Examples of using "Cidadela" in a sentence and their french translations:
Au palais de Priam un faible espoir m'appelle ; / j'y revole, je cours jusqu'à la citadelle.
Pour le faire entrer dans leur ville, les Troyens abattent un pan de leurs murailles, et le placent dans leur citadelle.
Cependant, ô délire ! on poursuit sans alarmes, / et dans nos murs enfin, par un zèle insensé, / l'auteur de leur ruine en triomphe est placé.
Là, des rochers pesants roule l'informe poids ; / ici, le soc décrit les enceintes des toits.
" Sinon vainqueur insulte aux désastres de Troie. / Triomphant au milieu de nos murs enflammés, / un monstre affreux vomit des bataillons armés : / et, tandis que ses flancs enfantent leurs cohortes, / des milliers d'ennemis, se pressant sous nos portes, / fondent sur nos remparts à flots plus débordés / qu'ils n'ont jamais paru dans nos champs inondés. "
J'y fonde une cité ; je l'appelle Ilion : / l'heureuse colonie applaudit à son nom. / Je l'invite à chérir sa demeure nouvelle, / à bâtir de ses mains sa haute citadelle.
" Les Troyens aveuglés vainement l'entendirent. / Sans cet aveuglement, sans le courroux des dieux, / dans les flancs entr'ouverts du colosse odieux / nous aurions étouffé les fléaux près d'éclore ; / et toi, chère Ilion, je te verrais encore ! "
" Par cette mort sanglante Hélénus en partage / obtint une moitié de son riche héritage, / et du nom de Chaon, né du sang des Troyens, / appela ces vallons les Champs Chaoniens : / Pergame fut le nom que prit la citadelle. "
Tout à coup d'Apollon je vois le saint-ministre, / tout pâle des horreurs de cette nuit sinistre, / portant ses dieux vaincus, traînant son petit-fils, / échapper à grands pas au fer des ennemis.
" Sur ces bords à leur ville ils cherchaient une place ; / et leur ruse innocente achète autant d'espace / que la peau d'un taureau dépouillé par leur main / pourrait en s'étendant embrasser de terrain : / leur ville en prit son nom. "
" Le peuple partagé s'échauffe en longs débats, / quand, de la citadelle arrivant à grands pas, / Laocoon, qu'entoure une foule nombreuse, / de loin s'écrie: 'O Troie ! ô ville malheureuse ! / citoyens insensés, dit-il, que faites-vous ? / Croyez-vous qu'en effet les Grecs soient loin de nous, / que même leurs présents soient exempts d'artifice ? / Ignorez-vous leur fourbe ? Ignorez-vous Ulysse ? ' "
" Mais du moment funeste / qu'Ulysse, de forfaits détestable inventeur, / que le fils de Tydée, affreux profanateur, / osèrent, à travers la garde massacrée, / enlever sur l'autel son image sacrée, / et que leur bras sanglant d'un sacrilège affront / souilla les saints bandeaux qui couronnent son front, / dès lors plus de succès, plus d'espoir ; la déesse / à son triste destin abandonna la Grèce. / Plus d'un signe effrayant signala son courroux. "