Examples of using "откровенно" in a sentence and their french translations:
Parlons franchement !
Nous avons discuté tout à fait franchement.
- Dis-le-moi franchement.
- Dites-le-moi franchement.
Parlez-lui franchement !
Dis-le-moi franchement.
Dites-le-moi franchement.
Parlez-moi franchement.
Je peux parler franchement ?
Parlez-lui franchement !
Parlez-lui franchement !
- Je veux que vous parliez franchement.
- Je veux que tu parles franchement.
À franchement parler, il a tort.
Pour le dire franchement, je le déteste.
Parlons franchement !
Tu n’as pas besoin de raconter des mensonges gros comme une maison.
Bon, parlons franchement !
- Franchement, je ne suis pas impressionné par son idée.
- Franchement, je ne suis pas impressionnée par son idée.
Pour parler franchement, je n'aime pas ton idée.
Franchement, il ne me plaît pas.
Pour le dire franchement, je ne l'aime pas.
Elle parle franchement.
Je veux que vous parliez franchement.
Dis-moi franchement ce que tu penses.
Je veux que tu parles franchement.
Pour le dire franchement, je le déteste.
- Il faut que vous me disiez la vérité sans fard.
- Il faut que tu me dises la vérité sans fard.
Franchement, je n'aime pas ta coiffure.
- Franchement, je ne suis pas impressionné par son idée.
- Franchement, je ne suis pas impressionnée par son idée.
Pour parler franchement, ton idée ne me plait pas.
Le patron a créé une atmosphère stressante et franchement délétère.
Tom a le cœur sur les lèvres.
Bon, parlons franchement !
En fait, je ne veux rien savoir.
Pour parler franchement, je ne l'apprécie pas.
En toute franchise, je ne peux pas dire que la chambre qui m'a été attribué était confortable.
Franchement, il ne me plaît pas.
Ses manières me rendent complètement chèvre.
Je ne le regrette pas. Pour être franc, cela m'a fait de la publicité.
- Franchement, je n'aime pas ton idée.
- Franchement, je ne goûte guère ton idée.
- Franchement, je ne goûte guère votre idée.
- Franchement, je n'aime pas votre idée.
À vrai dire, ton idée ne me plaît pas.
- Pour parler franchement, je n'aime pas ton idée.
- Franchement, je n'aime pas ton idée.
Franchement, je n'aime pas votre idée.
Pour être franc, il est difficile de comprendre pourquoi vous souhaitez partir.
Il n'y a pas, à ce stade de l'histoire mondiale aux États-Unis d'Amérique, de chose telle qu'une presse indépendante. Vous le savez et je le sais. Il n'y a pas un de vous qui ose écrire ses franches opinions, et si vous le faisiez, vous savez d'avance qu'elles ne seraient jamais publiées. Je suis hebdomadairement payé pour tenir mes franches opinions à distance du journal auquel je suis lié. D'autres d'entre vous reçoivent de mêmes émoluments pour des choses similaires, et n'importe lequel d'entre vous qui serait assez bête pour écrire de franches opinions serait à la rue à chercher un autre emploi. Si je laissais mes franches opinions être publiées dans l'une des parutions de mes journaux, mon emploi s'évaporerait avant vingt-quatre heures. Le boulot du journaliste est de détruire la vérité, de mentir effrontément, de pervertir, de diaboliser, de lécher les pieds de Mammon et de vendre son pays et sa race pour gagner son pain quotidien. Vous le savez et je le sais, et quelle folie est cette célébration d'une presse indépendante ? Nous sommes des pantins, ils tirent les ficelles et nous dansons. Nos talents, nos possibilités et nos vies sont tous la propriété d'autres hommes. Nous sommes des prostitués intellectuels.