Examples of using "Teille" in a sentence and their french translations:
Bien, merci. Et vous ?
j'ai pour vous tous,
- Je vais te raconter une histoire.
- Je vous raconterai une histoire.
- Je te raconterai une histoire.
- Je vais vous raconter une histoire.
- Je t'ai fait du café.
- Je vous ai fait du café.
Merci à vous deux.
Merci à tous.
Je vous ai dit la vérité !
Quand puis-je vous appeler ?
Bien, merci. Et vous ?
Je vous apporte l’addition tout de suite.
Je suis furieux contre vous deux.
J'ai une surprise pour vous.
Je vous souhaite un bon voyage.
Connaissez-vous le kabuki ?
- J'ai de mauvaises nouvelles pour toi.
- J'ai de mauvaises nouvelles pour vous.
Permettez-moi de vous présenter ma femme.
Merci à tous.
Il est trop vieux pour vous.
Bonjour madame Poppins, comment allez-vous ?
Je vous souhaite à tous les deux tout le bonheur du monde.
Bonjour monsieur ! Joyeux Noël à vous !
Je ne t'applaudis pas.
Nous savons que c'est important pour vous.
Je veux vous montrer un dernier exemple d'une scène enregistrée à l'intérieur,
Laissez-moi vous donner quelques exemples sur comment se passe
Qui vous enseigne le français ?
Tom a une surprise pour toi.
Nous vous souhaitons un agréable voyage.
Nous vous souhaitons un vol agréable.
- Me faut-il vous payer ?
- Me faut-il te payer ?
- Dois-je vous payer ?
- Dois-je te payer ?
- Cette lettre est pour toi.
- Cette lettre est pour vous.
Je vous souhaite à tous un joyeux Noël et une bonne année.
Est-ce que je vous parle trop vite ?
Tout ce que nous savons sur lui, c'est qu'il aime le fromage de chèvre. Je vous souhaite plein de succès dans votre travail, les gars !
Ce livre vous sera d'une grande utilité.
- Je vous ai dit de ne pas m'appeler pendant les week-ends.
- Je t'ai dit de ne pas m'appeler pendant les week-ends.
- Je vous ai dit de ne pas m'appeler durant les week-ends.
- Je t'ai dit de ne pas m'appeler durant les week-ends.
- Ce que t'a dit Tom était un mensonge.
- Ce que vous a dit Tom était un mensonge.
- Ce que t'a dit Tom n'était pas vrai.
- Ce que vous a dit Tom n'était pas vrai.
- Comment vas-tu ?
- Comment allez-vous ?
- Ça va ?
- Comment ça va ?
- Comment ça va ?
- Personne ne te fera de mal.
- Personne ne vous fera de mal.
- Pouvez-vous penser à quoi que ce soit d'autre ?
- Peux-tu penser à quoi que ce soit d'autre ?
As-tu déjà, dans ta voiture et après un long moment sans conduite, appuyé par inadvertance sur le frein et sur l'accélérateur ?
Il n'y a pas, à ce stade de l'histoire mondiale aux États-Unis d'Amérique, de chose telle qu'une presse indépendante. Vous le savez et je le sais. Il n'y a pas un de vous qui ose écrire ses franches opinions, et si vous le faisiez, vous savez d'avance qu'elles ne seraient jamais publiées. Je suis hebdomadairement payé pour tenir mes franches opinions à distance du journal auquel je suis lié. D'autres d'entre vous reçoivent de mêmes émoluments pour des choses similaires, et n'importe lequel d'entre vous qui serait assez bête pour écrire de franches opinions serait à la rue à chercher un autre emploi. Si je laissais mes franches opinions être publiées dans l'une des parutions de mes journaux, mon emploi s'évaporerait avant vingt-quatre heures. Le boulot du journaliste est de détruire la vérité, de mentir effrontément, de pervertir, de diaboliser, de lécher les pieds de Mammon et de vendre son pays et sa race pour gagner son pain quotidien. Vous le savez et je le sais, et quelle folie est cette célébration d'une presse indépendante ? Nous sommes des pantins, ils tirent les ficelles et nous dansons. Nos talents, nos possibilités et nos vies sont tous la propriété d'autres hommes. Nous sommes des prostitués intellectuels.
Il n'y a pas, à ce stade de l'histoire mondiale aux États-Unis d'Amérique, de chose telle qu'une presse indépendante. Vous le savez et je le sais. Il n'y a pas un de vous qui ose écrire ses franches opinions, et si vous le faisiez, vous savez d'avance qu'elles ne seraient jamais publiées. Je suis hebdomadairement payé pour tenir mes franches opinions à distance du journal auquel je suis lié. D'autres d'entre vous reçoivent de mêmes émoluments pour des choses similaires, et n'importe lequel d'entre vous qui serait assez bête pour écrire de franches opinions serait à la rue à chercher un autre emploi. Si je laissais mes franches opinions être publiées dans l'une des parutions de mes journaux, mon emploi s'évaporerait avant vingt-quatre heures. Le boulot du journaliste est de détruire la vérité, de mentir effrontément, de pervertir, de diaboliser, de lécher les pieds de Mammon et de vendre son pays et sa race pour gagner son pain quotidien. Vous le savez et je le sais, et quelle folie est cette célébration d'une presse indépendante ? Nous sommes des pantins, ils tirent les ficelles et nous dansons. Nos talents, nos possibilités et nos vies sont tous la propriété d'autres hommes. Nous sommes des prostitués intellectuels.
Il n'y a pas, à ce stade de l'histoire mondiale aux États-Unis d'Amérique, de chose telle qu'une presse indépendante. Vous le savez et je le sais. Il n'y a pas un de vous qui ose écrire ses franches opinions, et si vous le faisiez, vous savez d'avance qu'elles ne seraient jamais publiées. Je suis hebdomadairement payé pour tenir mes franches opinions à distance du journal auquel je suis lié. D'autres d'entre vous reçoivent de mêmes émoluments pour des choses similaires, et n'importe lequel d'entre vous qui serait assez bête pour écrire de franches opinions serait à la rue à chercher un autre emploi. Si je laissais mes franches opinions être publiées dans l'une des parutions de mes journaux, mon emploi s'évaporerait avant vingt-quatre heures. Le boulot du journaliste est de détruire la vérité, de mentir effrontément, de pervertir, de diaboliser, de lécher les pieds de Mammon et de vendre son pays et sa race pour gagner son pain quotidien. Vous le savez et je le sais, et quelle folie est cette célébration d'une presse indépendante ? Nous sommes des pantins, ils tirent les ficelles et nous dansons. Nos talents, nos possibilités et nos vies sont tous la propriété d'autres hommes. Nous sommes des prostitués intellectuels.