Translation of "Infeliz" in French

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Examples of using "Infeliz" in a sentence and their french translations:

- Sou muito infeliz.
- Estou muito infeliz.

Je suis très triste.

- Eu estava muito infeliz.
- Estava muito infeliz.

- J'étais si malheureux.
- J'étais si malheureuse.

- O Tom está infeliz.
- Tom é infeliz.

Tom est malheureux.

Tom é infeliz.

Tom est malheureux.

Ele parecia infeliz.

Il avait l'air très malheureux.

Eu sou infeliz.

- Je suis mécontent.
- Je suis mécontente.

Você é infeliz?

- Es-tu malheureux ?
- Es-tu malheureuse ?

Don Draper está infeliz,

Don Draper est malheureux,

Tom é muito infeliz.

Tom est très malheureux.

- Eu não estou triste.
- Eu não sou infeliz.
- Não sou infeliz.

- Je ne suis pas triste.
- Je ne suis pas malheureux.
- Je ne suis pas malheureuse.

Ele viveu uma vida infeliz.

Il vécut une vie malheureuse.

Embora fosse rico, era infeliz.

Bien qu'il fût riche, il n'était pas heureux.

Dias chuvosos me fazem infeliz.

Les jours pluvieux m’attristent.

Eu estava um pouquinho infeliz.

- J'étais un peu malchanceux.
- J'ai été un peu malchanceux.

Quem foi o infeliz que fez isso?

Qui était le malheureux qui a fait ça ?

A infeliz professora foi salva pela campainha.

La malheureuse institutrice a été sauvée par la cloche.

O homem é infeliz porque não sabe que é feliz. Só isso.

L'homme est malheureux parce qu'il ignore qu'il est heureux. Ce n'est que ça.

- Com sorte no jogo, sem sorte no amor.
- Feliz no jogo, infeliz no amor.

Heureux au jeu, malheureux en amour.

Persistindo, entretanto, na inconsciência / que a tudo nos deixava cegos, surdos, / colocamos aquele infeliz monstro / em nossa consagrada cidadela.

Cependant, ô délire ! on poursuit sans alarmes, / et dans nos murs enfin, par un zèle insensé, / l'auteur de leur ruine en triomphe est placé.

Lá ele recebe a bordo de seu navio um infeliz grego da comitiva de Ulisses, chamado Aquemênides, que, abandonado pelos companheiros, tinha ficado sozinho naquela costa.

Là il reçoit sur son bord un malheureux Grec de la suite d'Ulysse, nommé Acheménide, qui était resté sur cette côte abandonné par ses compagnons.

Quem me terá trazido ao mundo, quem terá gerado alguém tão infeliz quanto eu, que a vagar mundo afora passo a vida, tendo por teto só o céu azul?

Qui m'a mis au monde, qui a engendré un misérable comme moi, pour errer ainsi, toujours en plein air, sous le ciel bleu ?

Uma porta traseira camuflada, / não vista pelos gregos, dava acesso / a um passadiço entre os dois prédios do palácio, / por onde costumava Andrômaca, a infeliz, / nos bons tempos sozinha transitar, / em visita a seus sogros, ou levando / o pequeno Astianaz ao caro avô.

Derrière le palais il était une issue, / une porte des Grecs encore inaperçue ; / et deux chemins secrets de ces grands bâtiments / réunissaient entr'eux les longs compartiments. / En des temps plus heureux, c'était par cette porte / qu'Andromaque souvent, sans pompe, sans escorte, / se rendait vers Priam, et, plus souvent encor, / menait à ses aïeux le jeune fils d'Hector.

"Ele, afinal todo o receio / fingido abandonando, a Príamo assim fala: / 'Toda a verdade, ó rei, vou revelar-te, / não importando o que me possa acontecer. / Em primeiro lugar, não negarei / que sou de raça argiva; e se a sorte perversa / fez Sínon infeliz, não o fará nunca / mentiroso e falaz.'"

" Le perfide poursuit avec sécurité : / " Grand roi, vous apprendrez la simple vérité. / D'abord, je l'avourai, ma patrie est la Grèce : / de nier mon pays je n'ai point la faiblesse ; / le sort peut, sur Sinon déployant sa rigueur, / le rendre malheureux, mais non pas imposteur. " "

“Por que razão, Eneias, dilaceras / este infeliz? Oh, deixa-me sepulto! / Evita conspurcar as mãos piedosas. / Não sou estranho para ti – gerou-me Troia – / nem da planta este humor está manando. / Oh! Foge destas plagas desumanas, / foge da terra da cobiça e da avareza. / Sou Polidoro: neste sítio me prostraram / sob uma chuva de assassinas flechas, / hoje em pontudas hastes convertidas.”

" Fils d'Anchise, pourquoi, souillant des mains si pures, / viens-tu troubler mon ombre et rouvrir mes blessures ? / Hélas ! respecte au moins l'asile du trépas ; / d'un insensible bois ce sang ne coule pas. / Cette contrée a vu terminer ma misère ; / mais celle où tu naquis ne m'est point étrangère : / épargne donc ma cendre, ô généreux Troyen ! / Ma patrie est la tienne, et ce sang est le mien. / Ah ! fuis ces lieux cruels, fuis cette terre avare : / j'y péris immolé par un tyran barbare. / Polydore est mon nom ; ces arbustes sanglants / furent autant de traits qui percèrent mes flancs. / La terre me reçut ; et, dans mon sein plongée, / leur moisson homicide en arbres s'est changée. "