Examples of using "Outrora" in a sentence and their french translations:
Je l'ai fait auparavant.
Les dinosaures régnèrent autrefois sur la Terre.
Auparavant l'acide sulfurique s'appelait "huile de vitriol".
Autrefois, chaque enfant pouvait distinguer le bien du mal.
Il y avait de nombreux petits cours d'eau autrefois à Shanghai, parmi lesquels la rivière Zhaojia, la rivière Yangjing, qui sont tous recouverts désormais.
Il pensait à ces trois jeunes gens, ses plus vieux camarades, ceux avec qui autrefois il avait joué au gendarme et au voleur.
Même maintenant, des années après la Guerre Froide, il y a encore beaucoup de rancoeur entre les Russes et les Allemands, en particulier dans les régions autrefois occupées par l'Union Soviétique.
Un bouclier d'Abas, devenu ma conquête, / du temple par mes mains a décoré le faîte ; / et je grave au-dessous du monument guerrier : ÉNÉE AUX GRECS VAINQUEURS RAVIT CE BOUCLIER.
Tremblante pour sa gloire, et pour les Grecs qu'elle aime, / se rappelant encor tous ces fameux combats / que pour ces Grecs chéris avait livrés son bras, / une autre injure parle à son âme indignée.
Il y fait joindre encor le sceptre qu'Ilione / reçut du vieux Priam, et sa riche couronne, / qui réunit à l'or l'éclat du diamant ; / enfin, de son collier le superbe ornement, / ces trésors arrondis, ces perles que l'aurore / de l'onde orientale autrefois vit éclore : / il veut ; et son ami court, docile à sa loi, / remplir les vœux d'un père, et les ordres d'un roi.
" Ces continents, dit-on, séparés par les ondes, / réunis autrefois, ne formaient qu'un pays ; / mais, par les flots vainqueurs tout à coup envahis, / à l'onde usurpatrice ils ont livré la terre, / dont le double rivage à l'envi se resserre : / ainsi, sans se toucher, se regardent de près, / et les bords d'Hespérie, et l'île de Cérès. / Entr'eux la mer mugit, et ses ondes captives / tour à tour en grondant vont battre les deux rives : / sublime phénomène, étranges changements, / de l'histoire du monde éternels monuments ! "
Une île est dans les mers, qu'un golfe étroit sépare / des hauteurs de Mycone et des rocs de Gyare, / délices de Thétis, chère au dieu du trident : / longtemps elle flotta sur l'abîme grondant ; / enfin, du dieu du jour la main reconnaissante / fixa de son berceau la destinée errante ; / et l'heureuse Délos, dans un profond repos, / défia le caprice des vents et des flots.
En prenant l'habitude de mettre et de lire des émoticônes et autres abréviations chargées d'indiquer le ton des messages, les jeunes vident les langues de leur charge émotionnelle, ravalant les mots à une simple information insipide, au point qu'ils sont devenus incapables d'y détecter le moindre humour sans ces symboles. C'est à se demander comment nos ancêtres faisaient pour rire ou pleurer des correspondances qu'ils recevaient. Les langues autrefois si riches de cette dualité sont donc en train d'évoluer en combinaisons de deux systèmes de symboles distincts : l'un pour le contenu, l'autre pour le ton.