Examples of using "Divine" in a sentence and their french translations:
- Ce gâteau est délicieux !
- Le gâteau est divin.
Ce repas était tout bonnement divin.
- Ce fut une intervention divine.
- Ça a été une intervention divine.
Se tromper est humain, pardonner, divin.
et une intervention divine dans leur vie.
Se tromper est humain, pardonner, divin.
Sa pneumonie fut guérie par un miracle divin.
en d'autres termes, nous pouvons également dire la sagesse divine.
Moïse descendit de la montagne en portant les commandements divins.
La crainte de quelques pouvoirs suprêmes et divins conservent les hommes dans l'obéissance.
Je choisis de voir la perfection divine dans chaque cellule de mon corps.
Il dit, et va chercher au fond du sanctuaire / de la chaste Vesta l'image tutélaire, / et les feux immortels, et le bandeau sacré.
On s'alarme, on s'empresse, et d'une onde abondante / on arrose à grands flots sa chevelure ardente ; / on secoue à l'envi ses cheveux allumés,
Et la douleur corporelle qui accompagne tout excès n'est-elle pas un signe de la volonté divine ?
Son droit divin au trône fut confirmé la nuit suivante par une comète spectaculaire dans le ciel nocturne.
Mon père, à cet aspect, se lève, et, plein de joie, / invoque et Jupiter et l'astre qu'il envoie.
Il éprouvait la joie la plus céleste qu’il eût éprouvée depuis sa naissance.
Le roi de ce pays n'est pas un homme, mais une bête divine avec trois paires d'ailes et qu'on dit vivant loin dans le ciel.
Tous sur des lits brodés, admirent tour à tour / l'air, le regard brillant, les traits du faux Ascagne, / sa douce voix, ses dons que la grâce accompagne.
" Reconnais à mon sort les célestes décrets. / C'en est fait ; du destin la volonté jalouse / ne t'a point pour compagne accordé ton épouse. "
À préparer les mets, à réveiller les flammes, / près des foyers ardents veillent cinquante femmes ; / cent autres, déployant la même activité, / et cent hommes, pareils en jeunesse, en beauté, / placent les mets, les vins, les coupes sur la table.
Je dis : et tout à coup je sens de l'immortel / s'agiter le laurier, et le temple, et l'autel. / Le mont tremble ; chacun vers la terre s'incline, / et ces mots sont sortis de l'enceinte divine :
Hélénus, méditant ces mystères profonds, / de sa tête sacrée abaisse les festons, / présente à Jupiter un pompeux sacrifice, / implore d'Apollon la bonté protectrice, / me conduit dans son temple, et me dit :
" Entends-moi donc : ce fils, si cher à mon amour, / Ascagne, par son père attendu dans ce jour, / se prépare à porter aux remparts de Carthage / les restes précieux des feux et du naufrage. "
Un esprit vraiment pur ne se préoccupe pas de la considération ni du respect des autres, mais communie intérieurement avec Dieu, dans la solitude sous toutes ses formes et avec une heureuse sérénité, car la connaissance de Dieu se reçoit dans un silence divin.
" Vainqueur enfin des mers, d'autres soins te demandent : / des antres cuméens les oracles t'attendent ; / il faut franchir l'Averne, et dans ses sombres bois / de l'antique sibylle interroger la voix. / Au pied de son rocher, sur des feuilles légères / elle écrit nos destins en légers caractères. "
Anchise prend un vase orné d'une guirlande ; / et, joignant la prière à sa liquide offrande, / debout sur le tillac, s'écrie : " O dieu des flots ! / Vous qui leur commandez le trouble et le repos, / et vous, dieux du rivage, écoutez ma prière : / " Dieux puissants, nous touchons au bout de la carrière : / encore un vent propice, encore un souffle heureux. "
" Rebutés par dix ans de batailles, / las de languir sans fruit au pied de nos murailles, / las de voir par le sort leurs assauts repoussés, / les Grecs, courbant des ais avec art enchâssés, / d'un cheval monstrueux en forment l'édifice : / Pallas leur inspira ce fatal artifice. / C'est un vœu, disaient-ils, pour un retour heureux. "
" Ce n'est pas tout encor : lorsque sur le rivage / aux dieux conservateurs tu paîras ton hommage, / qu'un long voile de pourpre, abaissé sur tes yeux, / dérobe à tes regards tout visage odieux ; / défends qu'aucun objet d'un augure sinistre / ne trouble le présage ainsi que le ministre. "
Je visite du dieu le temple tutélaire, / et je m'écrie : " O toi, que dans Thymbre on révère, / à ce malheureux peuple, errant, persécuté, / donne un asile sûr, une postérité ! / Où faut-il transporter, nous, nos dieux, et Pergame ? / Viens, parle, éclaire-nous, et descends dans notre âme ! "
L'été s'ouvrait à peine ; à l'orageux Neptune / mon père me pressait de livrer ma fortune. / D'un peuple fugitif j'assemble les débris ; / les yeux en pleurs, je pars ; je fuis ces bords chéris, / ces antiques remparts dont Vulcain fit sa proie, / et les toits paternels, et les champs où fut Troie ; / et, sur l'onde exilé, j'emmène en d'autres lieux, / et mon père, et mon fils, et mon peuple, et mes dieux.
Ainsi parlaient mes dieux : ce n'était point d'un songe / l'illusion nocturne et le grossier mensonge ; / c'étaient leurs saints bandeaux, leurs regards, leurs accents, / et tous mes sens émus me les montraient présents. / Tremblant, je me relève ; et, d'une ardeur pieuse, / je lève au ciel ma voix, ma main religieuse ; / aux dieux hospitaliers je rends un juste honneur, / et je cours à mon père annoncer mon bonheur.
" Et moi, qui marche égale au souverain des cieux, / moi, l'épouse, la sœur du plus puissant des dieux, / armant contre un seul peuple et le ciel et la terre, / vainement je me lasse à lui livrer la guerre ! / Suis-je encore Junon ? et qui d'un vain encens / fera fumer encor mes autels impuissants ? "
" Reine, répond Éole, ordonnez, j'obéis : / à la table des dieux par vous je suis assis ; / par vous j'ai la faveur du souverain du monde, / et je commande en maître aux puissances de l'onde. "