Translation of "Dieux" in Portuguese

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Examples of using "Dieux" in a sentence and their portuguese translations:

- Les dieux existent.
- Des dieux existent.

- Os deuses existem.
- Deuses existem.

Les dieux existent.

- Os deuses existem.
- Deuses existem.

Des dieux existent.

Deuses existem.

Nos dieux sont morts.

Nossos deuses estão mortos.

De tels dieux n'ont jamais existé.

Tais deuses nunca existiram.

Puissent les dieux vous donner récompense!

Que os deuses o recompensem!

Mercure était le messager des dieux.

Mercúrio era o mensageiro dos deuses.

- Nous sommes des hommes, non des dieux.
- Nous ne sommes que des hommes, pas des dieux.

Nós somos apenas homens, não deuses.

Ceux que les dieux affectionnent meurent jeunes.

Os bons morrem jovens.

Les dieux ont décrété que l'homme est mortel.

Os deuses decretaram que o homem é mortal.

Je ne pense pas que les dieux existent.

Não acho que existam deuses.

Mais, hélas ! sans les dieux, quel bonheur est durable ?

Ai de mim! Quando os deuses são contrários, / não há contar com eles para nada!

" Non : la mère des dieux me retient auprès d'elle. "

"Cibele, excelsa mãe dos deuses, nestas plagas / retém-me."

Nous ne sommes que des hommes, pas des dieux.

Nós somos apenas homens, não deuses.

Nous ne sommes pas des dieux, mais seulement des hommes.

Nós não somos deuses, mas simples homens.

Contre la bêtise, même les dieux se battent en vain.

Contra a estupidez, mesmo os deuses combatem em vão.

Existe-t-il de nombreux dieux ? - Cela dépend de votre foi.

Existem muitos deuses? - Isso depende de sua crença.

Les dieux d'une religion en déclin deviennent les démons d'une naissante.

Os deuses de uma religião em decadência se tornam os demônios de uma religião nascente.

Même les dieux meurent quand plus personne ne croit en eux.

Até os deuses morrem quando ninguém mais acredita neles.

Anchise lève aux cieux ses vénérables mains : " Dieux ! ô dieux ! écartez ces fléaux inhumains ! / Venez à moi, dit-il, déités que j'encense ! / Secourez le malheur, secourez l'innocence ! "

Em atitude suplicante, Anquises, / na praia oferecendo sacrifícios / adequados, invoca as grandes divindades: / “Ó deuses, impedi que se cumpra essa ameaça! / Para longe afastai tal desventura, ó deuses! / Atendei-nos, poupai esta gente piedosa!”

Un chamane est considéré comme un intermédiaire entre les dieux et les hommes.

O xamã é visto como intermediário entre os deuses e os homens.

" Ils sont partis, sans doute ; et, sous d'autres auspices, / bientôt accompagnés de leurs dieux plus propices, / vous les verrez soudain reparaître à vos yeux ; / ainsi s'est expliqué l'interprète des dieux. "

"(E com certeza agora a Micenas velejam; / vão recompor as forças, procurar / dos deuses novo apoio; e, recruzando o mar, / chegarão quando menos esperardes.) / Tal foi de Calcas, em resumo, o vaticínio."

" Jupiter même aux Grecs souffle un feu belliqueux, / excite les mortels, et soulève les dieux. "

"O próprio Júpiter os gregos encoraja, / redobra-lhes as forças, e ele mesmo / instiga os imortais contra Dardânia."

Joie, belle étincelle des dieux, fille de l’Élysée, nous entrons l’âme enivrée dans ton temple glorieux.

Alegria, formosa centelha divina, nascida no Eliseu, nós ingressamos, ébrios de luz, em teu santuário celestial.

Vénus va porter ses plaintes à Jupiter sur l’éternelle persécution de la vindicative reine des dieux.

Vênus vai queixar-se a Júpiter da constante perseguição da vingativa rainha dos deuses.

" Si Troie avait pu l'être, Hector l'aurait sauvée : / je combattis Achille, et me soumis aux dieux. "

"Se Pérgamo pudesse / ter sido salva pelo braço de um mortal, / com meu braço teria resistido."

" Approchez : de nos dieux l'autel va nous défendre, / ou sous le même fer nous expirerons tous. "

"Vem, fica ao nosso lado; o altar protegerá / a todos nós ou juntos morreremos.”

Alors le voile tombe ; alors, de toutes parts, / je vois des dieux vengeurs la figure effrayante.

Terríficos espectros me aparecem: / são grandes numes incitados contra Troia.

Aussitôt, de mon fils, d'Anchise, de mes dieux, / je laisse à mes amis le dépôt précieux.

Confio Anquises, Iulo e os penates troianos / aos meus amigos e os escondo no recesso / de um vale próximo.

" Dieux paternels ! dit-il, c'en est fait, je me rends ; / protégez ma famille, et sauvez mes enfants ! / J'accepte avec transport ce présage céleste. / Dieux puissants ! d'Ilion vous sauverez le reste. / Viens, mon fils, je te suis. "

“Pátrios numes, afinal, / aceito a indicação do vosso augúrio; / nada mais me detém, parto em seguida. / Protegei-me a família, o neto protegei-me; / Troia conta com vossa potestade. / Agora, filho, não me nego a te seguir; / de bom grado serei teu companheiro.”

" Berceau de nos aïeux, ces lieux nous redemandent : / la déesse ma mère et les dieux le commandent. "

"Com vinte naus me fiz ao mar, deixando a Frígia; / a luz da deusa-mãe a me indicar a rota, / eu seguia o traçado do destino. / Mal me restaram sete naus, danificadas / pelas ondas que o vento encapelou".

Mes mains les destinaient aux autels de mes dieux, / lorsqu'un soudain prodige est offert à mes yeux.

Para adornar com verdes ramos os altares, / aproximo-me e trato de arrancar, / do chão, viçoso arbusto. A um prodígio espantoso / então assisto (mas quem pode acreditar?).

" Vous voyez cet Énée adorateur des dieux, / connu par ses exploits, connu par ses désastres ; / mon nom, trop glorieux, a volé jusqu'aux astres. / Emportant les débris et les dieux des Troyens, / avec eux je cherchais les bords ausoniens. "

"Sou Eneias; / aos deuses fiel, conduzo em minha frota / os Penates troianos resgatados / do inimigo; meu nome é proclamado / em toda parte e já chegou aos astros. / Vou em busca da Itália, a terra de meus pais; / do deus supremo, Júpiter, descendo".

À l'aspect du fantôme envoyé par les dieux, / je frémis, ma voix meurt, et mes cheveux se dressent.

Paro atônito, embarga-se-me a voz, / meus cabelos se eriçam.

Nous ne sommes pas des dieux, mais seulement des imposteurs qui ont décidé qu'ils étaient autorisés à tout faire.

Não somos deuses, mas apenas impostores que decidiram que tudo lhes é permitido.

Maintenant que tu es parti, parce que tu languissais après la maison de ton père, pourquoi as-tu dérobé mes dieux ?

Agora, se partiste porque estavas com saudade da casa de teu pai, por que então roubaste meus deuses?

La reine alors demande un riche vase d'or / que l'éclat des rubis embellissait encor. / Là, les vins dont les dieux reçoivent les prémices / dans les banquets sacrés et dans les sacrifices, / depuis le grand Bélus, son aïeul renommé, / en l'honneur de ses dieux avaient toujours fumé.

Então pede a rainha e enche de vinho / pesada taça de ouro cravejada / de pedras raras e que a vários reis fenícios, / desde o primeiro Belo, pertencera.

Sa présence imprévue a frappé tous les yeux. / " Celui que vous cherchez, dont la faveur des dieux / a conservé les jours, le voici. "

Ele, com sua inesperada aparição / a todos surpreendendo, se dirige / à soberana e fala: “Eis aqui em pessoa / aquele a quem buscais – Eneias, o troiano, / salvo do mar da Líbia".

" Grand roi ! prenez pitié de mon destin funeste ; / par les dieux immortels, par la foi que j'atteste, / plaignez mon innocence, épargnez mes malheurs ! "

"Por isso é que te peço – pelos deuses / celestes, pelos numes que a verdade / sabem reconhecer, pela justiça / (se alguma existe imaculada entre os mortais) –, / que te condoas de tamanhos sofrimentos, / que te apiedes de um pobre coração / agora exposto a provações que não merece.”

À peine j'eus calmé ma première épouvante : / sur ces signes affreux du céleste courroux / je consulte les dieux, et mon père avant tous.

Refeito do terror, conto o prodígio / emanado dos deuses a meu pai / e demais próceres do povo, e lhes pergunto / o que pensam do caso.

Et nous, nous malheureux qu'attendait le trépas, / nous rendions grâce aux dieux ; et notre aveugle joie / faisait fumer l'encens dans le temples de Troie.

E nós, simplórios condenados, nesse dia, / que para nós seria o derradeiro, / pela cidade andávamos tranquilos, / engrinaldando os templos para festa.

Tremblant, j'offre mes vœux aux nymphes des bocages, / au fier dieu des combats ; et mes pieux hommages / sollicitent des dieux un présage plus doux.

Em mil coisas pensando, às ninfas da floresta / e a Marte Augusto, protetor dos campos trácios, / suplico que conjurem tal presságio, / convertendo em propícia a sinistra visão.

" Mais qui pouvait si loin attendre une patrie ? / Et qui croyait Cassandre en ces temps malheureux ? / Cédons aux lois du sort, obéissons aux dieux. "

"Porém, quem haveria de pensar / que os troianos um dia migrariam / para a distante Hespéria; quem daria / crédito então às profecias de Cassandra? / A Febo obedeçamos e, advertidos, / sigamos-lhe a mais clara indicação.”

Ainsi parla mon père, et deux taureaux sacrés / sont aux dieux protecteurs offerts en sacrifice : / l'un rend à nos destins le dieu des mers propice, / et l'autre d'Apollon implore les faveurs ; / ensuite deux brebis diverses de couleurs / sont offertes aux dieux de l'orageux empire, / la noire aux Vents fougueux, la blanche au doux Zéphyre.

Assim tendo falado, nos altares / as adequadas vítimas imola: / um touro a ti, glorioso Apolo, outro a Netuno, / ovelha preta aos temporais, branca aos favônios.

Anchise prend un vase orné d'une guirlande ; / et, joignant la prière à sa liquide offrande, / debout sur le tillac, s'écrie : " O dieu des flots ! / Vous qui leur commandez le trouble et le repos, / et vous, dieux du rivage, écoutez ma prière : / " Dieux puissants, nous touchons au bout de la carrière : / encore un vent propice, encore un souffle heureux. "

Então meu pai Anquises / cinge de uma grinalda grande taça, / enche-a de vinho puro e invoca os deuses, / de pé no alto da popa: “Grandes numes, / que poder tendes sobre o mar e a terra, / ó senhores do tempo, concedei-nos / ventos propícios e feliz navegação!”

" Ah ! si ce peuple affreux brave les lois humaines, / il est, il est des dieux qui, par de justes peines, / récompensent le crime et vengent le malheur. "

"Se desprezais o ser humano e dos mortais / a vingança, convém temer os deuses, / que tanto as boas quanto as más ações observam".

Ayant remis les statues de ses dieux entre les mains d'Anchise, il le charge sur ses épaules, et traverse la ville, se retirant sur le mont Ida.

Tendo entregue as estátuas de seus deuses nas mãos de Anquises, carregou-o sobre os ombros e, atravessando a cidade, retirou-se para o Monte Ida.

Dieux ! qu'il m'attendrissait ! qu'Hector ressemblait peu / à ce terrible Hector qui dans leur flotte en feu / poussait des ennemis les cohortes tremblantes, / ou d'Achille emportait les dépouilles fumantes !

Ai! quão diferente estava! / Que mudança tremenda se operara / naquele Heitor que um dia vimos ostentando / armas de Aquiles, que de Pátroclo tomara! / Onde o guerreiro que lançava contra as naus / dos inimigos os archotes frígios?

" Non, non, ce ne sont point ces objets de ta haine, / non, ce n'est point Pâris, ni l'odieuse Hélène, / c'est le courroux des dieux qui renverse nos murs. "

"Não culpes a beleza da espartana, / essa filha de Tíndaro, que odeias, / nem Páris, tantas vezes acusado. / É dos deuses, dos deuses a inclemência / que este império destrói, que está abatendo / de seu alto fastígio a grande Troia."

" Vous, mon père, prenez nos dieux, nos vases saints ; / je ne puis y toucher avant qu'une onde pure / du sang dont je suis teint m'ait lavé da souillure. "

"Ó pai, leva contigo / as alfaias do culto e os penates da pátria; / de mãos manchadas pelo sangue derramado / nos combates ferozes desta noite, / cometeria eu sacrilégio se os tocasse / sem me purificar em límpida corrente.”

Je cherche en vain. Grands dieux ! si le sort moins cruel, / si le ciel l'eût conduite au palais paternel ! / J'y cours. Déjà les Grecs s'en étaient rendus maîtres.

À nossa casa me dirijo para ver – / ah, se fosse possível! – se ela havia / voltado para lá. Todo o edifício encontro / invadido e à mercê da sanha grega.

Lorsqu'il portait ses dieux chez ces fameux Albains, / nobles fils d'Ilion, et pères des Romains, / créait du Latium la race triomphale, / et des vainqueurs des rois la ville impériale !

Muito sofreu também na guerra que no Lácio / travou para fundar uma cidade, / onde os teucros penates abrigasse, / dali provindo a raça dos latinos, / os reis albanos e a altaneira Roma.

En ces lieux révérés, / Hécube et ses enfants ensemble retirés, / ainsi qu'aux sifflements des tempêtes rapides / s'attroupe un faible essaim de colombes timides, / se pressaient, embrassaient les images des dieux.

Ali, em torno / do altar, desamparadas se assentavam, / qual pombas que a tormenta assustadora / pusesse em fuga, Hécuba e as filhas, bem juntinhas, / contra o peito apertando as imagens dos deuses.

En ces moments affreux, / qui n'implorai-je point des hommes et des dieux ! / Non, Ilion en feu, non, cette nuit terrible, / pour ce cœur déchiré n'eut rien de plus horrible.

Pela aflição ensandecido, que mortal / ou que deus não terei recriminado? / Que inclemência maior poderia sofrer / meu coração na noite em que Troia tombou?

À la belle Vénus, aux dieux dont les auspices / sont aux nobles projets funestes ou propices, / j'offre mon humble hommage ; et le sacré couteau / immole à Jupiter un superbe taureau.

Aos numes tutelares das empresas / nascentes e à minha mãe, divina filha / da ninfa Dione, oferecia eu sacrifícios / e na praia imolava ao rei do Olimpo / um touro gordo de luzida pele.

Ainsi parlaient mes dieux : ce n'était point d'un songe / l'illusion nocturne et le grossier mensonge ; / c'étaient leurs saints bandeaux, leurs regards, leurs accents, / et tous mes sens émus me les montraient présents. / Tremblant, je me relève ; et, d'une ardeur pieuse, / je lève au ciel ma voix, ma main religieuse ; / aux dieux hospitaliers je rends un juste honneur, / et je cours à mon père annoncer mon bonheur.

Atônito de tal visão e da mensagem / dos deuses (não, não era aquilo um sonho, / pois eu podia distingui-los muito bem / diante de mim, reconhecer-lhes as feições, / ver as sagradas fitas a adornar-lhes / os cabelos; demais, um suor frio / o corpo todo estava me banhando), / salto da cama e, aos céus voltando as palmas / das mãos, faço uma prece e, segundo o ritual, / libações ofereço aos santos lares. / Serenado por esse sacrifício, / de tudo presto minuciosa conta a Anquises.

Les dieux Pénates d'Énée lui apparaissent durant la nuit ; ils l'éclairent sur la méprise de son père, et lui déclarent que c'est l'Italie qui doit être le terme de son voyage.

Os penates de Eneias lhe aparecem durante a noite; e, afirmando que seu pai se enganara, esclarecem que a Itália é que há de ser o termo de sua viagem.

O Troie ! ô ma patrie ! ô vénérable asile ! / Murs peuplés de héros ! murs bâtis par les dieux ! / Quatre fois, près d'entrer, le colosse odieux / s'arrête ; quatre fois on entend un bruit d'armes.

Ó minha pátria, ó Ílio tão querida, / com todos os teus templos e teus deuses! / Ó gloriosas muralhas dos dardânios! / Quatro vezes à entrada se deteve / o cavalo e em seu bojo quatro vezes / armas entrechocando-se tiniram.

" Que les dieux, s'il en est qui vengent l'innocence, / t'accordent, malheureux ! ta juste récompense ; / toi qui d'un sang chéri souilles mes cheveux blancs, / qui sous les yeux d'un père égorges ses enfants. "

“Por este crime, / por audácia tamanha o céu te pague, / se há Providência para tais atrocidades, / na moeda que mereces e premie / condignamente a ti, que presenciar me fazes / a morte de meu filho, profanando / as cãs do pai com o sangue do rebento."

Mais périsse celui auprès duquel tu trouveras tes dieux ! En présence de nos frères, examine ce qui t’appartient chez moi, et prends-le. Jacob ne savait pas que Rachel les eût dérobés.

"Quanto aos teus deuses, morra aquele com quem os encontrares. Na presença dos nossos parentes, procura tu mesmo e vê se encontras aqui comigo qualquer coisa que te pertença, e, se a encontrares, leva-a de volta". Com efeito, Jacó ignorava que Raquel os tivesse roubado.

" Reine, répond Éole, ordonnez, j'obéis : / à la table des dieux par vous je suis assis ; / par vous j'ai la faveur du souverain du monde, / et je commande en maître aux puissances de l'onde. "

Em resposta, diz Éolo: “A ti, rainha, / cabe o trabalho de buscar o que desejas; / a mim cumpre somente executar / os teus mandados. Deste-me este reino / (se assim posso chamá-lo) e me garantes / este cetro e o favor de Júpiter supremo; / dás-me o direito de participar / dos banquetes dos deuses e me fazes / senhor das nuvens e das tempestades.”

Tout à coup d'Apollon je vois le saint-ministre, / tout pâle des horreurs de cette nuit sinistre, / portant ses dieux vaincus, traînant son petit-fils, / échapper à grands pas au fer des ennemis.

Eis porém que, escapando aos dardos gregos, / Panto, filho de Otreu, sacerdote do templo / de Apolo em nossa cidadela, vem correndo, / quase fora de si, à minha estância, / arrastando um netinho pela mão / e trazendo os objetos consagrados / do culto de seus deuses derrotados.

Bien loin de ma patrie est une vaste terre, / que consacra Lycurgue au grand dieu de la guerre : / dans des temps plus heureux, les dieux hospitaliers / unissaient les Troyens à ces peuples guerriers.

A terra pelos Trácios habitada, / com seus extensos campos cultivados, / protegida de Marte e onde Licurgo / belicoso reinara, antiga e hospitaleira / aliada foi de Troia, enquanto esta durou – / e mesmo laços de família uniam / aos penates troianos seus penates.

Adressant donc sa voix à l'aîné des Amours : / " O toi, l'honneur, l'appui, le charme de mes jours, / enfant vainqueur des dieux, souverain de la terre, / de que la flèche insulte aux flèches du tonnerre. "

Resolve, assim, falar ao alígero Amor: / “Meu filho, és minha força, és todo o meu poder; / só tu não temes, filho, os dardos com que o Pai Supremo fulminou Tifeu gigante; / recorro, pois, a ti, venho implorar-te auxílio".

Voyant le noble feu qui brûle dans leur sein : / " Cœurs généreux, hélas ! et généreux en vain, / vous le voyez : la flamme en tous lieux se déploie ; / comme nous asservis, les faibles dieux de Troie / de leurs temples brûlants ont quitté les autels. / Les dieux nous ont trahis ; et nous, faibles mortels, / nous secourons des murs qu'ils ne purent défendre ! / Qu'importe, amis ? mourons dans nos remparts en cendre, / mourons le fer en main, voilà notre devoir. "

Vendo-os assim reunidos e dispostos / a lutar, lhes falei: “Bravíssimos guerreiros! / Bem podeis ver qual é a nossa situação: / todos os deuses que este império sustentavam / já nos deixaram, desertando de seus templos, / de seus altares; socorreis em vão / uma cidade em chamas. Se estais mesmo / determinados a seguir alguém / pronto ao máximo ousar, então que nos lancemos / ao mais aceso da refrega e pereçamos."

" Les Troyens aveuglés vainement l'entendirent. / Sans cet aveuglement, sans le courroux des dieux, / dans les flancs entr'ouverts du colosse odieux / nous aurions étouffé les fléaux près d'éclore ; / et toi, chère Ilion, je te verrais encore ! "

"E não fora o destino tão adverso / e o desvario que de todos se apossava, / Laocoonte nos teria convencido / a traspassar dos gregos o covil; / e estarias de pé, ó Troia, e te salvaras, / de Príamo ó soberba cidadela!"

De l'éclat de ses traits Didon reste frappée ; / de ses malheurs, de lui son âme est occupée. / "O noble sang des dieux, que je plains vos revers ! / dit elle. Quel destin vous jette en ces déserts ? "

Pasmada tanto da presença quanto / das grandes desventuras de tal homem, / a rainha fenícia assim lhe fala: / “Que maus fados, ó sangue de uma deusa, / entre perigos tão terríveis te perseguem? / Que força te arremessa a tão bravias plagas?"

Sur eux, le fer en main, nous fondons avec joie, / et nos dieux sont admis à cette riche proie. / Une table, dressée au bord courbé des mers, / se couvre de ces mets par le hasard offerts.

De espada em punho acometemos. Ofertamos / parte da presa ao Rei do Olimpo e aos outros deuses; / sobre leitos de relva na enseada, / com lauta refeição nos regalamos.

Quand Troie eut succombé, quand le fer et les feux / eurent détruit ses murs condamnés par les dieux, / et que, de ses grandeurs étonné de descendre, / le superbe Ilion fut caché sous la cendre, / innocents et proscrits, pour fixer nos destins, / il nous fallut chercher des rivages lointains. / Soumis aux lois du sort, aux oracles fidèle, / sous les hauteurs d'Antandre et du mont de Cybèle, / j'équipe des vaisseaux, incertain sur quel bord / vont nous guider les dieux, va nous jeter le sort.

Depois que aprouve aos deuses destruir / da Ásia o império e de Príamo a linhagem; / depois que sem motivo Ílion soberba / tombou e toda a Troia de Netuno / foi reduzida a escombros fumegantes, / somos levados a buscar terras distantes, / desabitadas, para o exílio que os augúrios / divinos, imprecisos, nos apontam. / E construímos, assim, bem junto a Antandro, / aos pés da frígia cordilheira do Ida, / uma frota e alistamos tripulantes, / sem saber aonde os fados nos conduzem, / onde vão permitir nos instalemos.

Le héros poursuivait ce douloureux discours ; / mais sa mère attendrie en arrête le cours. / " Oh ! qui que vous soyez, le ciel vous est propice : / de la belle Didon la bonté protectrice / accueillera vos dieux, et votre peuple, et vous. "

Não mais podendo suportar do filho as queixas, / Vênus assim lhe interrompeu a triste fala: / “Quem quer que sejas, eu não creio que as potências / do céu te queiram mal, já que chegaste / a esta cidade tíria são e salvo".

" Soit qu'aux champs de Saturne, aux rivages latins, / appelés par les dieux, vous suiviez vos destins ; / soit qu'aux champs fraternels de l'heureuse Sicile / chez un prince allié vous cherchiez un asile ; / comptez sur mes bienfaits, comptez sur mes secours. "

"Quer desejeis chegar à grande Hespéria / e aos campos sobre os quais reina Saturno, / quer de Érix à região e ao rei Acestes, / eu vos assistirei com meus recursos / e daqui podereis partir em segurança".

Là, sont accumulés tous les trésors de Troie, / et les vases d'or pur, et les tables des dieux, / et des pontifes saints les vêtements pompeux. / Autour de cet amas de dépouilles captives / se pressent les enfants et les mères plaintives.

Ali se amontoavam / os pilhados tesouros dos troianos, / que chegavam até dos templos e santuários / ainda em chamas: mesas de oferenda, / vasos de ouro maciço, paramentos, / ricas alfaias e tapeçarias. / À roda, em longa e dolorosa fila, / apavoradas mães, filhos chorando.

La nuit couvrait le ciel ; tout dormait, quand mes dieux, / ravis dans Troie en cendre à la fureur des feux, / aux rayons de Phébé qui brillait tout entière, / m'apparaissent en songe, éclatants de lumière, / consolent mes chagrins, et m'adressent ces mots :

Caíra a noite e sobre a terra o sono / apoderava-se de toda a humana gente. / As sagradas imagens dos penates / troianos, que, do incêndio da cidade / resgatando, eu comigo transportara, / eis do meu leito, qual num sonho, vejo erguer-se / à minha frente, bem iluminadas / pelo esplendor que a lua cheia difundia / através da janela aberta do meu quarto. / E pareceu-me ouvi-las proferir, / para tranquilizar-me, estas palavras:

Muse, raconte-moi ces grands évènements. Dis pourquoi de Junon les fiers ressentiments, Poursuivant en tous lieux le malheureux Énée, Troublèrent si long-temps la haute destinée D’un prince magnanime, humain, religieux. Tant de fiel entre-t-il dans les âmes des dieux !

Musa, bem sabes que dos deuses a rainha, por julgar-se ofendida em sua majestade, agastada obrigou varão de excepcionais virtudes a arrostar inenarráveis situações de perigo e duras provações. Pode haver tanto fel em corações divinos?

Muse, raconte-moi ces grands évènements ; / dis pourquoi de Junon les fiers ressentiments, / poursuivant en tous lieux le malheureux Énée, / troublèrent si longtemps la haute destinée / d'un prince magnanime, humain, religieux. / Tant de fiel entre-t-il dans les âmes des dieux !

Musa, relembra-me! Dos deuses a rainha, / por julgar-se ofendida em sua majestade, / agastada obrigou varão de excepcionais / virtudes a arrostar inenarráveis / situações de perigo e duras provações. / Pode haver tanto fel em corações divinos?

" Tant que du haut des monts la nuit tendra ses voiles, / tant qu'on verra les cieux se parsemer d'étoiles, / tant que la mer boira les fleuves vagabonds, / quel que soit mon destin, votre gloire, vos dons, / j'en atteste les dieux, suivront partout Énée. "

"Enquanto os rios corram para o mar / e as sombras girem pelos ombros das montanhas, / enquanto possa o céu nutrir os astros, / teu nome exaltarei por toda a parte / e eterna estima a ti devotarei.”

" Enfin du mont Ida le bois religieux, / là nous attend le sort, là nous guident les dieux. / Mais apaisons d'abord les puissances de l'onde ; / et, si le vent nous sert, si le ciel nos seconde, / trois jours nous porteront sur ces bords désirés. "

"Ânimo, pois, vamos seguir a rota / que os deuses nos indicam. Propiciemos / os ventos e partamos para o reino / de Cnossos, que daqui não fica longe; / se nos assiste Júpiter, a frota / em três dias fundeia em litoral cretense.”

" Et vous-même à la table où sont assis les dieux / le recevrez vainqueur des peuples de l'aurore. / Sous son astre brillant quels beaux jours vont éclore ! / Du métal le plus pur ses jours seront filés. / Je vois la foi, les mœurs, et les arts rappelés. "

"No céu, tranquila o acolherás um dia, / dos despojos do Oriente carregado, / e os mortais, qual a um deus, lhe farão preces".

Là, pour les dieux s'élève un auguste édifice; / là, viendra l'innocence invoquer la justice ; / contre les flots grondants et les vents orageux / le commerce a ses ports ; le théâtre a ses jeux, / et déjà, de la scène ornements magnifiques, / les marbres africains sont taillés en portiques.

Áreas elegem / da corte de justiça e do augusto senado. / Aqui se draga o porto, ali se assentam / profundos alicerces para um teatro, / ou se talham do mármore colunas / imensas destinadas a adornar / o magnífico palco projetado.

Achate au chef troyen tient alors ce langage : / " Fils des dieux ! vous voyez, vos vaisseaux sont sauvés, / vos guerriers réunis, vos amis retrouvés : / un seul manque à nos vœux, malheureuse victime, / que la mer à nos yeux engloutit dan l'abîme. / Au discours de Vénus jusqu'ici tout répond. "

E o segundo ao primeiro interpela: “Ó progênie / divina, em que inda pensas? Podes ver / que tudo se salvou, que recebemos / de volta a frota e os companheiros, à exceção / de apenas um, que vimos abismar-se / em meio às ondas; quanto ao mais, está / tudo conforme ao que predisse a deusa-mãe”.

" Aux enfers dès longtemps mon ombre dut descendre ; / depuis longtemps je meurs ; et mes jours odieux / sont à charge à la terre, et maudits par les dieux, / depuis que Jupiter, qui dut me mettre en poudre, / m'a flétri de ses feux, et frappé de sa foudre. "

"Há muito tempo odiado pelo Olimpo, / venho arrastando inutilmente a vida, / desde que o pai dos deuses, rei dos homens, / de leve me atingiu com o vento de seu raio / e com dedo de fogo me marcou.”

Je visite du dieu le temple tutélaire, / et je m'écrie : " O toi, que dans Thymbre on révère, / à ce malheureux peuple, errant, persécuté, / donne un asile sûr, une postérité ! / Où faut-il transporter, nous, nos dieux, et Pergame ? / Viens, parle, éclaire-nous, et descends dans notre âme ! "

No antigo templo, edificado sobre a rocha, / faço uma prece: “Ó deus, que em Timbra és venerado, / concede-nos, após tantas fadigas, / um sítio onde morar, dá-nos uma cidade, / que às nossas gerações o porvir assegure; / salva outra Pérgamo, segunda Troia, / nestes que conseguimos escapar / da treta grega e do furor de Aquiles. / Quem será nosso guia? Aonde nos mandas ir? / Onde estabelecer-nos poderemos? / Dá-nos, pai, um sinal, penetra em nossas mentes.”

" Ce n'est pas tout encor : lorsque sur le rivage / aux dieux conservateurs tu paîras ton hommage, / qu'un long voile de pourpre, abaissé sur tes yeux, / dérobe à tes regards tout visage odieux ; / défends qu'aucun objet d'un augure sinistre / ne trouble le présage ainsi que le ministre. "

"E há mais: ao termo da jornada, quando / a frota repousar além dos mares / e já na praia ante os altares os teus votos / fores cumprir, com purpurino manto / cobre a cabeça, para que, durante o culto, / figura hostil nenhuma possa, sendo vista / entre os lumes rituais, perturbar os presságios."

Elle dit : le nectar coule en l'honneur des dieux. / Didon au même instant de ses lèvres l'effleure ; / Bitias le reçoit ; on l'excite, et, sur l'heure / s'abreuvant à longs traits du nectar écumant, / la coupe aux larges bords est vide en un moment. / Le vase d'or circule, avec lui l'allégresse.

Sobre a mesa ela verte as primícias do vinho, / e tendo feito, assim, a libação dos deuses, / só com a ponta dos lábios toca a borda / da taça, que em seguida entrega a Bítias, / irônica exortando-o a beber; / sem perder um segundo ele mergulha / na pátera espumante o rosto e sorve / sofregamente o conteúdo até enxergar / o ouro no fundo; os outros próceres completam / a rodada.

" Au milieu des terreurs dont notre ame est troublée, / le roi d'Ithaque, aux yeux de la Grèce assemblée, / traîne à grand bruit Calchas; et ses cris odieux / le pressent de nommer la victime des dieux. / Déjà, lisant de loin dans son ame cruelle, / mes amis annonçaient ma sentence mortelle. "

"Nisso, o itacense, em meio a um vozerio / enorme, a Calcas, o adivinho, traz à cena, / mandando-lhe insistente que interprete / o decreto dos deuses; muita gente / percebeu logo a trama cruel e a quem visava / o arteiro, e, sossegada, o meu fim antevia."

De ses Grecs irrités redoutant le courroux, / la haine des Troyens, la fureur d'un époux, / cette vile beauté, pour qui la jalousie / arma la Grèce et Troie, et l'Europe et l'Asie, / se cachait ; et, tremblante à l'ombre des autels, / fuyait aux pieds des dieux la fureur des mortels.

Destruidora de Pérgamo, temendo / por isso ser executada pelos teucros, / e receando não menos o castigo / que poderia receber às mãos dos seus / e do traído Menelau, aquela Erínia, / igualmente funesta a Troia e à Grécia, / amaldiçoada, entre os altares se ocultava.

Déjà l'Ida s'éclaire, et de l'astre du jour / l'étoile du matin annonce le retour ; / les Grecs de toutes parts ont investi les portes. / " C'en est fait, m'écriai-je : ô Destin ! tu l'emportes. " / Je pars, reprends mon père, et, guidé par les dieux, / transporte sur l'Ida ce fardeau précieux.

E já surgia / nos altos visos do Ida a estrela-d’alva, / trazendo o dia, e já bloqueadas se encontravam / pelos gregos as portas da cidade. / Não nos restando a mínima esperança / de salvação, cedi ao meu destino / e, a meu pai carregando, os montes demandei.

" Oublie ici les Grecs et leur vaine fureur : / nous t'adoptons. Et toi, réponds sans artifice : / Pourquoi de ce cheval l'étonnant édifice ? / Dis, quel en est le but ? quel en est l'inventeur ? / Est-ce un hommage aux dieux ? est-ce un piège trompeur ? / Qu'en devons-nous penser ? et que devons-nous craindre ? "

"Quem quer que sejas, doravante esquece os gregos, / que deixas para trás, pois serás um dos nossos. / Agora, fala-me a verdade: de quem foi / a ideia de erigir essa montanha / em forma de cavalo? A que o destinam? / É voto aos deuses? Será máquina de guerra?”

À peine on a connu la mort de la victime, / tout frémit d'épouvante : on dit " que de son crime / le coupable a reçu le juste châtiment, / lui dont la main osa sur un saint monument / lancer un fer impie, et d'un bras sacrilège / d'un présent fait aux dieux souiller le privilège. "

Daqueles pobres corações todos se apossa / redobrado temor, então, porque se diz / ter Laocoonte merecido a dura pena, / pelo crime de haver, com sacrílego dardo, / ferido o flanco do sagrado lenho.

" Et moi, qui marche égale au souverain des cieux, / moi, l'épouse, la sœur du plus puissant des dieux, / armant contre un seul peuple et le ciel et la terre, / vainement je me lasse à lui livrer la guerre ! / Suis-je encore Junon ? et qui d'un vain encens / fera fumer encor mes autels impuissants ? "

"Enquanto eu, que dos deuses sou rainha, / que, além de ser de Júpiter irmã, / esposa sou também, contra um só povo / vejo-me a fazer guerra há tantos anos! / Depois disto quem pode haver disposto / a venerar de Juno a divindade, / ou com preces depor em seus altares / uma oferenda, um digno sacrifício?”

" Bientôt s'allume entr'eux le flambeau de la haine. / Insatiable d'or, ce monstre furieux, / sans égard pour sa sœur, sans respect pour les dieux, / dans le temple en secret immole sa victime ; / et toutefois longtemps il sut cacher son crime, / et, d'une sœur crédule amusant la douleur, / longtemps d'un faux espoir il entretint son cœur. "

"Entre os cunhados / ódio feroz surgiu. Eis, cego pela sede / de ouro, surpreende o celerado ante os altares / a Siqueu e o golpeia sem ser visto, / prostrando-o, indiferente ao coração da irmã. / Ele ocultou por muito tempo o crime, / mil pretextos achando o cruel para iludir / com esperanças vãs a lacrimosa amante".

Devant lui la déesse abaissant sa hauteur : / " Roi des vents, lui dit-elle avec un air flatteur, / vous à qui mon époux, le souverain du monde, / permit et d'apaiser et de soulever l'onde, / un peuple que je hais, et qui, malgré Junon, / ose aux champs des Latins transporter Ilion, / avec ses dieux vaincus fend les mers d'Étrurie. "

A ele então, / humilde, Juno roga nestes termos: / “Ó Éolo (pois a ti o pai dos deuses / e rei dos homens deu a faculdade / de as ondas amansar e de encrespá-las / com o auxílio do vento), uma gente que odeio / no momento navega o mar Tirreno, / levando para a Itália Ílio vencida / e seus penates".

" Ô ma mère ! ô Vénus ! quoi ! ton cruel secours / de la flamme et du fer n'a donc sauvé mes jours / que pour voir, ô douleur ! ô désespoir extrême ! / dans son dernier abri périr tout ce que j'aime, / et mon fils, et ma femme, et mon père, grands dieux ! / dans le sang l'un de l'autre immolés à mes yeux ! "

"Para isto me salvaste, ó mãe querida, / arrancando-me às lanças e ao incêndio? / Para que eu visse ante meus lares o inimigo / trucidar minha esposa e meu pai e meu filho, / deixando-os a banhar-se uns no sangue dos outros?!"

Caché dans son nuage, il hésite, il balance, / veut savoir leur destin, veut savoir en quels lieux / les ont jetés les vents, les ont conduits les dieux, / quel sort les a sauvés, ou bien sur quel rivage / ils ont laissé la flotte échappée au naufrage, / et quels pressants besoins, quels intérêts nouveaux, / à Carthage ont conduit les chefs de ses vaisseaux.

Continuam / no interior da nuvem, que os esconde, / e, espreitando, procuram descobrir / que sucedera àqueles homens; onde a frota / estaria ancorada, e por que vinham / ali – tratava-se de um grupo eleito / dentre as tripulações de todos os navios / e que, implorando proteção em alta voz, / se dirigia ao templo.