Translation of "Troupe" in Portuguese

0.012 sec.

Examples of using "Troupe" in a sentence and their portuguese translations:

Peut l'emporter sur une troupe.

... consegue dominar um grupo de leões.

Mais cette troupe est en difficulté.

Mas este grupo ainda está com dificuldades.

Ensemble, ils forment une troupe intimidante.

Juntos, formam um grupo intimidante.

La troupe sème le chaos en ville,

Este grupo provoca o caos na cidade.

Le jour naît : je retourne à ma troupe fidèle.

Tendo assim decorrido aquela noite, / volto a juntar-me aos companheiros.

La survie de cette jeune troupe dépend de sa meneuse.

A sobrevivência deste grupo jovem depende da leoa principal.

Le chaos généré par la troupe novice tourne à son avantage.

O caos criado pelo grupo novato acaba por ser a sua vantagem.

Une lionne et sa troupe de 13 individus partent à la chasse.

Uma leoa e o seu grupo de 13 leões andam à caça.

Au crépuscule, la troupe grimpe dans les arbres pour éviter les prédateurs.

Ao anoitecer, o grupo vai para as árvores para evitar predadores no solo.

L'imagerie thermique révèle une stratégie remarquable. La lionne se sépare de sa troupe désordonnée.

As imagens térmicas revelam uma estratégia notável. A leoa separa-se do grupo desregrado.

" Voulez-vous en juger par de fidèles signes ? / Voyez voler en troupe et s'applaudir ces cygnes : / tout à l'heure l'oiseau du puissant Jupiter / d'un vol impétueux les poursuivait dans l'air ; / enfin leur troupe heureuse, échappée à sa serre, / s'abat, ou va bientôt s'abattre sur la terre. "

"Observa aqueles doze cisnes tão felizes, / voando em coluna; a águia de Júpiter, fendendo / o éter, há pouco os dispersava em céu sereno; / agora podem ver-se em longa fila, / alguns pousando já, outros lá do alto / mirando o ponto eleito para o pouso".

Mais en vain il veut fuir : sur sa troupe tremblante / les armes à la main nous fondons en fureur ; / l'ignorance des lieux, leur ténébreuse horreur, / la surprise, l'effroi, tout enfin nous les livre.

Lançamo-nos sobre eles, envolvendo-os / de uma férrea barreira; em sítio estranho / e apavorados, não sobrou nenhum: / no primeiro entrevero a sorte nos bafeja.

Mais leur plume défend ces oiseaux de la mer : / leur troupe, impénétrable aux atteintes du fer, / part, et laisse, en fuyant dans sa retraite obscure, / les mets demi-rongés, et son odeur impure.

Porém não sentem golpe algum: seus corpos / invulneráveis se revelam; no ar / rapidamente alando-se, nos deixam / a pilhagem roída e o rastro ascoso.

Il voit les cieux sereins ; et, du haut de la poupe, / d'un signe impérieux il avertit sa troupe. / Nous partons, nous fuyons, nous volons sur les eaux, / et déployons aux vents les ailes des vaisseaux.

No céu sereno vendo todos os indícios / de bom tempo, da popa faz vibrar / alto e claro o sinal da partida; então nós, / acampamento levantado, às naus voltamos / e nos mastros as velas desfraldamos.

N'écoutant que ma rage, et sourd à la raison, / " Aux armes, mes amis ! sauvons la citadelle ! " / À ces mots, rassemblant une troupe fidèle, / j'y vole ; la fureur précipite mes pas ; / et je ne cherche plus qu'un glorieux trépas.

Alucinado, / por puro instinto corro às armas – para quê? / O meu primeiro impulso é juntar aguerridos / companheiros e a toda entrar na luta; / arrebatado de furor insano, / penso na glória de morrer de armas na mão.

Mais des monstres ailés la troupe redoutable / soudain d'un vol bruyant s'abat sur notre table, / fond sur nos aliments dans sa vorace ardeur, / souille tout, remplit tout de son infecte odeur, / et mêle un crit sinistre à son toucher immonde.

Mas as harpias chegam de repente, / vindas dos montes em medonho voo; / com grande estrépito adejando, pilham / nossa comida e tudo contaminam / com seu contato imundo; ao cheiro insuportável / juntam-se agudos e sinistros gritos.

Il s'arrête à leur vue, il saisit à l'instant / et son arc, et ses traits qui sifflent en partant. / Leurs chefs, qu'enorgueillit une ramure altière, / déjà percés de traits roulent sur la poussière ; / puis il poursuit la troupe à travers la forêt ; / sa main lance à chacun l'inévitable trait.

Detém-se, apanha as armas – o arco e as flechas / velozes – que trazia o fiel Acates. / Em primeiro lugar, os próprios guias, / que orgulhosos entonam as cabeças, / de arbóreos chifres adornadas, ele abate; / depois cuida dos outros, perseguindo / com seus disparos a manada inteira, / que foge em confusão pela frondosa mata.

" Didon, pleine d'effroi, hâte soudain sa fuite : / ceux qu'une même horreur, ou que la crainte excite, / attroupés en secret, veulent suivre son sort. / Des vaisseaux étaient prêts à s'éloigner du bord, / leur troupe s'en saisit ; de leur asile avare / on tire les trésors de ce monstre barbare. / Maîtres de sa richesse, et bravant son courroux, / ils voguent. Une femme a conduit ces grands coups. "

"Dido, aterrorizada, logo cuida / de arranjar companheiros para a fuga, / juntando ao seu redor os que tinham mais medo / ou mais ódio do déspota insensível. / De barcos prestes a zarpar se apossam / e, carregando-os de ouro, mar afora / vão levando as riquezas cobiçadas / de Pigmalião: da empresa à frente está a mulher!"

Didon les fait d'abord admettre en sa présence. / À peine au bruit confus succède le silence, / celui dont l'âge mûr a mérité leur choix, / Ilionée, ainsi fait entendre sa voix : / " Grande reine ! dit-il d'un ton plein de noblesse, / vous dont ces murs naissants attestent la sagesse, / et qui, donnant des mœurs à ce peuple indompté, / avez au frein des lois asservi sa fierté, / d'un peuple généreux, que le malheur accable, / vous voyez devant vous le reste déplorable ; / il vient vous implorer. À peine nos vaisseaux / échappaient aux fureurs et des vents et des eaux, / une troupe ennemie, au sortir du naufrage, / a menacé des feux ce qu'épargna l'orage. / O reine ! ouvrez l'oreille à nos cris douloureux ; / sachez ce qu'on nous doit, en sachant qui nous sommes. "

Lá chegando, / e tendo sido autorizados a falar / à soberana, Ilioneu, que era o mais velho, / proferiu calmamente estas palavras: / “Ó rainha, a quem Júpiter concede / erguer nova cidade e impor das leis o freio / ao orgulho de indômitas nações, / atende aos rogos dos troianos infelizes, / que os mares cruzam à mercê dos ventos: / livra do incêndio criminoso nossas naves, / poupa este povo ordeiro e de bom coração, / e com carinho estuda nossa causa".