Translation of "Pyrrhus" in Portuguese

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Examples of using "Pyrrhus" in a sentence and their portuguese translations:

J'ai vu Pyrrhus, j'ai vu les féroces Atrides / rassasier de sang leurs armes homicides.

Pirro, ébrio da chacina, eu pude ver / e os dois filhos de Atreu na entrada do palácio.

Énée vole au secours de Priam assiégé dans son palais par Pyrrhus, qui massacre tout ce qui s'offre à son bras.

Eneias voa para socorrer Príamo assediado em seu palácio por Pirro, que massacra tudo o que lhe chega ao alcance do braço.

Devant le vestibule, aux portes du palais, / Pyrrhus, le cœur brûlant d'une audace guerrière, / de ses armes d'airain fait jaillir la lumière.

Na soleira / do vestíbulo Pirro exulta de prazer / e de orgulho, portando armas de bronze, / couraça e capacete reluzentes.

" O catastrophe horrible ! ô souvenir affreux ! / Hélas ! en écoutant ces récits douloureux, / d'Ulysse, de Pyrrhus, auteurs de nos alarmes, / quel barbare soldat ne répandrait des larmes ? "

"Qual guerreiro tais fatos ao narrar, / por mais duro que fosse – um Mirmidão, / um Dólope, um do bando impiedoso de Ulisses – / conseguiria as lágrimas conter?"

À leur tête, Pyrrhus, une hache à la main, / frappe à coups redoublés sur les portes d'airain. / Les gonds tremblent ; des ais la vaste épaisseur s'ouvre.

Pirro, à frente de todos, empunhando / a bipene, escangalha a dura porta: os batentes (com bronze reforçados) / descrava da couceira, a travessa destrói / e, golpeando os painéis de carvalho, franqueia / enorme brecha, amplíssima passagem.

" De cent fameux combats on recherche la trace : / ici le fier Pyrrhus signalait son audace ; / là le fils de Thétis rangeait ses bataillons ; / ici c'était leur flotte, et là leurs pavillons. "

"Os esquadrões dos Dólopes aqui, / ali o fero Aquiles acampava; / aqui, em seco, descansava a frota / e este era o palco costumeiro dos combates."

Tout à coup, de Pyrrhus fuyant la main cruelle, / à travers mille dards, un dernier fils du roi / s'échappe, et du palais dépeuplé par l'effroi / traverse tout sanglant la longue galerie.

Eis da morte a fugir um dos filhos do rei, / Polites, entre os dardos inimigos; / ferido, cruza os pórticos compridos, / passa correndo por desertos pátios.

" Si d'un peuple proscrit rien ne doit échapper, / si, pour que le destin n'aît plus rien à frapper, / tu veux joindre les tiens aux ruines de Troie, / attends : voici Pyrrhus qui vient chercher sa proie – / Pyrrhus qui fait tomber, sous le glaive cruel, / le fils aux yeux du père, et le père à l'autel : / du meurtre de nos rois encore dégouttante, / bientôt de notre sang sa main sera fumante. "

"Se é desejo do céu que nada reste / de tão nobre cidade e se persistes / no intento de somar aos escombros de Troia / os teus restos mortais e a nossa ruína, / o caminho está aberto: que entre a morte. / Lá do lugar que ele cobriu do sangue / régio de Príamo, não tarda a vir / esse Pirro que soube assassinar / diante do pai um filho, e o pai ante os altares."

" Mais vous, de ce haut rang de l'épouse d'Hector / à quelle humble fortune êtes-vous descendue ? / Quel sort peut remplacer tant de grandeur perdue ? / Honorez-vous ici la cendre d'un époux ? / Est-ce Hector ou Pyrrhus qui dispose de vous ? "

"Ah, quanto a ti, que sorte / te coube após perder tão nobre esposo? / Será que te sorriu fortuna à altura / da Andrômaca de Heitor, ou inda estás com Pirro?”

Il dit, et fait tirer de son riche trésor / un vaste amas d'airain, d'argent, d'ivoire et d'or ; / des vases de Dodone ; une riche cuirasse / un casque aux crins flottants, armure de Pyrrhus, / qui du sang de Troyens ne se rougira plus.

Depois que o vate com benevolência / essas palavras diz, manda levar às naves / muitos presentes de ouro e de marfim lavrado, / nossos porões deixando abarrotados / de fina prataria e brônzeos vasos / de Dodona; do lote ainda faz parte / tecida em fio triplo, áurea cota de malhas / e um capacete ornado de vistosa / e comada cimeira – arnês de Pirro.

Pyrrhus le suit ; déjà, tout bouillant de furie, / il le presse, il le touche, il l'atteint de son dard : / enfin au saint autel, asile du vieillard, / son fils court éperdu, tend les bras à son pére, / hélas ! et dans son sang tombe aux pieds de sa mère.

Perseguindo-o vem Pirro, a fúria na alma, / o golpe pronto para desfechar: / está quase a alcançá-lo, agora o atinge / com a lança letal, quando ante os pais / ia chegando a vítima, que tomba, / a vida a derramar em golfadas de sangue.

Là, d'incroyables bruits, jusqu'à nous parvenus, / étonnent notre oreille : on nous dit qu'Hélénus, / enfant du dernier roi de la triste Pergame, / possède de Pyrrhus et le sceptre et la femme ; / qu'il commande à des Grecs, et qu'un dernier lien / met la veuve d'Hector dans les bras d'un Troyen.

Aos ouvidos nos chega uma notícia incrível: / que de Príamo um filho, Heleno, era senhor / daquelas terras gregas; sucedera / no tálamo e no trono ao neto de Éaco, / Pirro, Andrômaca tendo assim de novo / esposado um de seus compatriotas.

Dans l'ombre de la nuit la machine guerrière / rend cet affreux dépôt, et de son vaste sein / s'échappe avec transport un formidable essaim. / Déjà, de leur prison empressés de descendre, / glissent le long d'un cable Ulysse avec Thessandre ; / ils sont bientôt suivis de Pyrrhus, de Thoas, / du savant Machaon, du bouillant Acamas, / de Sthénelus, d'Atride, et d'Épéus lui-même, / Épéus, l'inventeur de l'affreux stratagème.

E, franqueada a saída, aqueles homens / o ar livre alegremente vão ganhando, / a deslizar por uma corda até embaixo: / à frente Estênelo e Tessandro e o fero Ulisses, / Pirro, de Aquiles filho, Ácamas, Toas, / seguidos de Macáon, Menelau / e do próprio arquiteto, Epeu, do tal embuste.

Au milieu des horreurs de ce jour sanguinaire, / trop digne d'achever l'ouvrage de son père, / du meurtrier d'Hector le barbare héritier, / Pyrrhus vient, et déploie Achille tout entier : / il menace, il attaque ; à sa fureur extrême, / les barrières, les murs, et la garde elle-même, / tout cède. Le bélier tonne à coups redoublés. / Arrachée à grand bruit de ses gonds ébranlés, / enfin, la porte tombe.

Pirro arremete, tão violento quanto o pai: / nem barreiras nem guardas o detêm; / de seu aríete já aos golpes repetidos / a porta vai cedendo e, por fim arrancados / da couceira, os batentes vêm abaixo.