Examples of using "Consultar" in a sentence and their french translations:
Tu devrais consulter un médecin.
- Il faut que tu voies un docteur.
- Il faut que vous voyiez un docteur.
Je l'ai fait sans consulter personne.
Tu devrais voir le médecin.
- Je l'ai fait sans consulter personne.
- Je l'ai fait sans consulter quiconque.
Laisse-moi vérifier dans mon planning.
Vous devez immédiatement voir un médecin.
à faire, vous devriez toujours consulter un avocat,
- N'aie pas peur de consulter un médecin.
- N'ayez pas peur de consulter un médecin.
- N'aie pas peur de voir un médecin.
Il va falloir que je vérifie mon agenda.
Je l'ai convaincu de voir un médecin.
On m'a dit de consulter un médecin.
Vous pouvez consulter les dernières informations sur notre site Internet.
Vous devriez consulter un médecin si les symptômes s'aggravent.
Tu as besoin de voir un médecin.
Avant de décider, je souhaiterais consulter ma famille.
Vous devriez prendre l'habitude d'utiliser votre dictionnaire.
La paranoïa est une maladie grave, Tom. Tu devrais consulter un médecin.
Vous pouvez consulter les dernières informations sur notre site Internet.
Je pense qu'il est temps pour moi de consulter un médecin.
Je pense qu'il est temps pour moi de consulter un avocat.
Quand on a mal aux dents, il faut voir un dentiste.
La paranoïa est une maladie grave, Tom. Tu devrais voir un médecin.
- Tu ferais mieux de consulter un docteur.
- Tu devrais voir un médecin.
Tu ferais mieux de consulter un dictionnaire quand tu ne connais pas le sens d'un mot.
Énée se rembarque, et se rend dans l'ile de Délos pour consulter l'oracle d'Apollon, qui lui ordonne d'aller s'établir dans le pays d'où les Troyens tirent leur origine.
" Dans ces extrémités, incertains que résoudre, / tremblants, nous envoyons interroger Délos, / et le trépied fatal nous répond en ces mots : / " Par le sang d'une vierge offerte en sacrifice, / la Grèce à son départ obtint un vent propice : / il faut encor du sang ; et d'un Grec à son tour, / la mort doit de sa flotte acheter le retour... "
Je vais au roi pontife, et m'explique en ces mots : / " O toi qui fais parler d'une voix véridique / les lauriers de Claros, le trépied prophétique ; / que ne trompent jamais ni le flanc des taureaux, / ni le ciel, ni le vol ni le chant des oiseaux ; / que me veulent les dieux ? Tous d'une voix commune / dans les champs d'Hespérie appellent ma fortune. "