Translation of "Genoux" in Portuguese

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Examples of using "Genoux" in a sentence and their portuguese translations:

- Mets-toi à genoux.
- Mettez-vous à genoux.
- À genoux !
- Mets-toi à genoux !
- Agenouille-toi !
- Agenouillez-vous !

Ajoelhe-se.

J'étais à genoux.

Eu estava de joelhos.

Ses genoux se dérobèrent.

- Seus joelhos cederam.
- Os joelhos dele cederam.

Elle sentit ses genoux trembler.

Ela sentiu os joelhos tremerem.

Je t'en supplie à genoux.

Eu lhe imploro de joelhos.

Je me suis mis à genoux.

Eu me ajoelhei.

Je peux m'asseoir sur tes genoux ?

Posso sentar no seu colo?

Le chat ronfle sur mes genoux.

- O gato está roncando no meu colo.
- A gata está roncando no meu colo.

Le religieux est resté à genoux pendant des heures.

O religioso permaneceu ajoelhado durante horas.

- Je me suis mis à genoux.
- Je me suis agenouillé.

Eu me ajoelhei.

Il vaut mieux mourir sur pieds que de vivre à genoux.

É melhor morrer de pé do que viver de joelhos.

Je peux placer la paume des mains sur le sol sans plier les genoux.

Eu consigo colocar as palmas das minhas mãos no chão sem dobrar os joelhos.

- Je peux m'asseoir sur tes genoux ?
- Est-ce que je peux m'asseoir sur tes cuisses ?

- Eu posso sentar no seu colo?
- Posso sentar no seu colo?

L'imprudente Didon tendrement le caresse, / le tient sur ses genoux, entre ses bras le presse, / s'enivre de sa vue, hélas ! et ne sait pas / quel redoutable dieu se joue entre ses bras.

E Dido deixa-se prender, não só / pelo olhar mas de todo o coração, / ao fascinante ser, chegando às vezes / a apertá-lo de encontro ao peito, mal sabendo, / a coitada, que deus tão perigoso / em seu colo se aninha.

Et déjà sur la tombe appuyant mes genoux, / lutant contre la terre, et redoublant de force, / d'un troisième arbrisseau ma main pressait l'écorce, / quand du fond du tombeau ( j'en tremble encor d'effroi ! ) / une voix lamentable arrive jusqu'à moi :

Quando, porém, terceiro ramo com mais força / puxo, no chão fincando os joelhos (contarei / ou calar é melhor?), aos meus ouvidos chegam / desde o fundo do túmulo uns gemidos / e a voz de alguém que em pranto assim se queixa:

" Toi, fils d'Achille ! Non, il ne fut point ton père. / D'un ennemi vaincu respectant la misère, / le meurtrier d'Hector, dans son noble courroux, / ne vit pas sans pitié Priam à ses genoux, / et, pour rendre au tombeau des dépouilles si chères, / il me renvoya libre au palais de mes pères. "

"De outra maneira se houve o próprio Aquiles, / meu inimigo, que tua língua mentirosa / chama de pai: teve o pudor de respeitar-me / os direitos e a fé do suplicante; / ao cadáver de Heitor as honras do sepulcro / concedeu, permitindo-me voltar / em paz aos meus domínios.”

À ces mots, je saisis, sans espoir de défense, / d'un bras mon bouclier, et de l'autre ma lance. / Je sortais en fureur de ce séjour de deuil, / quand mon épouse en pleurs m'arrête sur le seuil, / embrasse mes genoux, éperdue et tremblante, / me présente mon fils, et, d'une voix touchante:

Cinjo de novo a espada e, ao braço esquerdo / afivelando a alça do escudo, vou saindo, / quando Creúsa no limiar me atalha / e, ajoelhando-se, em pranto, aponta-me meu filho, / o pequenino Iulo, e grita:

Mais au fond du palais quel tableau lamentable ! / Partout l'effroi, le trouble et les gémissements : / les femmes, perçant l'air d'horribles hurlements, / dans l'enceinte royale errent désespérées ; / l'une embrasse à genoux ses colonnes sacrées, / l'autre y colle sa bouche, et ses mains, et ses yeux, / et par mille baisers leur fait de longs adieux.

Reinam, porém, lá dentro a dor e o desespero; / pelas abóbadas ecoam feminis / gritos agudos e o clamor atinge os astros, / que indiferentes ao horror fulguram. / Tomadas de terror alucinante, / pelos vastos salões a esmo correm / senhoras, abraçando-se aos umbrais / das portas e de beijos os cobrindo.