Examples of using "Darling" in a sentence and their french translations:
# Alors chérie, chérie
Bonjour, chéri.
Dansons, chéri !
« Chérie, ça ne va pas ? »
Bonsoir, chérie !
Dansons, chéri !
Bonne nuit, ma chère !
Où es-tu, ma tourterelle ?
Qu'est-ce qu'il y a, chéri ?
Comment vas-tu, ma chérie ?
J'ai choisi cette chérie.
- Qu'êtes-vous en train de faire, mon chéri ?
- Qu'êtes-vous en train de faire, ma chérie ?
J'ai donc décidé de cette chérie.
- Veux-tu prendre le petit-déjeuner, chéri ?
- Veux-tu prendre le petit-déjeuner, chérie ?
- Voulez-vous prendre le petit-déjeuner, chéri ?
- Voulez-vous prendre le petit-déjeuner, chérie ?
wow! Mais c'est aussi un vieux chéri.
Bonjour, chéri.
- Ne m'abandonne pas, oh ma chérie.
- Ne me quitte pas, oh mon chéri.
C'est impardonnable de fréquenter un gueux pareil, ma chérie !
Mon père est un homme en or.
Tu es légère comme une plume, ma chérie.
- Mon chou !
- Ma puce !
- Mon cœur !
J'ai choisi l'appartement avec la chérie de
Au revoir, ma chérie, tu retournes te coucher maintenant.
Tu es folle de te frotter à un clochard pareil, jeune fille !
Donne-moi un baiser, deux baisers, trois baisers, chérie.
se font souvent appeler « mon amour », « chérie » ou « mon cœur ».
Comment vas-tu mon chéri. Avez-vous un nouveau vélo?
C'est ma chérie. Oui, c'est très important pour moi.
Et le Diable ricana car son péché mignon est la fierté déguisée en humilité.
" Votre Ascagne vit-il après tant de dangers ? "
Son esprit des humains roulait la destinée, / lorsque Vénus, sa fille, et la mère d'Énée, / gémissante, et de pleurs inondant ses beaux yeux :
Quand elle baratte le lait, la mère kabyle entonne la berceuse qui dit: « “Gouchla gechoula”, mon bébé ira à la fontaine, y trouvera une omellette, et ne la donnera à personne, d'autre que sa maman chérie. »
" Malheureux que se suis ! jamais mes tristes yeux / ne reverront ces champs qu'habitaient mes aïeux, / ni mes tendres enfants, ni le meilleur des pères. / Que dis-je ? hélas ! peut-être, ô comble de misères ! / ils expîront ma fuite, hélas ! et de leur sang / teindront ce fer cruel qui dut percer mon flanc. "
" Que les dieux, s'il en est qui vengent l'innocence, / t'accordent, malheureux ! ta juste récompense ; / toi qui d'un sang chéri souilles mes cheveux blancs, / qui sous les yeux d'un père égorges ses enfants. "