Examples of using "Demokratie" in a sentence and their french translations:
La démocratie encourage la liberté.
- Nous défendons la démocratie.
- Nous prenons la défense de la démocratie.
- Nous luttons pour la démocratie.
- Nous nous battons pour la démocratie.
La démocratie est une forme de gouvernement.
Il défend la démocratie.
Nous croyons en la démocratie.
L'Allemagne est une démocratie parlementaire.
Comment fonctionne la démocratie allemande ?
C’est la démocratie, je crois.
que la démocratie libérale est défaillante.
L'Espagne est une démocratie depuis 1975.
La démocratie est la dictature de la majorité.
Nous devons nous battre pour notre démocratie.
mais est une menace pour la démocratie et la société.
La démocratie, c'est le pouvoir du peuple. Que signifie alors la démocratie populaire ?
La liberté individuelle est l'âme de la démocratie.
La démocratie est la base de tous les pays libres.
Je me tiens du côté de la démocratie.
La démocratie vaincra à long terme.
L'espéranto est une clé de la démocratie linguistique.
L'amour de la démocratie est celui de l'égalité.
La démocratie est un chemin vers la liberté.
En démocratie, tous les citoyens ont les mêmes droits.
Les Allemands n'étaient pas encore habitués à la démocratie.
- Dans une démocratie, il est important que la presse soit indépendante.
- En démocratie, il est important que la presse soit indépendante.
Beaucoup de jeunes moururent pour la démocratie pendant cette guerre.
La démocratie est un concept qui remonte aux anciens grecs.
La démocratie est le gouvernement du peuple, par le peuple, et pour le peuple.
En démocratie, il est important que la presse soit indépendante.
Beaucoup croient que celui qui crie le plus fort est celui qui décide dans une démocratie.
Nous pouvons reprendre notre démocratie des gens qui s'en sont emparés.
La démocratie est le gouvernement du peuple, par le peuple, pour le peuple.
La démocratie est la pire forme de gouvernement, mis à part toutes les autres que l'on a essayées.
La démocratie, c'est la nécessité de se plier, de temps à autre, à l'opinion d'autrui.
La démocratie demeurera une courte parenthèse dans l’histoire de l’humanité.
L'Espagne est un pays démocratique depuis 1975.
La démocratie, c’est quand une vache est autorisée à choisir qui la traira.
Un démocrate auto-proclamé qui a la chance de vivre en démocratie, mais qui jure constamment après les politiciens sans s'engager lui-même en politique, n'a vraisemblablement pas compris le mot «Démocratie».
Un des avantages de vivre dans une démocratie est que l'on peut dire ce que l'on pense.
L'intérêt pour les choses importantes disparaît de plus en plus chez les jeunes gens : donc la démocratie, l'entente entre les peuples, et surtout l'orthographe.
Seulement lorsqu'il existera un pays où un pauvre mendiant peut devenir chef de l'État, pourrons-nous dire qu'il existe une vraie démocratie.
À prendre le terme dans la rigueur de l’acception, il n’a jamais existé de véritable démocratie, et il n’en existera jamais. Il est contre l’ordre naturel que le grand nombre gouverne et que le petit soit gouverné.
Lorsqu'il est six heures du matin et que ma porte retentit et que je peux être sûr que c'est le laitier, alors je sais que je vis en démocratie.
Quand les bombes sont tombées sur notre port et la tyrannie menaçait le monde, elle était là pour témoigner l'ascension d'une génération à la grandeur et une démocratie était sauvée. Oui, nous pouvons.
Si on a compris que la volonté du peuple n'existe pas, alors il n'y a pas loin jusqu'à la reconnaissance que la démocratie représentative est plus démocratique que la démocratie directe.
La vraie démocratie ne s'enquiert pas de la couleur de la peau ou du lieu de naissance ; où qu'elle voie un homme, elle reconnait un être doté, par son créateur, de droits originels inaliénables.
Il y a un culte de l'ignorance aux États-Unis d'Amérique et il y en a toujours eu un. L'effort d'anti-intellectualisme a été un fil conducteur de notre vie politique et culturelle, nourri par l'idée erronée que la démocratie signifie que « mon ignorance vaut tout autant que votre savoir ».
S'il y a encore quelqu'un ici qui doute que l'Amérique est un lieu où tout est possible, qui se demande encore si le rêve de nos fondateurs perdure à notre époque, qui met encore en doute la puissance de notre démocratie, ce soir est votre réponse.
Bien entendu, le peuple ne veut pas de guerre. Pourquoi est-ce qu'un pauvre gueux dans une ferme voudrait risquer sa vie dans une guerre dont il ne peut espérer au mieux qu'il en reviendra entier ? Naturellement, le commun de la population ne veut pas de guerre ; ni en Russie, ni en Angleterre, ni en Amérique, ni, en ce qui nous concerne, en Allemagne. C'est bien entendu. Mais, après tout, ce sont les dirigeants d'un pays qui en déterminent les lignes d'action, et ce n'est jamais qu'une question simple que d'entraîner le peuple, que ce soit dans une démocratie, une dictature fasciste, un Parlement, ou une dictature communiste. [...] Le peuple peut toujours être converti à la cause des dirigeants. Cela est facile. Tout ce qu'il suffit de faire, c'est de leur dire qu'ils sont attaqués et dénoncer les pacifistes pour leur manque de patriotisme qui expose le pays au danger. Cela marche de la même manière dans tous les pays.