Examples of using "Behold" in a sentence and their french translations:
- Regarde!
- Vois !
- Voyez !
Regarde là !
Voici l'homme.
- Regarde!
- Vois !
Regarde là !
Que tu es belle, ma bien-aimée, que tu es belle!
Voici, la plupart d'entre nous jurent
Voici le chargeur de votre téléphone est cassé
Voici, ils sont aussi riches que Karun
Et regardez bien ce qui s'est passé,
Voici un livre.
Qu'avait encor grossie une foule nouvelle, / femmes, enfants, vieillards, restes infortunés / chargés de leurs débris, à l'exil condamnés.
C'est l'apôtre de Jésus.
Devant le vestibule, aux portes du palais, / Pyrrhus, le cœur brûlant d'une audace guerrière, / de ses armes d'airain fait jaillir la lumière.
Alors, de toutes parts, s’offre un confus amas / d’armes et d’avirons, de voiles et de mâts, / les débris d’Ilion, son antique opulence, / et quelques malheureux sur un abîme immense.
Je dormais et je rêvais que la vie n'était que joie. Je m'éveillais et je vis que la vie n'était que service. Je servis et je compris que le service était joie.
Sa présence imprévue a frappé tous les yeux. / " Celui que vous cherchez, dont la faveur des dieux / a conservé les jours, le voici. "
" Les voilà, dit Anchise ; oui, Troyens, les voilà, / ces gouffres de Carybde, et ces rocs de Scylla ! / Aux rames, mes amis ! fuyons ces bords horribles / qu'annonçaient d'Hélénus les oracles terribles ! "
" O vous, l'amour, l'espoir et l'orgueil des Troyens, / Hector, quel dieu vous rend à vos concitoyens ? / Que nous avons souffert de votre longue absence ! / Que nous avons d'Hector imploré la présence ! "
Je cherche en vain. Grands dieux ! si le sort moins cruel, / si le ciel l'eût conduite au palais paternel ! / J'y cours. Déjà les Grecs s'en étaient rendus maîtres.
Voilà, ô moines, ceci est mon dernier conseil pour vous, tout dans ce monde est voué au changement ; travaillez avec diligence à votre propre salut.
Soudain jusques au fond l'œil étonné découvre / ces longs appartements, ces lambris somptueux, / de nos antiques rois séjour majestueux. / On approche, on regarde, et, debout sur la porte, / paraît, le fer en main, une fière cohorte, / qui d'un roi malheureux, d'un malheureux vieillard, / dans son dernier asile est le dernier rempart : / sa garde sur le seuil demeure inébranlable.
" Il vaut mieux t'éloigner, et rasant la Sicile / prolonger tes détours et ta lenteur utile, / pour atteindre le but l'éviter avec art, / et près de Pachynum, par un prudent écart, / dans ton cours prolongé décrire un arc immense, / que d'aller, de Carybde affrontant l'inclémence, / braver ses tourbillons, ses gouffres écumants, / et de ses chiens hideux les rauques hurlements. "
De sa postérité les rejetons naissants, / dont la foule chérie entourait ses vieux ans, / de ses cinquante fils les couches nuptiales, / ces dépouilles des rois, ces pompes triomphales, / trésors, enfants, grandeurs, tout périt sous ses yeux, / et le glaive détruit ce qu'épargnent les feux...
Quant à Ismaël, je t’ai exaucé : oui, je l’ai béni ; je le ferai fructifier et multiplier à l’infini ; il engendra douze princes, et je le ferai devenir une grande nation.
Mes mains les destinaient aux autels de mes dieux, / lorsqu'un soudain prodige est offert à mes yeux.
" Reine ! de ce grand jour faut-il troubler les charmes, / et rouvrir à vos yeux la source de nos larmes ; / vous raconter la nuit, l'épouvantable nuit / qui vit Pergame en cendre, et son règne détruit ; / ces derniers coups du sort, ce triomphe du crime, / dont je fus le témoin, hélas ! et la victime ?... "
Le père accourt : tous deux à son tour le saisissent, / d'épouvantables nœuds tout entier l'investissent ; / deux fois par le milieu leurs plis l'ont embrassé, / par deux fois sur son cou leur corps s'est enlacé ; / ils redoublent leurs nœuds, et leur tête hideuse / dépasse encor son front de sa crête orgueilleuse.
Laban avait dit : "Ce monceau est un témoin entre nous deux dès aujourd’hui." De là on énonça son nom Galed ; et aussi Miçpa, parce qu’il dit : "L’Éternel sera présent entre nous deux, alors que nous serons cachés l’un à l’autre.
Tandis que dans le temple, empressé de tout voir, / en attendant la reine, il admire en silence / la pompe de ces lieux et leur magnificence, / il voit représentés tous ces fameux revers, / ces combats dont le bruit a rempli l'univers, / ce fier Agamemnon, ce Priam si sensible, / et ce fils de Pélée à tous les deux terrible.
Il veut que par ses mains soient offerts à la reine / les restes somptueux de la grandeur troyenne, / un pompeux vêtement enflé de bosses d'or, / un riche voile, où l'art plus magnifique encor / en flexibles rameaux fait serpenter l'acanthe, / présent que de Pâris la trop funeste amante / tint de Léda sa mère, et qui parait son sein / lorsque Pergame, hélas ! vit son fatal hymen.
Il dit, et fait tirer de son riche trésor / un vaste amas d'airain, d'argent, d'ivoire et d'or ; / des vases de Dodone ; une riche cuirasse / un casque aux crins flottants, armure de Pyrrhus, / qui du sang de Troyens ne se rougira plus.
" Que les dieux, s'il en est qui vengent l'innocence, / t'accordent, malheureux ! ta juste récompense ; / toi qui d'un sang chéri souilles mes cheveux blancs, / qui sous les yeux d'un père égorges ses enfants. "
Laban dit à Jacob : "Tu vois ce monceau, tu vois ce monument que j’ai posé entre nous deux ; soit témoin ce monceau, soit témoin cette pierre, que je ne dépasserai point de ton côté ce monceau, que tu ne dépasseras point de mon côté ce monceau ni cette pierre, dans des vues mauvaises.
Docile au sage avis du divin interprète, / Anchise ordonne alors que la flotte s'apprête, / qu'on rattache la voile, et qu'aux vents fortunés / ses plis prêts à s'ouvrir flottent abandonnés. / Hélénus en ces mots honore sa vieillesse : / " Mortel chéri des dieux, époux d'une déesse, / qui deux fois échappas aux malheurs d'Ilion, / cette Ausonie, objet de ton ambition, / d'ici ton œil la voit, ton espoir la possède ; / mais, pour atteindre au lieu que le destin te cède, / il faut raser ses bords, et par de longs chemins, / voyageur patient, gagner ces champs lointains. / Adieu, vieillard heureux, encor plus heureux père ! / Adieu : déjà l'autan, de son souffle prospère, / sur une mer propice appelle vos vaisseaux. / Adieu : mes souvenirs vous suivront sur les eaux. "
Et là, son équitable voix / dicte ses jugements, et proclame ses lois ; / dispense également les travaux de Carthage, / ou par l'arrêt du sort en règle le partage ; / voit, juge, ordonne tout, et d'une noble ardeur / hâte de ses états la future grandeur. / Tout à coup, au milieu d'une foule bruyante, / des étrangers, tendant une main suppliante, / de leurs concitoyens entrent environnés, / et frappent du héros les regards étonnés.
Mais l’ange leur dit : Ne craignez point ; car je vous annonce une bonne nouvelle, qui sera pour tout le peuple le sujet d’une grande joie : c’est qu’aujourd’hui, dans la ville de David, il vous est né un Sauveur, qui est le Christ, le Seigneur. Et voici à quel signe vous le reconnaîtrez : vous trouverez un enfant emmailloté et couché dans une crèche. Et soudain il se joignit à l’ange une multitude de l’armée céleste, louant Dieu et disant : Gloire à Dieu dans les lieux très hauts, et paix sur la terre parmi les hommes qu’il agrée !
Ce peu de mots à peine a redoublé leur rage ; / soudain, tels que dans l'ombre, avides de ravage, / court de loups dévorants un affreux bataillon, / qu'irrite de la faim le pressant aiguillon, / et que les fruits affreux de leur amour sauvage / attendent dans la nuit, altérés de carnage ; / au centre de la ville, au plus fort des combats, / nous volons à la gloire, ou plutôt au trépas. / Sur nous la nuit étend ses ailes ténébreuses.