Examples of using "Spake" in a sentence and their french translations:
Il dit : les Phrygiens, qu'enchante son discours, / d'un murmure flatteur lui prêtent le secours.
Elle dit, et dans l'ombre échappe à mes regards.
- Ainsi parlait Zoroastre.
- Ainsi parlait Zarathoustra.
Elle dit ; et soudain, d'un vol précipité, / de l'épaisse forêt cherche l'obscurité.
" Mais enfin, tourmenté par les clameurs d'Ulysse, / d'accord avec le traître, il résout mon supplice. "
Il dit, et va chercher au fond du sanctuaire / de la chaste Vesta l'image tutélaire, / et les feux immortels, et le bandeau sacré.
Il dit ; et dans son sein renfermant sa douleur, / la gaîté sur le front, la tristesse dan l'âme, / d'un espoir qu'il n'a pas le héros les enflamme.
Il dit ; et de plus près / les flammes cependant menacent le palais ; / et, d'un cours plus rapide avançant vers leur proie, / en tourbillons fougueux leur fureur se déploie.
Alors, des anciens temps gravés dans sa mémoire / mon père à nos regards développant l'histoire : " O Troyens ! nous dit-il, par des signes certains / connaissez notre espoir, connaissez nos destins. "
Palinure à l'instant, en ce péril nouveau, / vers la gauche a poussé son rapide vaisseau ; / et la voile et les vents secondant son audace, / la flotte obéissante a volé sur sa trace. / À la voix de mon père un effroi courageux / anime tous les cœurs : de ces bords orageux / nous fuyons à l'envi l'éternelle tempête.
Ainsi parla mon père, et deux taureaux sacrés / sont aux dieux protecteurs offerts en sacrifice : / l'un rend à nos destins le dieu des mers propice, / et l'autre d'Apollon implore les faveurs ; / ensuite deux brebis diverses de couleurs / sont offertes aux dieux de l'orageux empire, / la noire aux Vents fougueux, la blanche au doux Zéphyre.
Vers la gauche, à ces mots, éclate le tonnerre ; / et, des voûtes des cieux s'élançant vers la terre, / un astre dans la nuit traînant de longs éclairs / semble sur le palais tomber du haut des airs.
Elle dit, et soudain s'évanouit dans l'air ; / elle fuit, et, malgré mes soupirs et mes larmes, / d'un entretien si doux elle interrompt les charmes.
Je dis : et tout à coup je sens de l'immortel / s'agiter le laurier, et le temple, et l'autel. / Le mont tremble ; chacun vers la terre s'incline, / et ces mots sont sortis de l'enceinte divine :
Ainsi dans son refus il demeure obstiné ; / vainement de nos pleurs il est environné ; / vainement mon épouse, et mon fils, et moi-même, / le conjurons, pour lui, pour ses enfants qu'il aime, / de ne pas achever de déchirer nos cœurs, / et de n'aggraver pas le poids de nos malheurs.
Énée à la déesse / répond en peu de mots : " La jeune chasseresse / que vous me dépeignez, nous n'avons, dans ces bois, / ni rencontré ses pas, ni reconnu sa voix. / O vous ! mais de quel nom faut-il qu'on vous appelle ? / Cet air ni cette voix ne sont d'une mortelle : / oui, cet accent céleste, et cette majesté , / tout annonce dan vous une divinité, / une nymphe des bois, ou Diane elle-même, / une sœur de Diane. O déité suprème ! "
Il dit : et la fureur enflamme mes esprits ; / je m'élance à travers le feu, le sang, les cris, / partout où la vengeance, où mon aveugle rage / et d'horribles clameurs appellent mon courage.
Ainsi, parmi les cris, les sanglots et les larmes, / d'un touchant entretien elle goûte les charmes ; / lorsque, de son tyran successeur couronné, / Hélénus de sa cour s'avance environné, / nous reconnaît, nous mène à sa nouvelle Troie, / et mêle à chaque mot une larme de joie.
Elle dit : le nectar coule en l'honneur des dieux. / Didon au même instant de ses lèvres l'effleure ; / Bitias le reçoit ; on l'excite, et, sur l'heure / s'abreuvant à longs traits du nectar écumant, / la coupe aux larges bords est vide en un moment. / Le vase d'or circule, avec lui l'allégresse.
Il dit, et fait tirer de son riche trésor / un vaste amas d'airain, d'argent, d'ivoire et d'or ; / des vases de Dodone ; une riche cuirasse / un casque aux crins flottants, armure de Pyrrhus, / qui du sang de Troyens ne se rougira plus.
Didon les fait d'abord admettre en sa présence. / À peine au bruit confus succède le silence, / celui dont l'âge mûr a mérité leur choix, / Ilionée, ainsi fait entendre sa voix : / " Grande reine ! dit-il d'un ton plein de noblesse, / vous dont ces murs naissants attestent la sagesse, / et qui, donnant des mœurs à ce peuple indompté, / avez au frein des lois asservi sa fierté, / d'un peuple généreux, que le malheur accable, / vous voyez devant vous le reste déplorable ; / il vient vous implorer. À peine nos vaisseaux / échappaient aux fureurs et des vents et des eaux, / une troupe ennemie, au sortir du naufrage, / a menacé des feux ce qu'épargna l'orage. / O reine ! ouvrez l'oreille à nos cris douloureux ; / sachez ce qu'on nous doit, en sachant qui nous sommes. "
Il dit ; et, du revers de son sceptre divin, / du mont frappe les flancs : ils s'ouvrent, et soudain / en tourbillons bruyants l'essaim fougueux s'élance, / trouble l'air, sur les eaux fond avec violence.