Translation of "Await" in French

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Examples of using "Await" in a sentence and their french translations:

I eagerly await your decision.

- J'attends votre décision avec une vive impatience.
- J'attends ta décision avec une vive impatience.

I await an answer from you.

J'attends une réponse de ta part.

Those who await you, we expect resistance.

Ceux qui vous attendent, nous attendons de la résistance.

I eagerly await hearing your opinion on this subject.

- J’attends avec impatience d’entendre votre opinion sur ce sujet.
- J’attends avec impatience d’entendre ton opinion à ce sujet.

- I'm waiting for your answer.
- I await an answer from you.

J'attends une réponse de ta part.

With the President dead now, the new policies will have to await government approval.

Avec la mort du président, les nouvelles décisions politiques devront attendre l'approbation du Gouvernement.

- I look forward to hearing your thoughts on this matter.
- I eagerly await hearing your opinion on this subject.

J’attends avec impatience d’entendre votre opinion sur ce sujet.

"Wide rule and happy days await thee there, / and royal marriage shall thy portion be. / Weep not for lov'd Creusa, weep not."

" Là, satisfait, époux de la fille des rois, / un empire puissant fleurira sous tes lois. / Cesse de t'alarmer pour celle que tu pleures. "

Nor less kind welcome doth the rest await. / The monarch, mindful of his sire of old, / receives the Teucrians in his courts of state. / They in the hall, the viands piled on gold, / pledging the God of wine, their brimming cups uphold.

Mille doux souvenirs parcourent ce rivage : / de leurs murs paternels reconnaissant l'image, / les Troyens de ces lieux jouissent comme moi, / et leur concitoyen les recevait en roi. / Au milieu de sa cour, sous de vastes portiques, / un grand festin chargeait des tables magnifiques : / ils célébraient Bacchus ; et, dans des coupes d'or, / le dieu de son nectar leur versait le trésor.

"Thus roused, her friends she gathers. All await / her summons, who the tyrant fear or hate. / Some ships at hand, chance-anchored in the bay / they seize and load them with the costly freight, / and far off o'er the deep is borne away / Pygmalion's hoarded pelf. A woman leads the way."

" Didon, pleine d'effroi, hâte soudain sa fuite : / ceux qu'une même horreur, ou que la crainte excite, / attroupés en secret, veulent suivre son sort. / Des vaisseaux étaient prêts à s'éloigner du bord, / leur troupe s'en saisit ; de leur asile avare / on tire les trésors de ce monstre barbare. / Maîtres de sa richesse, et bravant son courroux, / ils voguent. Une femme a conduit ces grands coups. "

"Then Romulus the nation's charge shall claim, / wolf-nursed and proud her tawny hide to wear, / and build a city of Mavortian fame, / and make the Roman race remembered by his name. / To these no period nor appointed date, / nor bounds to their dominion I assign; / an endless empire shall the race await."

" D'une louve bientôt, sa nourrice sauvage, / Romulus sucera le lait et le courage ; / de lui naîtra la gloire et le nom des Romains : / voilà ceux que j'ai faits les maîtres des humains. / Leur pouvoir sera craint à l'égal du tonnerre, / aussi long que les temps, aussi grand que la terre. "

- Then fury spurred their courage, and behold, / As ravening wolves, when darkness hides the day, / Stung with mad fire of famine uncontrolled, / Prowl from their dens, and leave the whelps to stay, / With jaws athirst and gaping for the prey. / So to sure death, amid the darkness there, / Where swords, and spears, and foemen bar the way, / Into the centre of the town we fare. / Night with her shadowy cone broods o'er the vaulted air.
- Then, like wolves ravening in a black fog, whom mad malice of hunger hath driven blindly forth, and their cubs left behind await with throats unslaked; through the weapons of the enemy we march to certain death, and hold our way straight into the town. Night's sheltering shadow flutters dark around us.

Ce peu de mots à peine a redoublé leur rage ; / soudain, tels que dans l'ombre, avides de ravage, / court de loups dévorants un affreux bataillon, / qu'irrite de la faim le pressant aiguillon, / et que les fruits affreux de leur amour sauvage / attendent dans la nuit, altérés de carnage ; / au centre de la ville, au plus fort des combats, / nous volons à la gloire, ou plutôt au trépas. / Sur nous la nuit étend ses ailes ténébreuses.