix : / " Grande reine ! dit-il d'un ton plein de noblesse, / vous dont ces murs naissants attestent la sagesse, / et qui, donnant des mœurs à ce peuple indompté, / avez au frein des lois asservi sa fierté, / d'un peuple généreux, que le malheur accable, / vous voyez devant vous le reste déplorable ; / il vient vous implorer. À peine nos vaisseaux / échappaient aux fureurs et des vents et des eaux, / une troupe ennemie, au sortir du naufrage, / a menacé des feux ce qu'épargna l'orage. / O reine ! ouvrez l'oreille à nos cris douloureux ; / sachez ce qu'on nous doit, en sachant qui nous sommes. "

Lá chegando, / e tendo sido autorizados a falar / à soberana, Ilioneu, que era o mais velho, / proferiu calmamente estas palavras: / “Ó rainha, a quem Júpiter concede / erguer nova cidade e impor das leis o freio / ao orgulho de indômitas nações, / atende aos rogos dos troianos infelizes, / que os mares cruzam à mercê dos ventos: / livra do incêndio criminoso nossas naves, / poupa este povo ordeiro e de bom coração, / e com carinho estuda nossa causa".