Translation of "Fuit" in Portuguese

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Examples of using "Fuit" in a sentence and their portuguese translations:

Le toit fuit.

O teto está vazando.

Le robinet fuit.

A torneira está pingando.

Le pneu fuit.

O pneu está vazando.

- Il fuit.
- Elle fuit.
- Il a une fuite.
- Elle a une fuite.

Tem uma falha.

Elle fuit toujours ses responsabilités.

Ela sempre foge de suas responsabilidades.

- Le pneu fuit.
- De l'air s'échappe du pneu.

O pneu está vazando.

La philosophie cherche la vérité, mais la vérité fuit la philosophie.

A filosofia busca a verdade, mas a verdade foge à filosofia.

Lorsque la pauvreté frappe à la porte de devant, l'amour fuit par celle de derrière.

Quando a pobreza bate na porta da frente, o amor foge pela porta dos fundos.

Elle dit, et soudain s'évanouit dans l'air ; / elle fuit, et, malgré mes soupirs et mes larmes, / d'un entretien si doux elle interrompt les charmes.

Depois de proferir essas palavras, / ela dissipa-se em pleno ar, deixando-me / em lágrimas banhado e desejoso / de tanta coisa lhe dizer...

Le bord fuit : devant nous s'étend la mer profonde ; / tout à coup la tempête, apportant la terreur, / sur l'onde au loin répand sa ténébreuse horreur.

Quando os navios já se encontram no alto mar, / não mais restando terra alguma à vista – / céu e mar, mar e céu por toda a parte – / vêm sobre nós pesados nimbos, transportando / treva e tormenta, e o mar se encrespa assustador.

Le jour fuit, un second s'écoule dans la joie ; / mais l'autan a soufflé, la voile se déploie, / et son souffle sur l'onde appelle nos vaisseaux.

Passam-se os dias velozmente; faz bom tempo / e dos austros ao sopro as velas intumescem, / convidativas apontando para o mar.

Sur la face des eaux s'étend la nuit profonde ; / le jour fuit, l'éclair brille, et le tonnerre gronde ; / et la terre et le ciel, et la foudre et les flots, / tout présente la mort aux pâles matelots.

De repente, / as nuvens toldam o céu, roubando a luz / aos olhos dos troianos, qual se as trevas / da noite já descessem sobre o mar. / Os polos estrondeiam; com frequentes / relâmpagos, cintila todo o espaço, / e de morte iminente a natureza / ameaça aqueles homens.

Et, tel qu'un voyageur / qui sur un long serpent roulé dans son asile / appuie un pied pesant, soudain d'un saut agile / fuit le reptile affreux, qui, de terre élancé, s'allonge, et marche à lui fièrement courroucé : / tel ce Grec devant nous recule d'épouvante.

Qual aquele / que, incauto, entre silvados espinhosos, / numa serpente pisa e trêmulo se afasta / do réptil, que, assanhado, ergue a cabeça / e incha o pescoço peçonhento; bem assim, / horrorizado por nos ver, recua Andrógeos.

Tout fuit épouvanté. Le couple monstrueux / marche droit au grand prêtre ; et leurs corps tortueux / d'abord vers ses deux fils en orbe se déploie, / dans un cercle écaillé saisit sa faible proie, / l'enveloppe, l'étouffe, arrache de son flanc / d'affreux lambeaux suivis de longs ruisseaux de sang.

Ante a visão chocante, espavoridos / precipitamo-nos em várias direções. / Determinadas, as serpentes correm / até Laocoonte, mas primeiro / enlaça cada qual do antiste um filho, / e as infelizes presas, a dentadas, / têm devorados seus pequenos corpos.

Le Troyen cependant ne meurt pas sans vengeance, / la fureur quelquefois ranime sa vaillance ; / tour à tour on éprouve, ou répand la terreur ; / on fuit, et l'on poursuit ; on tombe, on est vainqueur ; / partout des pleurs, du sang, des hurlements terribles, / et la mort qui renaît sous cent formes horribles.

Mas o sangrento sacrifício não atinge / apenas os vencidos; a bravura / dos troianos às vezes prevalece / e os gregos vencedores também caem. / O que se vê por toda a parte é de cortar / os corações: o pânico, a agonia / e a exposição da morte em várias formas.

Son fils la reconnaît, et, tandis qu'elle fuit, / de ses yeux, de sa voix, longtemps il la poursuit, / et, l'œil baigné de pleurs : " Quoi ! toi-même, ô ma mère ! / tu te plais à tromper un fils qui te révère ! / Ah ! quand pourra ton fils te presser sur son sein, / mes yeux fixer tes yeux, ma main serrer ta main ? / N'abuse plus mes sens ; que le fils le plus tendre / puisse en effet te voir, te parler et t'entendre ! "

Assim que reconhece a mãe, que se afastava, / pressuroso ele a segue e assim lhe fala: / “Ah, como és impiedosa! Por que zombas / tanto, com tais simulações, deste teu filho? / Por que não queres que eu te aperte a mão? / Por que não posso conversar jamais contigo / sinceramente, sem a sombra de um disfarce?”

Il fuit, le héros reste : on s'étonne, et la foule / admire tant de grâce et tant de majesté. / Vénus même à son fils prodigua la beauté, / versa sur tous ses traits ce charme heureux qui touche : / elle-même en secret d'un souffle de sa bouche / imprime sur son front, allume dans ses yeux, / ce doux éclat qui fait la jeunesse des dieux, / en boucles fait tomber sa belle chevelure, / et pour lui de ses dons épuise sa ceinture. / C'est un dieu, c'est son fils. Bien moins resplendissant / sort d'une habile main l'ivoire éblouissant ; / ainsi l'art donne au marbre une beauté nouvelle ; / ou tel, entouré d'or, le rubis étincelle.

Na claridade, Eneias aparece, / qual um deus no semblante e na postura; / com seu sopro divino, a genitora / dera ao filho formosa cabeleira, / da juventude o róseo viço e a sedutora / graça que de seus olhos se irradiava: / qual pelas mãos do artista se realça / do marfim a beleza, ou quando em rútilo ouro / se engasta a prata ou o mármore de Paros.