Examples of using "Spear" in a sentence and their french translations:
si l’ordinateur quantique était une lance,
Vous voulez pêcher à la lance ?
Il lança un épieu sur l'ennemi.
J'ai une lance... et un loup agressif !
J'ai une lance... et un loup agressif !
Le corps géant de Davout était la pointe de lance de l'invasion de Napoléon.
Les landknechts au pique et au harpon forment la ligne de front danoise.
La pointe de la lance avait été trempée dans un poison mortel.
Quand on pêche à la lance, il faut attraper le poisson par surprise.
Alors, œufs de grenouille ou poisson pêché à la lance ? Dans toute mission, il est important de se nourrir.
J'aperçois une tombe où de leur chevelure / le cornouiller, le myrte, étalent la verdure.
Le roi Olaf est tué en combattant au premier rang et abattu par une série de coups de lance
Dès qu'elle voit Priam vainement furieux, / moins couvert qu'accablé d'une armure inutile : / " Quelle aveugle fureur, quel courage stérile ! / lui crie Hécube en pleurs. Où courez-vous ? Hélas ! "
À peine on a connu la mort de la victime, / tout frémit d'épouvante : on dit " que de son crime / le coupable a reçu le juste châtiment, / lui dont la main osa sur un saint monument / lancer un fer impie, et d'un bras sacrilège / d'un présent fait aux dieux souiller le privilège. "
Soudain jusques au fond l'œil étonné découvre / ces longs appartements, ces lambris somptueux, / de nos antiques rois séjour majestueux. / On approche, on regarde, et, debout sur la porte, / paraît, le fer en main, une fière cohorte, / qui d'un roi malheureux, d'un malheureux vieillard, / dans son dernier asile est le dernier rempart : / sa garde sur le seuil demeure inébranlable.
" Son simulacre à peine est placé parmi nous, / que dans ses yeux pétille une flamme brillante ; / de tout son corps dégoute une sueur sanglante ; / et, secouant sa lance et son noir bouclier, / trois fois elle bondit sous son casque guerrier. "
Des lieux les plus obscurs nous traversons l'horreur ; / et moi, qui tant de fois avais vu sans terreur / et les bataillons grecs et le glaive homicide, / une ombre m'épouvante, un souffle m'intimide ; / je n'ose respirer, je tremble au moindre bruit, / et pour ce que je porte, et pour ce qui me suit.
Là, fuyait désarmé le malheureux Troïle, / faible enfant dont l'audace osa braver Achille ; / à son char suspendu, les rênes à la main, / il emporte le dard enfoncé dans son sein ; / d'un long sillon de sang le trait marque la plaine, / et son front tout poudreux est traîné sur l'arène.
" À ces mots, saisissant sa javeline immense, / de son bras vigoureux avec force il la lance : / le trait part, sifle, vole, et s'arrête en tremblant ; / la masse est ébranlée, et, dans son vaste flanc, / de ses concavités les profondeurs gémirent. "
O vous, cendres de Troie ! et vous, flammes funestes ! / qui de mon Ilion dévorâtes les restes ! / Je vous atteste ici qu'affrontant les combats, / malgré moi le destin me sauva du trépas ; / et, si le sort cruel n'eût conservé ma vie, / que j'avais mérité qu'elle me fût ravie.
Pyrrhus le suit ; déjà, tout bouillant de furie, / il le presse, il le touche, il l'atteint de son dard : / enfin au saint autel, asile du vieillard, / son fils court éperdu, tend les bras à son pére, / hélas ! et dans son sang tombe aux pieds de sa mère.
" Que de grâces / ne vous devons-nous pas, ô vous que nos disgrâces / ont seule intéressée ! En proie à tant de maux, / triste jouet des Grecs, de la terre et des eaux, / lorsque nous n'avons plus dans notre sort horrible / qu'un souvenir affreux, qu'un avenir terrible, / c'est vous dont les bontés à vos sujets chéris / daignent associer de malheureux proscrits ! / Et comment acquitter notre reconnaissance ? / Tous en ont le désir, mais aucun la puissance. / Tous les Troyens épars dans l'univers entier / ne pourraient de vos soins dignement vous payer. "
Enfin nous échappons de cette ville en cendre. / Nous nous croyions sauvés, lorsque je crois entendre / d'un bataillon nombreux les pas précipités ; / et, dans l'ombre jetant ses yeux épouvantés, / " Fuis, cours, fuis ! je les vois, je vois briller leurs armes ! " dit mon père.
Il dit ; et, du revers de son sceptre divin, / du mont frappe les flancs : ils s'ouvrent, et soudain / en tourbillons bruyants l'essaim fougueux s'élance, / trouble l'air, sur les eaux fond avec violence.