Examples of using "Fechar" in a sentence and their french translations:
ok fermons
- Peut-on fermer la porte ?
- Pouvons-nous fermer la porte ?
Dois-je fermer la fenêtre ?
Peux-tu fermer la porte ?
Peux-tu fermer la porte ?
Je veux fermer la porte.
On a oublié de fermer la porte.
- Veux-tu bien fermer la porte ?
- Cela vous dérangerait-il de fermer la porte ?
- Cela te dérangerait-il de fermer la porte ?
J'ai entendu la porte se fermer.
- Je ne fermerai pas la porte.
- Je ne vais pas fermer la porte.
- Peux-tu fermer la porte ?
- Pouvez-vous fermer la porte ?
Je vais fermer la porte maintenant.
- Nous avons entendu la porte se fermer.
- Nous entendîmes la porte se fermer.
- Voudriez-vous fermer la fenêtre ?
- Veux-tu bien fermer la fenêtre ?
Marie doit-elle fermer la fenêtre ?
- La porte doit être fermée.
- Le portail doit être fermé.
Merci d'avoir fermé la porte.
Il vaut mieux que vous fermiez la porte.
J'ai froid. Puis-je fermer la fenêtre ?
- Pourriez-vous fermer la porte, s'il vous plaît ?
- Pourrais-tu fermer la porte, s'il te plaît ?
N'oublie pas de fermer la porte.
Veuillez fermer la porte en sortant.
Il vaut mieux que tu fermes la porte.
Vous pouvez fermer les fenêtres s'il vous plaît ?
Vous seriez comme retour ou X.
J'ai froid. Puis-je fermer la fenêtre ?
- Pourriez-vous fermer la fenêtre, s'il vous plaît ?
- Pourriez-vous fermer la fenêtre, s'il vous plait ?
- Veuillez fermer la fenêtre.
- Pourriez-vous fermer la fenêtre ?
- Voudriez-vous fermer la fenêtre ?
- Voulez-vous bien fermer la fenêtre ?
- Veux-tu bien fermer la fenêtre ?
- Voudriez-vous fermer la fenêtre, je vous prie ?
- Pouvez-vous fermer la fenêtre, je vous prie ?
- Pourrais-tu fermer la fenêtre, s'il te plait ?
- Ne vous est-il pas venu à l'esprit de fermer les fenêtres ?
- N'est-il pas venu à ton esprit de fermer les fenêtres ?
N'est-il pas venu à ton esprit de fermer les fenêtres ?
N'oublie pas de fermer la porte.
Est-ce que tu t'es souvenu de fermer les fenêtres?.
- Je souhaite clôturer mon compte d'épargne.
- Je souhaite clôturer mon compte épargne.
- Il fait froid. Pourriez-vous fermer la fenêtre ?
- Il fait froid. Pourrais-tu fermer la fenêtre ?
- Pourriez-vous fermer la fenêtre, s'il vous plait ?
- Veux-tu bien fermer la fenêtre ?
J'ai froid. Ça ne te gêne pas de fermer la fenêtre ?
Veille à fermer la porte à clé, en partant.
- Auriez-vous l'amabilité de fermer la fenêtre ?
- Aurais-tu l'amabilité de fermer la fenêtre ?
- Veux-tu bien fermer la fenêtre ?
Je ne peux pas fermer la porte. J'ai perdu la clef.
Je te serais très reconnaissant de fermer ta gueule !
Nous avons dû fermer la fenêtre à cause des moustiques.
Il est plus difficile de fermer une entreprise que de l'ouvrir.
La porte ne se fermera pas.
Pouvez-vous vous avancer pour qu'on puisse fermer la porte ?
Cette fenêtre ne veut pas se fermer.
Je pense qu'il est temps pour moi de fermer la fenêtre.
Je voulais fermer la porte mais j'ai perdu la clé.
Si je perds ma clé, je ne pourrai plus fermer la porte.
Nous dûmes fermer les fenêtres afin que les moustiques n'entrent pas.
ok ok, nous ne connaissons pas la langue des fourmis nous la fermons maintenant
Je me suis rappelée que j'avais laissé mes clés à l'intérieur après avoir fermé la porte.
Si vous fermez la porte à toutes les erreurs, la vérité restera dehors.
Quand on se fait piquer, on a environ 60 min avant que le venin ne bloque les voies respiratoires.
C'est pas les yeux qu'il faut ouvrir, c'est ta gueule qu'il faut fermer ! Tu y verras tout de suite plus clair.
La manière de voir par la Foi est de fermer l’Œil de la Raison : la lumière du matin apparaît plus clairement quand on éteint sa bougie.
" Arbitre souverain de l'empire des cieux, / toi qui, régnant dans l'air, sur la terre et sur l'onde, / tiens en main et la foudre et les rênes du monde, / qu'a donc fait mon Énée, et qu'ont fait les Troyens ? / Sauvés par mes secours du fer des Argiens, / faut-il, pour leur fermer les chemins d'Ausonie, / que de tout l'univers leur race soit bannie ? "
" Mais, vous, puis-je connaître / de quel sang vous sortez, quels lieux vous ont vu naître, / où s'adressent vos pas ? " Elle dit. Le héros, / poussant du fond du cœur de douloureux sanglots : / " O déesse ! dit-il, si du sort qui m'accable / j'essayais de conter l'histoire lamentable, / dans ce triste récit j'épuiserais le jour. "