Examples of using "Companheiros" in a sentence and their french translations:
John F. Kennedy : Mes compatriotes américains,
Je suis parti avec deux compagnons de voyage.
Salut les gars!
Tom et John sont compagnons de cellule.
Le jour naît : je retourne à ma troupe fidèle.
Bientôt les autres compagnons d’Énée arrivent aussi dans le temple, et sont présentés à Didon.
Alors il va retrouver les compagnons de sa fuite, dont le nombre s'est augmenté.
et de hache, et comme vous vous en doutez, tous ses compagnons choisis, tous ses gardes du corps,
" C'en est trop : écartons cette horde funeste, / m'écriai-je aussitôt. Aux armes, compagnons ! / Courons ! délivrons-nous de ces monstres gloutons ! "
Il pensait à ces trois jeunes gens, ses plus vieux camarades, ceux avec qui autrefois il avait joué au gendarme et au voleur.
- « Mes amis, compagnons de route de vieilles mésaventures, vous qui avez subi les épreuves les plus sévères, vous verrez que le ciel mettra fin aussi à celles-ci. »
- " Compagnons, leur dit-il, relevez vos courages ; / l'âme se fortifie au milieu des orages. / Ce n'est pas d'aujourd'hui que commencent vos maux ; / vous avez éprouvé de plus rudes assauts : / ceux-ci, n'en doutez point, s'apaiseront de même. "
Là il reçoit sur son bord un malheureux Grec de la suite d'Ulysse, nommé Acheménide, qui était resté sur cette côte abandonné par ses compagnons.
Il ne les quitte pas, dans leur retraite sombre, / qu'au nombre des vaisseaux il n'égale leur nombre. / Puis il retourne au port, partage son butin.
Énée s’occupe d’abord de fournir aux premiers besoins de ses compagnons ; il va à la chasse, et tue plusiers cerfs qu’il leur distribue ; il leur adresse ensuite quelques encouragements.
" Les voilà, dit Anchise ; oui, Troyens, les voilà, / ces gouffres de Carybde, et ces rocs de Scylla ! / Aux rames, mes amis ! fuyons ces bords horribles / qu'annonçaient d'Hélénus les oracles terribles ! "
De leurs amis trompés malheureuses victimes, / Hypanis et Dymas tombent aux noirs abîmes. / Et toi, Panthée ! et toi, ton vêtement divin / et tes propres vertus te protègent en vain !
N'écoutant que ma rage, et sourd à la raison, / " Aux armes, mes amis ! sauvons la citadelle ! " / À ces mots, rassemblant une troupe fidèle, / j'y vole ; la fureur précipite mes pas ; / et je ne cherche plus qu'un glorieux trépas.
Énée, après avoir équipé une flotte de vingt vaisseaux construits du bois du mont Ida, près de la ville d'Antandre, s'embarque avec les compagnons de sa fuite, et va chercher quelque pays où il puisse établir une colonie.
Il dit, et d'une main embrasse Ilionée, / tend l'autre vers Sergeste, ensuite ouvre les bras / au courageux Cloanthe, au valeureux Gyas.
Il remporte d'abord plusiers avantages sur l'ennemi ; mais ses compagnons, ayant pris les armes des Grecs qu'ils avaient tués, furent attaqués sous ce déguisement par les Troyens, et en même temps par les Grecs, qui reconnurent leur feinte.
"Pars, emmène les tiens de ces funestes lieux, / du triomphe des Grecs épargne-leur l'insulte : / Ilion te remet le dépôt de leur culte. / Cherche-leur un asile, et qu'au-delà des mers / leur nouvelle cité commande à l'univers ! "
Énée sort du nuage et paraît tout à coup ; il adresse son compliment à la reine, qui lui fait une réception très favorable, et se hâte d’envoyer des provisions de toute espèce à ses compagnons restés sur le rivage.
" Tels que vous les voyez dans les airs rassemblés, / et remis de l'effroi qui les avait troublés, / en chantant battre l'air de leurs ailes bruyantes ; / ainsi vos compagnons et leurs nefs triomphantes / voguent à pleine voile ; et, rendant grâce au sort, / ils entrent, ou bientôt vont entrer dans le port. "
" Souffrez qu'en vos forêts notre triste naufrage / retrouve les secours que nous ravit l'orage. / Si le pieux Énée à nos vœux est rendu, / si dans les champs latins son peuple est attendu, / vers ces bords désirés nous suivrons notre course. "
Dans l'ombre de la nuit, un célèbre guerrier, / Androgée, à nos coups vient s'offrir le premier. / Un corps nombreux le suit, il s'avance à leur tête, / et, nous croyant des Grecs : " Amis, qui vous arrête ? / Déjà nos compagnons, au pillage animés, / emportent d'Ilion les débris enflammés, / et vous, de vos vaisseaux vous descendez à peine ! "
L'été s'ouvrait à peine ; à l'orageux Neptune / mon père me pressait de livrer ma fortune. / D'un peuple fugitif j'assemble les débris ; / les yeux en pleurs, je pars ; je fuis ces bords chéris, / ces antiques remparts dont Vulcain fit sa proie, / et les toits paternels, et les champs où fut Troie ; / et, sur l'onde exilé, j'emmène en d'autres lieux, / et mon père, et mon fils, et mon peuple, et mes dieux.
" Évite ce malheur. En vain de ton départ / les tiens impatients accusent le retard ; / en vain le vent t'appelle, en vain le temps te presse ; / toi-même va trouver, consulter la prêtresse ; / qu'elle-même te parle, et de ses rocs profonds / laisse échapper pour toi ses prophétiques sons, "
" Didon, pleine d'effroi, hâte soudain sa fuite : / ceux qu'une même horreur, ou que la crainte excite, / attroupés en secret, veulent suivre son sort. / Des vaisseaux étaient prêts à s'éloigner du bord, / leur troupe s'en saisit ; de leur asile avare / on tire les trésors de ce monstre barbare. / Maîtres de sa richesse, et bravant son courroux, / ils voguent. Une femme a conduit ces grands coups. "
" Déjà pour vous le ciel m'annonce un sort plus doux ; / et si, par mes parents instruite dès l'enfance, / des augures sacrés j'ai quelque connaissance, / votre flotte est sauvée, et vos amis perdus / a vos embrassements seront bientôt rendus. "
Achate au chef troyen tient alors ce langage : / " Fils des dieux ! vous voyez, vos vaisseaux sont sauvés, / vos guerriers réunis, vos amis retrouvés : / un seul manque à nos vœux, malheureuse victime, / que la mer à nos yeux engloutit dan l'abîme. / Au discours de Vénus jusqu'ici tout répond. "
Mais le ciel ne me l'a point rendue ; / et je ne m'aperçus de ce fatal revers / que lorsque, parvenu sur ces coteaux déserts, / sous l'antique cyprès j'eus déposé mon père. / Je cherche mon épouse, et mon fils une mère : / seule elle était absente.
Cependant du héros, tandis que tout sommeille, / mille soins inquiets ont prolongé la veille. / Le jour naissant à peine a blanchi les coteaux, / il sort, va visiter ces rivages nouveaux : / sont-ils peuplés d'humains ou de monstres sauvages ?