Examples of using "Ausnahme" in a sentence and their french translations:
Toute règle a ses exceptions.
Il n'y a pas de règle qui ne souffre d'exceptions.
Le Portugal n'est pas une exception.
Tom fit une exception.
C'est une exception.
Tom n'est pas une exception.
Je ne peux pas faire d'exception.
- L'exception prouve la règle.
- L'exception confirme la règle.
Bonjour à tous sans exception !
Cette règle ne souffre pas d'exceptions.
- Il n'y a pas d'exceptions à cette règle.
- Cette règle n'a pas d'exception.
- Il n’est pas de règle sans exception.
- Il n'y a pas de règle sans exception.
Si "Toute règle a au moins un exception" est une règle, alors au moins une règle n'en a pas.
Je pense qu'il ne faut pas faire d'exception.
- À cette règle il n'y a point d'exception.
- Il n'y a pas d'exception à cette règle.
Chaque équipe a été vaincue sans exception.
C'est une exception à la règle.
Chez nous, tout est dingue, sans exception.
Nous ferons une exception dans votre cas.
- Nous ferons une exception dans votre cas.
- Nous ferons une exception dans ton cas.
Je pense qu'il ne faut pas faire d'exception.
Je ferai une exception, juste cette fois.
À l'exception de Tom, toute la famille écoutait la télévision en silence.
Juste pour cette fois je fais une exception.
À l'exception d'Odilon, tous étaient à l'école.
Attendez ! Peut-être pourrais-je faire une exception pour une fois.
- Toutes les règles ont des exceptions.
- Chaque règle a son exception.
Dans son discours, il a dénigré toutes les religions sauf la sienne.
Personne n'a jamais su la véritable histoire à part nous trois.
Chez nous, tout est dingue, sans exception.
Exception. Dites qu'elle confirme la règle. Ne vous risquez pas à dire comment.
On ne domine les gens que lorsqu'on est à leur service. Cette règle ne souffre pas d'exception.
Il n'y a pas d'exceptions à cette règle.
Je n'oublie jamais un visage, mais dans votre cas, je serai heureux de faire une exception.
« La connerie humaine est infinie », dis-je, me prenant pour une exception grâce à cette autocritique.
« La connerie humaine est infinie », dis-je, me prenant pour une exception grâce à cette autocritique.
Dans quelques années, il n'y aura personne pour croire à votre propagande raciste et colonialiste, sauf les extrémistes religieux, les vrais imbéciles et les collaborateurs.
Il suffit d’être sorti des rêves de la jeunesse, de tenir compte de l’expérience, de la sienne et de celle des autres, d’avoir appris à se mieux connaître, par la vie, par l’histoire du temps passé et du présent, par la lecture des grands poètes, et de n’avoir pas le jugement paralysé par des préjugés trop endurcis, pour se résumer les choses ainsi : le monde humain est le royaume du hasard et de l’erreur, qui y gouvernent tout sans pitié, les grandes choses et les petites ; à côté d’eux, le fouet en main, marchent la sottise et la malice : aussi voit-on que toute bonne chose a peine à se faire jour, que rien de noble ni de sage n’arrive que bien rarement à se manifester, à se réaliser ou à se faire connaître ; qu’au contraire l’inepte et l’absurde en fait de pensée, le plat, le sans-goût en fait d’art, le mal et la perfidie en matière de conduite, dominent, sans être dépossédés, sauf par instants. En tout genre, l’excellent est réduit à l’état d’exception, de cas isolé, perdu dans des millions d’autres ; et si parfois il arrive à se révéler dans quelque œuvre de durée, plus tard, quand cette œuvre a survécu aux rancunes des contemporains, elle reste solitaire, pareille à une pierre du ciel, que l’on conserve à part, comme un fragment détaché d’un monde soumis à un ordre différent du nôtre.