Translation of "Vole" in Portuguese

0.005 sec.

Examples of using "Vole" in a sentence and their portuguese translations:

Il vole.

Ele rouba.

Elle vole.

Ela rouba.

Marie vole.

Mary rouba.

Vole de l'argent.

Roube dinheiro.

Zoom vole vos informations

O zoom rouba suas informações

L'hélicoptère vole très bas.

O helicóptero está voando muito baixo.

Tom vole des choses.

Tom rouba coisas.

Il vole en cachette.

Ele rouba em segredo.

L'oiseau vole dans la chambre. Il vole à l’intérieur de la chambre.

O pássaro voa no quarto (ele está no quarto e voa nele).

L'oiseau vole dans la chambre.

- O pássaro voa no quarto.
- O pássaro está voando no quarto.

Regarde cet oiseau qui vole.

- Olha este pássaro que está a voar.
- Olhe este pássaro que está voando.

Elle vole silencieusement entre les arbres

Planam silenciosamente entre as árvores...

Un aigle vole dans le ciel.

Uma águia está voando no céu.

Cet oiseau-là ne vole pas.

Aquele pássaro não voa.

- Vole !
- Volez !
- Envolez-vous !
- Envole-toi !

- Voa!
- Voe!
- Voem!
- Voai!

Un papillon: une pensée qui vole.

Uma borboleta: um pensamento que voa.

Un honnête homme ne vole jamais d'argent.

Um homem honesto nunca rouba dinheiro.

Une belle mouette vole sur la mer.

Uma bela gaivota voa sobre o mar.

L'oiseau vole dans la chambre (il vient de l'extérieur et maintenant il vole à l’intérieur de la chambre).

O pássaro voa para dentro do quarto (ele está fora do quarto e voa agora para dentro dele).

Tout ce qui vole tombe tôt ou tard.

Tudo o que voa cai mais cedo ou mais tarde.

J'ai mal au cœur chaque fois que je vole.

Sinto-me enjoado toda vez que voo.

Une chauve-souris qui vole dans le ciel ressemble à un papillon.

Um morcego voando no céu parece uma borboleta.

Et à ce moment, une flèche vole de nulle part et le frappe.

E naquele momento uma flecha vem voando do nada e o atinge.

Mieux vaut le passereau dans la main que la grue qui vole au loin.

Melhor um pássaro na mão do que dois voando.

- Exactement, je vole de Boston à Los Angeles pour faire ce genre de choses

- Exatamente, estou voando de Boston para Los Angeles para fazer isso

Ce fracas me réveille : au faîte du palais / je cours, vole, et de loin prête une oreille avide.

Em sobressalto acordo, galgo o topo / do palácio, onde atento fico à escuta.

- Les mouches temporelles aiment une flèche ; les mouches à fruit aiment une banane.
- Les mouches du temps aiment une flèche ; les drosophiles aiment une banane.
- Le temps vole comme une flèche ; les drosophiles aiment une banane.
- Le temps vole comme une flèche ; un fruit vole comme une banane.
- Le temps file comme une flèche ; un fruit s'effiloche comme une banane.

- O tempo voa como uma flecha; as moscas-das-frutas gostam de banana.
- O tempo voa como uma flecha; a fruta voa como uma banana.
- Moscas-do-tempo gostam de flecha; moscas-das-frutas gostam de banana.

Énée vole au secours de Priam assiégé dans son palais par Pyrrhus, qui massacre tout ce qui s'offre à son bras.

Eneias voa para socorrer Príamo assediado em seu palácio por Pirro, que massacra tudo o que lhe chega ao alcance do braço.

" Qu'est-ce que c'est que cette chose-là ? " " Ce n'est pas une chose. Ça vole. C'est un avion. C'est mon avion. "

"Que coisa é aquela?" "Não é uma coisa. Aquilo voa. É um avião. É o meu avião."

- Un tiens vaut mieux que deux tu l'auras.
- Mieux vaut un oiseau dans la main que cent dans les airs.
- Un passereau dans la main vaut mieux qu'une grue qui vole.

- Mais vale um pássaro na mão que dois voando.
- Um pardal capturado é melhor que uma águia a ser capturada.
- Um pardal apanhado é melhor do que uma águia a ser apanhada.

Ainsi tombe la vague ; ainsi des mers profondes / Neptune d'un coup d'œil tranquillise les ondes, / court, vole, e, sur son char roulant sous un ciel pur, / de la plaine liquide il effleure l'azur.

Assim, todo o fragor do mar se extingue / no momento em que aquele grande pai, / lançando o olhar sobre a planície equórea, / e conduzido sob um céu sereno, / os cavalos incita e, abandonando as rédeas, / deixa que o carro saia voando sobre as ondas.

Plus bas, le fer en main, d'intrépides cohortes / se pressent en dedans, et protègent les portes. / Ma fureur se réveille en ces moments d'effroi ; / je vole à leur secours, au secours de mon roi.

Embaixo, um grupo, em formação compacta, / bloqueia as portas, defendendo-as com as espadas / desembainhadas. Ânimo recobro / para acudir ao paço do monarca, / levar auxílio àqueles bravos, reforçar / a débil resistência dos vencidos.

N'écoutant que ma rage, et sourd à la raison, / " Aux armes, mes amis ! sauvons la citadelle ! " / À ces mots, rassemblant une troupe fidèle, / j'y vole ; la fureur précipite mes pas ; / et je ne cherche plus qu'un glorieux trépas.

Alucinado, / por puro instinto corro às armas – para quê? / O meu primeiro impulso é juntar aguerridos / companheiros e a toda entrar na luta; / arrebatado de furor insano, / penso na glória de morrer de armas na mão.

" À ces mots, saisissant sa javeline immense, / de son bras vigoureux avec force il la lance : / le trait part, sifle, vole, et s'arrête en tremblant ; / la masse est ébranlée, et, dans son vaste flanc, / de ses concavités les profondeurs gémirent. "

"Tendo falado assim, com toda a força / arroja enorme lança contra o flanco / bojudo do artefato gigantesco. / Lá encravada, ela ficou vibrando / e as cavernas equinas, abaladas, / um surdo e cavo som repercutiram."

Tandis que, plein d'amour, d'horreur et de pitié, / je vole sur les pas de ma chère moitié, / un spectre s'offre à moi : quelle surprise extrême ! / C'était elle, c'était ma Créuse elle-même, / plus grande que jamais ne la virent mes yeux.

Incansável buscando-a desvairado / de casa em casa, eis se me avulta aos olhos, / em tamanho maior que o natural, / o espectro de Creúsa, incorporal imagem.

J'arrive enfin, j'arrive au palais paternel ; / je vole vers mon père : ô désespoir cruel ! / Mon père, qu'avant tout doit sauver ma tendresse, / quand je veux au danger dérober sa vieillesse, / refuse de survivre à nos communs malheurs, / et d'aller dans l'exil prolonger ses douleurs.

Quando chego, porém, ao solar pátrio, / antigo lar de tantos ancestrais, / meu pai, a quem vou logo procurar, / desejando levá-lo incontinenti / para as alturas do Ida, se recusa / a prolongar a vida e suportar o exílio, / deixando atrás de si Troia arrasada.

" Enfin nous respirons ; enfin, après dix ans, / Ilion d'un long deuil affranchit ses enfants. / Le libre citoyen ouvre toutes ses portes, / vole aux lieux où des Grecs ont campé les cohortes. / On aime à voir ces champs témoins de nos revers, / ces champs abandonnés, ces rivages déserts. "

"Com isso toda a Tróade se livra / do jugo que a afligira tantos anos. / Os portões são abertos: que prazer / poder sair, poder olhar de perto / aqueles sítios, de que os Gregos se apossaram, / desocupados; a deserta praia!"

Dès qu'on put se fier à l'humide élément, / sitôt que de l'Auster l'heureux frémissement / promit à notre course une mer sans naufrage, / nos vaisseaux reposés s'élancent du rivage : / on part, on vole au gré d'un vent rapide et doux ; / et la ville et le port sont déjà loin de nous.

Assim que vemos condições de velejar, / quando o murmúrio do austro brando sobre as ondas / tranquilas ao mar alto nos convida, / por toda a praia as naus à água lançamos. / Então zarpamos barra afora, enquanto campos / e cidades recuam lentamente...

Au retour du printemps, tel aux essaims nouveaux / leur nouveau roi partage et prescrit leurs travaux : / sur les eaux, sur les fleurs, tout vole, tout s'empresse, / les unes de l'état élèvent la jeunesse ; / d'autres, d'un vol prudent, interrogent le ciel ; / d'autres forment la cire, et pétrissent le miel ; / d'autres viennent porter les tributs des campagnes ; / celles-ci font la guerre au frelon dévorant : / tout agit, tout s'emplit d'un nectar odorant.

Esse trabalho lembra o das abelhas / ao sol da primavera nas campinas / floridas, quando o novo enxame ensaiam, / ou quando o fluido mel nos favos depositam, / com o doce néctar distendendo-os, ou recebem / das obreiras que voltam a colheita, / ou mesmo quando – batalhão em marcha – / expulsam da colmeia o preguiçoso / rebanho de zangões. Fervilha a obra / e recende a tomilho o mel cheiroso.