Examples of using "Thou" in a sentence and their french translations:
Je te tutoie, toi traître !
- Tu parles.
- Vous parlez.
- Où es-tu ?
- Où êtes-vous ?
Cela, c'est toi !
Tu ne tueras point.
Que tu es belle, ma bien-aimée, que tu es belle!
Malheur à moi! Qu'as-tu fait?
Je ne vous permets pas de me tutoyer.
Où es-tu ?
Doit-on dire "thou" ou bien "ye" ?
- Hameau, tu as gravement offensé ton père !
- Hameau, vous avez gravement offensé votre père !
- Tu parles.
- Vous parlez.
- M'aimes-tu ?
- Est-ce que tu m'aimes ?
- M'aimez-vous ?
- Tu m'aimes ?
- Est-ce que tu m'aimes ?
Nous sommes du même sang, vous et moi.
Reine ! peut-être aussi désirez-vous connaître / comment de cet état périt l'auguste maître.
Comment vas-tu ?
Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m'as-tu abandonné ?
Vous parlez.
Tu seras libéral et feras largesse à tous.
- Où es-tu ?
- Où es-tu ?
- Tu parles.
- Vous parlez.
Certainement, si tu agis bien, tu relèveras ton visage, et si tu agis mal, le péché se couche à la porte, et ses désirs se portent vers toi: mais toi, domine sur lui.
Maintenant que tu es parti, parce que tu languissais après la maison de ton père, pourquoi as-tu dérobé mes dieux ?
Tu ne dois pas voler !
Où attrapes-tu ces grenouilles ?
Que Dieu t'aide, mon frère, puisque tu nous aidas aussi nous deux.
Si tu outrageais mes filles ; si tu associais d’autres épouses à mes filles nul n’est avec nous ; mais vois ! Dieu est témoin entre moi et toi !
" Cher et cruel époux ! si tu cours au trépas, / me dit-elle, à la mort traîne-nous sur tes pas ! / Si ton dernier effort peut être encore utile, / ah ! commence du moins par sauver cet asile. / Que deviendront un père, un enfant précieux, / et ton épouse, hélas ! jadis chère à tes yeux ? "
Tu ne m’as pas permis d’embrasser mes fils et mes filles ! C’est en insensé que tu as agi. Ma main est assez forte pour vous faire du mal ; mais le Dieu de votre père m’a dit hier : Garde-toi de parler à Jacob ni en bien ni en mal !
Ô Roméo Roméo, pourquoi es-tu Roméo ?
" Mais vous, quelle tempête ou quelle erreur nouvelle / vous porta de si loin sur ces bords étrangers ? "
Mais périsse celui auprès duquel tu trouveras tes dieux ! En présence de nos frères, examine ce qui t’appartient chez moi, et prends-le. Jacob ne savait pas que Rachel les eût dérobés.
Nous lisons tous deux la bible jour et nuit, mais vous lisez noir là où je lis blanc.
Dieu dit à Abraham : Saraï, ton épouse, tu ne l’appelleras plus Saraï, mais bien Sara.
Tu es très belle.
Tu me fais perdre le sens par un seul de tes regards, par un anneau de ton collier !
" Brave Énée, êtes-vous, pardonnez ma franchise, / êtes-vous ce héros que du beau sang d'Anchise / Cythérée a fait naître aux bords du Simoïs ? "
" Qu'Iule m'accompagne, et qu'observant mes pas / mon épouse me suive et ne me quitte pas. "
" Tel du sort à mes yeux le livre se déploie : / va, pars, et porte au ciel les grands destins de Troie. "
Ô Hamlet, tu m'as fendu le cœur.
- Tu sais que le voile de la nuit recouvre mon visage, sans quoi une rougeur virginale empourprerait ma joue.
- Tu sais que le masque de la nuit est sur mon visage ; sans cela, tu verrais une virginale couleur colorer ma joue.
" Qu'enfin les tiens, toi-même, et ta postérité, / gardent ce saint usage avec fidélité. "
Le héros poursuivait ce douloureux discours ; / mais sa mère attendrie en arrête le cours. / " Oh ! qui que vous soyez, le ciel vous est propice : / de la belle Didon la bonté protectrice / accueillera vos dieux, et votre peuple, et vous. "
" De deux infortunés daignez plaindre le sort ! / Un orage cruel nous jeta sur ce bord. "
" Mais vous, si je vous sers, ô généreux Troyens ! / si je sauve vos jours, qu'on épargne les miens ! "
Mon bouclier et defence c'est toy, mon Seigneur Dieu, sur toy i'ay esperance, conduis moy en ce lieu.
" Et vous-même à la table où sont assis les dieux / le recevrez vainqueur des peuples de l'aurore. / Sous son astre brillant quels beaux jours vont éclore ! / Du métal le plus pur ses jours seront filés. / Je vois la foi, les mœurs, et les arts rappelés. "
" Tu vois ton frère Énée assailli de revers, / victime de Junon, et le jouet des mers ; / tu le vois, et, pour lui partageant ma tendresse, / cent fois j'ai vu ton cœur ressentir ma tristesse. "
" O comble de grandeur ainsi que de misère ! / Non, vous ne voyez pas une ombre mensongère ; / oui, malgré moi je vis, et pour souffrir encor. "
Dieu dit à Abraham : Pour toi, sois fidèle à mon alliance, toi et ta postérité après toi dans tous les âges.
Mais Dieu apparut la nuit en songe à Laban, l’Araméen, et lui dit : Garde-toi de parler à Jacob ni en bien ni en mal !
- Tu dis ça sérieusement ?
- Vous êtes sérieux ?
- Vous êtes sérieuse ?
- Vous êtes sérieuses ?
Jacob répondit, et dit à Laban : J’avais de la crainte à la pensée que tu m’enlèverais peut-être tes filles.
- Tu dis ça sérieusement ?
- Veux-tu vraiment dire ça ?
- Vous voulez vraiment dire cela ?
- Tu es sérieux ?
- Vous êtes sérieux ?
- T'es sérieux, là ?
- T'es sérieuse ?
" O catastrophe horrible ! ô souvenir affreux ! / Hélas ! en écoutant ces récits douloureux, / d'Ulysse, de Pyrrhus, auteurs de nos alarmes, / quel barbare soldat ne répandrait des larmes ? "
" Est-ce vous, me dit-elle, ou bien une vaine ombre ? / Ah ! si vous habitez dans la demeure sombre, / où mon Hector est-il ? "
" Oublie ici les Grecs et leur vaine fureur : / nous t'adoptons. Et toi, réponds sans artifice : / Pourquoi de ce cheval l'étonnant édifice ? / Dis, quel en est le but ? quel en est l'inventeur ? / Est-ce un hommage aux dieux ? est-ce un piège trompeur ? / Qu'en devons-nous penser ? et que devons-nous craindre ? "
" La Sicile verra de tes nefs vagabondes / la rame opiniâtre importuner ses ondes. / Du redoutable Averne il faut domter les flots, / de la mer d'Ausonie il faut fendre les eaux, / de l'île de Circé braver l'onde infidèle, / avant de reposer dans ta cité nouvelle. "
- Aime ton prochain comme toi-même.
- Tu aimeras ton prochain comme toi-même.
Où est parti ton bien-aimé, ô la plus belle des femmes ? Où s'est tourné ton bien-aimé, que nous le cherchions avec toi ?
" D'abord ce Latium, cette terre fatale, / tu les crois séparés par un court intervalle ; / mais la mer, devant toi s'agrandissant toujours, / de ta longue carrière allongera le cours. "
" De la vaste cité qui frappe vos regards / les enfants d'Agénor ont bâti les remparts ; / ces champs sont la Libye ; une race guerrière / contre ses ennemis en défend la frontière. "
Alors Laban dit à Jacob : Qu’as-tu fait ? Pourquoi m’as-tu trompé, et emmènes-tu mes filles comme des captives par l’épée ?
Abram tomba la face contre terre, et Dieu lui parla ainsi : « Moi, voici mon alliance avec toi : tu deviendras père d’une multitude de nations. On ne te nommera plus Abram, mais ton nom sera Abraham, car je te fais père d’une multitude de nations.
" Mais vous, de ce haut rang de l'épouse d'Hector / à quelle humble fortune êtes-vous descendue ? / Quel sort peut remplacer tant de grandeur perdue ? / Honorez-vous ici la cendre d'un époux ? / Est-ce Hector ou Pyrrhus qui dispose de vous ? "
" Au sortir d'Ilion, notre antique séjour, / (peut-être d'Ilion vous savez l'infortune) / traînant de mers en mers une vie importune, / enfin l'onde en courroux m'a jeté dans ces lieux. "
" Mon père, m'écriai-je, ah ! que veux-tu de moi ? / Moi, fuir ! moi, te quitter ! ô pensée exécrable ! / L'as-tu pu commander ce crime abominable ? "
" Évite ce malheur. En vain de ton départ / les tiens impatients accusent le retard ; / en vain le vent t'appelle, en vain le temps te presse ; / toi-même va trouver, consulter la prêtresse ; / qu'elle-même te parle, et de ses rocs profonds / laisse échapper pour toi ses prophétiques sons, "
" Si d'un peuple proscrit rien ne doit échapper, / si, pour que le destin n'aît plus rien à frapper, / tu veux joindre les tiens aux ruines de Troie, / attends : voici Pyrrhus qui vient chercher sa proie – / Pyrrhus qui fait tomber, sous le glaive cruel, / le fils aux yeux du père, et le père à l'autel : / du meurtre de nos rois encore dégouttante, / bientôt de notre sang sa main sera fumante. "
" Non, je ne change point ; mes volontés suprêmes, / ma fille, en tous les temps demeureront les mêmes. / Vous verrez s'élever ces remparts tant promis ; / dans le palais des cieux vous verrez votre fils. "
" Sur une vaste mer un long exil t'attend ; / enfin tu parviendras aux rives d'Occident, / dans la riche Hespérie, où de ses belles ondes / le Tibre baigne en paix des campagnes fécondes. "
Jacob s’irrita, et querella Laban. Il reprit la parole, et lui dit : Quel est mon crime, quel est mon péché, que tu me poursuives avec tant d’ardeur ? Quand tu as fouillé tous mes effets, qu’as-tu trouvé des effets de ta maison ? Produis-le ici devant mes frères et tes frères, et qu’ils prononcent entre nous deux.
" Reconnais à mon sort les célestes décrets. / C'en est fait ; du destin la volonté jalouse / ne t'a point pour compagne accordé ton épouse. "
Dès qu'elle voit Priam vainement furieux, / moins couvert qu'accablé d'une armure inutile : / " Quelle aveugle fureur, quel courage stérile ! / lui crie Hécube en pleurs. Où courez-vous ? Hélas ! "
Pourquoi as-tu pris la fuite en cachette, m’as-tu trompé, et ne m’as-tu point averti ? Je t’aurais laissé partir au milieu des réjouissances et des chants, au son du tambourin et de la harpe.
J’ai passé ainsi vingt années dans ta maison ! Je t’ai servi quatorze ans pour tes deux filles et six ans pour ton menu bétail et tu as changé dix fois mon salaire.
Laban répondit à Jacob : Ces filles sont mes filles et ces fils sont mes fils et ce bétail est le mien ; tout ce que tu vois m’appartient. Étant mes filles, comment agirais je contre elles, dès lors, ou contre les fils qu’elles ont enfantés ?
" Un jour, du grand Teucer rejetons glorieux, / les Romains, disiez-vous, règneraient en tous lieux ; / un jour leur race illustre, en conquérants féconde, / gouvernerait la terre, assujettirait l'onde. / Vous me l'aviez promis : qui vous a fait changer ? "
" Vois-tu ces longs débris, ces pierres dispersées, / de ces brûlantes tours les masses renversées, / cette poudre, ces feux ondoyants dans les airs ? / Là, le trident en main, le puissant dieu des mers, / de la terre à grands coups entr'ouvrant les entrailles, / à leur base profonde arrache nos murailles, / et dans ses fondements déracine Ilion. "
Je suis le Dieu de Béthel, où tu as oint un monument, où tu m’as fait un vœu. Maintenant, lève-toi, sors de ce pays, et retourne au pays de ta naissance.
Son fils la reconnaît, et, tandis qu'elle fuit, / de ses yeux, de sa voix, longtemps il la poursuit, / et, l'œil baigné de pleurs : " Quoi ! toi-même, ô ma mère ! / tu te plais à tromper un fils qui te révère ! / Ah ! quand pourra ton fils te presser sur son sein, / mes yeux fixer tes yeux, ma main serrer ta main ? / N'abuse plus mes sens ; que le fils le plus tendre / puisse en effet te voir, te parler et t'entendre ! "
" Les Troyens aveuglés vainement l'entendirent. / Sans cet aveuglement, sans le courroux des dieux, / dans les flancs entr'ouverts du colosse odieux / nous aurions étouffé les fléaux près d'éclore ; / et toi, chère Ilion, je te verrais encore ! "
Aimez-vous la vie ? Alors ne perdez pas de temps ! Parce que c'est ce dont la vie est faite.