Translation of "Fortune" in Portuguese

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Examples of using "Fortune" in a sentence and their portuguese translations:

- Nous aurions pu faire fortune.
- On aurait pu faire fortune.

- Poderíamos ter feito uma fortuna.
- Nós poderíamos ter feito uma fortuna.

- La fortune sourit aux audacieux.
- La fortune favorise les audacieux.

A fortuna favorece os audazes.

Ça vaut une fortune.

- Vale uma fortuna.
- Vale um dinheirão.

Mon oncle possède une fortune.

Meu tio possui uma fortuna.

Ça m'a coûté une fortune.

Isso me custou uma fortuna.

Puisse la fortune te sourire !

Que a sorte sorria para você.

Cette voiture vaut une fortune.

- Este carro vale uma fortuna.
- Este carro vale uma nota.

La fortune favorise les audacieux.

A fortuna favorece os audazes.

Cette voiture m'a coûté une fortune.

Este carro me custou uma fortuna.

John a hérité d'une grosse fortune.

Juan herdou uma grande fortuna.

Ça a dû coûter une fortune.

Deve ter custado uma fortuna.

- Il perdit une fortune sur le marché des titres mobiliers.
- Il perdit une fortune sur le marché des valeurs mobilières.
- Il perdit une fortune sur le marché des actions.

Ele perdeu uma fortuna no mercado de ações.

C'est une sorte de harpon de fortune. Bon.

É quase como um gancho improvisado. Certo.

Et ajoute de la richesse à votre fortune

e acrescenta riqueza à sua fortuna

Je fais affaire avec des entreprises Fortune 1000.

Estou lidando com empresas da Fortune 1000.

Il a laissé à son fils une grosse fortune.

- Deixou uma grande herança ao filho.
- Ele deixou uma grande herança ao filho.
- Ele deixou uma grande herança para o filho dele.

Il a amassé une grosse fortune avant de mourir.

Ele acumulou uma enorme fortuna antes de morrer.

La fortune appartient à ceux qui se lèvent tôt.

Hora matinal é cheia de ouro.

Il a laissé une grosse fortune à son fils.

Ele deixou uma grande fortuna ao filho.

La chance et la fortune que les mauvais esprits ont volées

A chance e a fortuna que os espíritos malignos roubaram

Je ne voudrais pas être à sa place malgré toute sa fortune.

Eu não queria estar no lugar dele, com toda essa riqueza.

C'est une économie complètement autosuffisante, le résultat de décennies de solutions de fortune

É uma economia completamente auto-suficiente, resultado de décadas de soluções improvisadas

- Mon père m'a laissé une grande fortune.
- Mon père m'a laissé un gros héritage.

Meu pai me deixou uma grande fortuna.

- L'avenir appartient à ceux qui se lèvent tôt.
- La fortune appartient à ceux qui se lèvent tôt.

- Hora matinal é hora abençoada.
- Deus ajuda a quem cedo madruga.

- Sa famille considéra comme acquis qu'ils hériteraient de la majeure partie de sa richesse.
- Ses proches estimaient qu'ils hériteraient de la majeure partie de sa fortune.
- Ses proches estimaient qu'elles hériteraient de la majeure partie de sa fortune.
- Sa famille considéra comme acquis qu'elles hériteraient de la majeure partie de sa richesse.

Seus pais estavam certos de que eles herdariam a maioria de sua riqueza.

- Sa famille considéra comme acquis qu'ils hériteraient de la majeure partie de sa richesse.
- Ses proches estimaient qu'ils hériteraient de la majeure partie de sa fortune.

Seus pais estavam certos de que eles herdariam a maioria de sua riqueza.

" Mais vous, de ce haut rang de l'épouse d'Hector / à quelle humble fortune êtes-vous descendue ? / Quel sort peut remplacer tant de grandeur perdue ? / Honorez-vous ici la cendre d'un époux ? / Est-ce Hector ou Pyrrhus qui dispose de vous ? "

"Ah, quanto a ti, que sorte / te coube após perder tão nobre esposo? / Será que te sorriu fortuna à altura / da Andrômaca de Heitor, ou inda estás com Pirro?”

Nous hâtons à regret ce départ douloureux ; / je leur dis en pleurant : " Adieu, vivez heureux ! / Vous ne redoutez plus la fortune inconstante ; / et nous, tristes jouets d'une si longue attente, / le sort de mer en mer nous promène à son gré. "

Com lágrimas brotando-me dos olhos, / do querido casal me despedia: / “Sede felizes, vós que ao termo do caminho / pela fortuna assinalado já chegastes; / quanto a nós, ainda temos de atender / às caprichosas ordens do destino."

À l'opposé du Tibre et des champs d'Ausonie, / des riches Tyriens heureuse colonie, / Carthage élève aux cieux ses superbes remparts, / séjour de la fortune et le temple des arts. / Aucun lieu pour Junon n'eut jamais tant de charmes : / Samos lui plaisait moins.

Existiu no passado uma cidade, / colônia tíria, no ultramar, defronte à Itália / e à dupla foz do Tibre: era Cartago, / empório próspero e potência militar, / na guerra sempre uma temível inimiga. / Dizem que Juno a preferia a todas / as outras terras, inclusive a própria Samos.

Je vais au roi pontife, et m'explique en ces mots : / " O toi qui fais parler d'une voix véridique / les lauriers de Claros, le trépied prophétique ; / que ne trompent jamais ni le flanc des taureaux, / ni le ciel, ni le vol ni le chant des oiseaux ; / que me veulent les dieux ? Tous d'une voix commune / dans les champs d'Hespérie appellent ma fortune. "

Vou então consultar o rei-profeta: / “Filho de Troia, intérprete dos deuses, / que sabes transmitir as vontades de Apolo, / que os segredos das trípodes conheces, / que entendes as mensagem dos loureiros / de Clário e podes ler nos astros, no cantar / e no voo das aves os augúrios, / dá-me o teu vaticínio, por favor! / Favoráveis oráculos me indicam / todo o caminho que me cumpre navegar; / persuadiram-me com sua autoridade / todos os deuses a buscar na Itália / terras que me estariam reservadas."

L'été s'ouvrait à peine ; à l'orageux Neptune / mon père me pressait de livrer ma fortune. / D'un peuple fugitif j'assemble les débris ; / les yeux en pleurs, je pars ; je fuis ces bords chéris, / ces antiques remparts dont Vulcain fit sa proie, / et les toits paternels, et les champs où fut Troie ; / et, sur l'onde exilé, j'emmène en d'autres lieux, / et mon père, et mon fils, et mon peuple, et mes dieux.

Logo que chega a primavera, Anquises manda / largar as velas aos caprichos do destino. / Então com lágrimas nos olhos vou deixando / o porto, o pátrio litoral, toda a planície / onde um dia foi Troia. Ao mar me entrego, / qual exilado, com meu filho, os companheiros, / nossos penates, nossos grandes deuses.