Examples of using "Mortais" in a sentence and their french translations:
- Tout homme est mortel.
- Tous les hommes sont mortels.
Ce sont des prédateurs mortels pour les poulpes.
Tous les êtres humains sont mortels.
Les ennemis mortels sont des amis immortels.
Tous les hommes sont mortels, or les Grecs sont des hommes, donc les Grecs sont mortels.
Ils ont déterré une boîte qui contenait des restes humains.
Nous savons que tous les hommes sont mortels.
Dieu fit du repentir la vertu des mortels.
« Tous les humains sont mortels » est une observation empirique basée sur des millénaires d'expérience.
Oui, jusque dans ces lieux la gloire a ses honneurs, L’humanité ses droits, et la pitié ses pleurs.
De ses 1,5 mètre de haut, ce mammifère de 100 kilos est puissant et parfaitement capable d'infliger des blessures mortelles.
On était au moment où Morphée à nos cœurs / verse d'un calme heureux les premières douceurs.
" Et vous-même à la table où sont assis les dieux / le recevrez vainqueur des peuples de l'aurore. / Sous son astre brillant quels beaux jours vont éclore ! / Du métal le plus pur ses jours seront filés. / Je vois la foi, les mœurs, et les arts rappelés. "
" Ah ! si ce peuple affreux brave les lois humaines, / il est, il est des dieux qui, par de justes peines, / récompensent le crime et vengent le malheur. "
" Voilà Priam, et voilà notre histoire ! / Les murs de Junon même en gardent la mémoire. / Oui, jusque dans ces lieux la gloire a ses honneurs, / l'humanité ses droits, et la pitié ses pleurs. "
" Grand roi ! prenez pitié de mon destin funeste ; / par les dieux immortels, par la foi que j'atteste, / plaignez mon innocence, épargnez mes malheurs ! "
Le lâche, tant qu'Hector humilia la Grèce, / respecta cet enfant, ses malheurs et son nom, / mais, dès que le destin servit Agamemnon, / l'intérêt dans son cœur faisant taire la gloire, / oublia l'amitié pour suivre la victoire. / Le cruel ( que ne peut l'ardente soif de l'or ! ) / égorge Polydore, et saisit son trésor ; / et la terre cacha sa victime sanglante.
" Arbitre souverain de l'empire des cieux, / toi qui, régnant dans l'air, sur la terre et sur l'onde, / tiens en main et la foudre et les rênes du monde, / qu'a donc fait mon Énée, et qu'ont fait les Troyens ? / Sauvés par mes secours du fer des Argiens, / faut-il, pour leur fermer les chemins d'Ausonie, / que de tout l'univers leur race soit bannie ? "
" Si d'un peuple proscrit rien ne doit échapper, / si, pour que le destin n'aît plus rien à frapper, / tu veux joindre les tiens aux ruines de Troie, / attends : voici Pyrrhus qui vient chercher sa proie – / Pyrrhus qui fait tomber, sous le glaive cruel, / le fils aux yeux du père, et le père à l'autel : / du meurtre de nos rois encore dégouttante, / bientôt de notre sang sa main sera fumante. "