Examples of using "Shalt" in a sentence and their french translations:
Tu ne tueras point.
Tu seras libéral et feras largesse à tous.
Tu ne dois pas voler !
Dieu dit à Abraham : Saraï, ton épouse, tu ne l’appelleras plus Saraï, mais bien Sara.
" Et vous-même à la table où sont assis les dieux / le recevrez vainqueur des peuples de l'aurore. / Sous son astre brillant quels beaux jours vont éclore ! / Du métal le plus pur ses jours seront filés. / Je vois la foi, les mœurs, et les arts rappelés. "
Dieu dit à Abraham : Pour toi, sois fidèle à mon alliance, toi et ta postérité après toi dans tous les âges.
- Aime ton prochain comme toi-même.
- Tu aimeras ton prochain comme toi-même.
Abram tomba la face contre terre, et Dieu lui parla ainsi : « Moi, voici mon alliance avec toi : tu deviendras père d’une multitude de nations. On ne te nommera plus Abram, mais ton nom sera Abraham, car je te fais père d’une multitude de nations.
" Non, je ne change point ; mes volontés suprêmes, / ma fille, en tous les temps demeureront les mêmes. / Vous verrez s'élever ces remparts tant promis ; / dans le palais des cieux vous verrez votre fils. "
" Sur une vaste mer un long exil t'attend ; / enfin tu parviendras aux rives d'Occident, / dans la riche Hespérie, où de ses belles ondes / le Tibre baigne en paix des campagnes fécondes. "
Je suis le Monstre Spaghetti Volant. Tu n'adoreras point d'autres monstres avant Moi. (Après, c'est bon ; utilise juste une protection). Le seul Monstre qui mérite d'avoir une majuscule, c'est Moi ! Les autres monstres sont de faux monstres, qui ne méritent pas d'avoir une majuscule.
Le Seigneur répondit : Certes, Sara, ton épouse, te donnera un fils, et tu le nommeras Isaac. Je maintiendrai mon pacte avec lui, comme pacte perpétuel à l’égard de sa descendance.
Quand il disait : Les tachetés seront ton salaire, toutes les brebis faisaient des petits tachetés. Et quand il disait : Les rayés seront ton salaire, toutes les brebis faisaient des petits rayés.
" Vainqueur enfin des mers, d'autres soins te demandent : / des antres cuméens les oracles t'attendent ; / il faut franchir l'Averne, et dans ses sombres bois / de l'antique sibylle interroger la voix. / Au pied de son rocher, sur des feuilles légères / elle écrit nos destins en légers caractères. "
" Oublie ici les Grecs et leur vaine fureur : / nous t'adoptons. Et toi, réponds sans artifice : / Pourquoi de ce cheval l'étonnant édifice ? / Dis, quel en est le but ? quel en est l'inventeur ? / Est-ce un hommage aux dieux ? est-ce un piège trompeur ? / Qu'en devons-nous penser ? et que devons-nous craindre ? "
Mais périsse celui auprès duquel tu trouveras tes dieux ! En présence de nos frères, examine ce qui t’appartient chez moi, et prends-le. Jacob ne savait pas que Rachel les eût dérobés.
Laban dit à Jacob : "Tu vois ce monceau, tu vois ce monument que j’ai posé entre nous deux ; soit témoin ce monceau, soit témoin cette pierre, que je ne dépasserai point de ton côté ce monceau, que tu ne dépasseras point de mon côté ce monceau ni cette pierre, dans des vues mauvaises.