Examples of using "Sincsen" in a sentence and their french translations:
- Tu n'as jamais le temps pour les choses importantes !
- Vous n'avez jamais le temps pour les choses importantes !
Cette boîte est vide, il n'y a rien dedans.
On ne l'invite pas, il n'a vraiment aucun savoir-vivre.
- « Qu'est-ce qu'il se passe dans la grotte ? Je suis curieux. » « Je n'en ai aucune idée. »
- « Qu'est-ce qu'il se passe dans la grotte ? Je me demande vraiment. » « Je n'en ai pas la moindre idée. »
Il n'y a pas un seul arbre ici.
- Mais je n'ai pas d'argent.
- Mais je n'ai pas le moindre argent.
Les femmes sont un sexe décoratif. Elles n'ont jamais rien à dire, mais elles le disent de façon charmante.
En toute probabilité, aucun langage n'est complètement dépourvu de mots d'emprunt.
T'as jamais cours ou quoi ? !
J'aimerais y aller avec toi, mais je n'ai pas d'argent.
« Quand a-t-elle son anniversaire ? » — « Je n'en ai pas la moindre idée. Pourquoi ne lui demandes-tu pas ? »
Le problème avec la fiction... c'est que ça a trop de sens. La réalité n'a jamais de sens.
- Cela ne peut être vrai.
- Ça ne peut pas être vrai.
- Il ne peut pas être vrai.
- Cela ne peut pas être vrai.
- Ça ne peut être vrai.
Il n'y a pas, à ce stade de l'histoire mondiale aux États-Unis d'Amérique, de chose telle qu'une presse indépendante. Vous le savez et je le sais. Il n'y a pas un de vous qui ose écrire ses franches opinions, et si vous le faisiez, vous savez d'avance qu'elles ne seraient jamais publiées. Je suis hebdomadairement payé pour tenir mes franches opinions à distance du journal auquel je suis lié. D'autres d'entre vous reçoivent de mêmes émoluments pour des choses similaires, et n'importe lequel d'entre vous qui serait assez bête pour écrire de franches opinions serait à la rue à chercher un autre emploi. Si je laissais mes franches opinions être publiées dans l'une des parutions de mes journaux, mon emploi s'évaporerait avant vingt-quatre heures. Le boulot du journaliste est de détruire la vérité, de mentir effrontément, de pervertir, de diaboliser, de lécher les pieds de Mammon et de vendre son pays et sa race pour gagner son pain quotidien. Vous le savez et je le sais, et quelle folie est cette célébration d'une presse indépendante ? Nous sommes des pantins, ils tirent les ficelles et nous dansons. Nos talents, nos possibilités et nos vies sont tous la propriété d'autres hommes. Nous sommes des prostitués intellectuels.