Translation of "Accepte" in Spanish

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Examples of using "Accepte" in a sentence and their spanish translations:

Accepte l'amour de quelqu'un.

Acepta el amor de alguien.

J'en accepte le risque.

- Acepto tomar el riesgo.
- Acepto el riesgo.

Tom voulait que Marie accepte son cadeau.

Tom quería que Mary aceptara su obsequio.

accepte son premier patient à la cinquante-cinquième heure

acepta a su primer paciente a las cincuenta y cinco horas

Et beaucoup de gens accepte-le, car ils sont

Y mucha gente acéptalo, porque son

Elle s'attendait à ce qu'il accepte le pot-de-vin.

Ella esperaba que él aceptase el soborno.

Je n'ai pas dit rond, j'ai dit qu'on accepte le tour

No dije ronda, dije que aceptamos ronda

Cette ère post « 50 nuances de Grey », accepte même le sexe olé olé.

Tras la aparición de "50 sombras de Grey", incluso, el sexo pervertido está bien.

Tom ne veut pas d'un iPad. Il veut un portable qui accepte le Flash.

Tom no quiere un iPad. Quiere un dispositivo portátil que soporte Flash.

Accepte que certains jours tu es le pigeon et d'autres jours, tu es la statue.

Hay que aceptar que a veces eres la paloma y a veces eres la estatua.

En 1799, à la suite de rapports élogieux du général Bernadotte, il accepte finalement le grade de

En 1799, tras los brillantes informes del general Bernadotte, finalmente aceptó el rango de

Il fut fatigué d'être l'avocat du diable et maintenant accepte chaque idée qu'ils proposent, peu importe qu'elle soit idiote.

Él se cansó de señalarle toda clase de defectos a los demás. De ahí que él comenzó a aceptar cualquier cosa que ellos dijeran, sin importar lo estúpido que fuera.

Le démocrate, après tout, est celui qui admet qu'un adversaire peut avoir raison, qui le laisse donc s'exprimer et qui accepte de réfléchir à ses arguments. Quand des partis ou des hommes se trouvent assez persuadés de leurs raisons pour accepter de fermer la bouche de leurs contradicteurs par la violence, alors la démocratie n'est plus.

El demócrata es, después de todo, aquél que admite que un adversario puede tener razón, y por lo tanto le deja expresarse y acepta reflexionar sobre sus argumentos. Cuando los partidos o los hombres se sienten lo suficientemente persuadidos por sus propias razones que aceptan cerrarles la boca a los que les contradigan por medio de la violencia, entonces, eso ya no es democracia.