Examples of using "Ulysses" in a sentence and their french translations:
Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage.
Là, sous un long portique, asile de Junon, / déjà le vieux Phénix, et l'horreur d'Ilion, / Ulysse, des vainqueurs gardent la riche proie.
" Mais enfin, tourmenté par les clameurs d'Ulysse, / d'accord avec le traître, il résout mon supplice. "
Le flux impétueux de ces chocs meurtriers / avec moi de la foule emporte deux guerriers, / Iphite, de qui l'âge enchaîne la vaillance, / et Pélias, qu'Ulysse a blessé de sa lance.
Ithaque enfin paraît. Soudain nos matelots / ont redoublé d'ardeur ; et, grâce au vent propice, / nous fuyons le berceau de l'exécrable Ulysse.
" O catastrophe horrible ! ô souvenir affreux ! / Hélas ! en écoutant ces récits douloureux, / d'Ulysse, de Pyrrhus, auteurs de nos alarmes, / quel barbare soldat ne répandrait des larmes ? "
" Quand le perfide Ulysse eut à sa lâche envie, / vous ne l'ignorez pas, immolé ce héros, / en silence d'abord pleurant ses noirs complots, / pleurant de mon ami la triste destinée, / je traînais dans le deuil ma vie infortunée. "
" Au milieu des terreurs dont notre ame est troublée, / le roi d'Ithaque, aux yeux de la Grèce assemblée, / traîne à grand bruit Calchas; et ses cris odieux / le pressent de nommer la victime des dieux. / Déjà, lisant de loin dans son ame cruelle, / mes amis annonçaient ma sentence mortelle. "
" Mais pourquoi ces récits qui vous lassent peut-être ? / Troyens, si tous les Grecs sont égaux à vos yeux, / que tardez-vous ? versez le sang d'un malheureux : / quel plaisir pour Ulysse et pour les fiers Atrides ! "
" Le peuple partagé s'échauffe en longs débats, / quand, de la citadelle arrivant à grands pas, / Laocoon, qu'entoure une foule nombreuse, / de loin s'écrie: 'O Troie ! ô ville malheureuse ! / citoyens insensés, dit-il, que faites-vous ? / Croyez-vous qu'en effet les Grecs soient loin de nous, / que même leurs présents soient exempts d'artifice ? / Ignorez-vous leur fourbe ? Ignorez-vous Ulysse ? ' "
Dans l'ombre de la nuit la machine guerrière / rend cet affreux dépôt, et de son vaste sein / s'échappe avec transport un formidable essaim. / Déjà, de leur prison empressés de descendre, / glissent le long d'un cable Ulysse avec Thessandre ; / ils sont bientôt suivis de Pyrrhus, de Thoas, / du savant Machaon, du bouillant Acamas, / de Sthénelus, d'Atride, et d'Épéus lui-même, / Épéus, l'inventeur de l'affreux stratagème.
" Mais du moment funeste / qu'Ulysse, de forfaits détestable inventeur, / que le fils de Tydée, affreux profanateur, / osèrent, à travers la garde massacrée, / enlever sur l'autel son image sacrée, / et que leur bras sanglant d'un sacrilège affront / souilla les saints bandeaux qui couronnent son front, / dès lors plus de succès, plus d'espoir ; la déesse / à son triste destin abandonna la Grèce. / Plus d'un signe effrayant signala son courroux. "
" Mais bientôt mon courroux, par d'imprudents éclats, / irrita contre moi l'auteur de son trépas ; / je jurai, si le ciel secondait ma furie, / si je rentrais vainqueur au sein de ma patrie, / je jurai de venger mon déplorable ami. / Delà tous mes malheurs : dès lors, souple ennemi, / Ulysse contre moi chercha partout des armes, / répandit les soupçons, éveilla les alarmes, / et, pour se délivrer d'un reproche importun, / crut qu'un premier forfait en voulait encore un, / en un mot, il fit tant, qu'appuyé du grand prêtre... "