Examples of using "Levanta" in a sentence and their french translations:
- Debout !
- Lève-toi !
- Levez-vous !
- Levons-nous !
- Lève-toi.
Lève ta main !
Debout !
Debout !
Ma mère se lève tôt.
Lève-toi.
- Lève-toi !
- Lève-toi !
Tom soulève des poids.
À quelle heure te lèves-tu ?
Debout !
- Mon grand-père se réveille tôt.
- Mon grand-père se lève tôt.
Tu te lèves à six heures ?
- En temps normal, elle se lève tôt.
- Habituellement, elle se lève tôt.
Elle se lève à sept heures.
Ma mère se lève tôt le matin.
La fortune appartient à ceux qui se lèvent tôt.
Ma mère ne se lève jamais tôt.
Elle se lève toujours à six heures.
Elle se lève tôt tous les jours.
- Lève-toi.
- Levez-vous.
- À quelle heure te lèves-tu d'habitude ?
- À quelle heure vous levez-vous d'habitude ?
La marée montante lève tous les bateaux.
- À quelle heure as-tu l'habitude de te lever ?
- À quelle heure te lèves-tu d'habitude ?
- À quelle heure vous levez-vous d'habitude ?
Lève la main.
Le Soleil se lève toujours à l'Est.
tout le monde lève ce zoom ok? Absolument nocif
Ma sœur Susan se lève tôt tous les matins.
Mon frère se lève toujours plus tôt que moi.
Tom se lève à 6h tous les matins.
- Lève-toi.
- Lève-toi !
- Levez-vous.
- Debout.
- Ma mère se lève plus tôt que moi.
- Ma mère se lève plus tôt que je ne le fais.
Lève-toi, ma bien-aimée, ma belle, viens.
- À quelle heure as-tu l'habitude de te lever ?
- À quelle heure te lèves-tu d'habitude ?
- À quelle heure vous levez-vous d'habitude ?
« À quelle heure vous levez-vous ? » « À 8 heures. »
Plus un proverbe est court, plus il soulève de questions.
Dès que le réveil sonne, il bondit hors du lit.
- Levez la main.
- Lève la main.
Mon père se lève tôt.
Tom ne se lève pas aussi tôt que Marie.
Lève-toi à présent et cesse de songer en ce lieu cruel où ne règne que misère.
Lève-toi tout de suite, ou tu vas manquer le bus de 7 heures.
Il dit. L'orage affreux qu'anime encor Borée / siffle et frappe la voile à grand bruit déchirée.
" Cours détromper Anchise, et guide les Troyens / des rivages de Crète aux bords ausoniens. "
Je suis le Dieu de Béthel, où tu as oint un monument, où tu m’as fait un vœu. Maintenant, lève-toi, sors de ce pays, et retourne au pays de ta naissance.
Le rapide Zéphire, et les fiers aquilons, / et les vents de l'Afrique, en naufrages féconds, / tous bouleversent l'onde, et des mers turbulentes / roulent les vastes flots sur leurs rives tremblantes. / On entend des nochers les tristes hurlements, / et des cables froissés les affreux sifflements.
" Peuple heureux ! vous voyez s'élever votre ville ; / et nous, dit le héros, nous cherchons un asile ! " / Il marche cependant, de son voile entouré ; / et, mêlé dans la foule, il en est ignoré.