Examples of using "Infeliz" in a sentence and their french translations:
Je suis très triste.
- J'étais si malheureux.
- J'étais si malheureuse.
Tom est malheureux.
Tom est malheureux.
Il avait l'air très malheureux.
- Je suis mécontent.
- Je suis mécontente.
- Es-tu malheureux ?
- Es-tu malheureuse ?
Don Draper est malheureux,
Tom est très malheureux.
- Je ne suis pas triste.
- Je ne suis pas malheureux.
- Je ne suis pas malheureuse.
Il vécut une vie malheureuse.
Bien qu'il fût riche, il n'était pas heureux.
Les jours pluvieux m’attristent.
- J'étais un peu malchanceux.
- J'ai été un peu malchanceux.
Qui était le malheureux qui a fait ça ?
La malheureuse institutrice a été sauvée par la cloche.
L'homme est malheureux parce qu'il ignore qu'il est heureux. Ce n'est que ça.
Heureux au jeu, malheureux en amour.
Cependant, ô délire ! on poursuit sans alarmes, / et dans nos murs enfin, par un zèle insensé, / l'auteur de leur ruine en triomphe est placé.
Là il reçoit sur son bord un malheureux Grec de la suite d'Ulysse, nommé Acheménide, qui était resté sur cette côte abandonné par ses compagnons.
Qui m'a mis au monde, qui a engendré un misérable comme moi, pour errer ainsi, toujours en plein air, sous le ciel bleu ?
Derrière le palais il était une issue, / une porte des Grecs encore inaperçue ; / et deux chemins secrets de ces grands bâtiments / réunissaient entr'eux les longs compartiments. / En des temps plus heureux, c'était par cette porte / qu'Andromaque souvent, sans pompe, sans escorte, / se rendait vers Priam, et, plus souvent encor, / menait à ses aïeux le jeune fils d'Hector.
" Le perfide poursuit avec sécurité : / " Grand roi, vous apprendrez la simple vérité. / D'abord, je l'avourai, ma patrie est la Grèce : / de nier mon pays je n'ai point la faiblesse ; / le sort peut, sur Sinon déployant sa rigueur, / le rendre malheureux, mais non pas imposteur. " "
" Fils d'Anchise, pourquoi, souillant des mains si pures, / viens-tu troubler mon ombre et rouvrir mes blessures ? / Hélas ! respecte au moins l'asile du trépas ; / d'un insensible bois ce sang ne coule pas. / Cette contrée a vu terminer ma misère ; / mais celle où tu naquis ne m'est point étrangère : / épargne donc ma cendre, ô généreux Troyen ! / Ma patrie est la tienne, et ce sang est le mien. / Ah ! fuis ces lieux cruels, fuis cette terre avare : / j'y péris immolé par un tyran barbare. / Polydore est mon nom ; ces arbustes sanglants / furent autant de traits qui percèrent mes flancs. / La terre me reçut ; et, dans mon sein plongée, / leur moisson homicide en arbres s'est changée. "