Examples of using "Gelangt" in a sentence and their french translations:
vers celui de Christophe,
- Comment es-tu entré dans notre chambre ?
- Comment êtes-vous entré dans notre chambre ?
- Comment êtes-vous entrée dans notre chambre ?
- Comment êtes-vous entrés dans notre chambre ?
Le jury a-t-il rendu son verdict?
- Comment êtes-vous arrivés à cette conclusion ?
- Comment es-tu parvenu à cette conclusion ?
Le gaz carbonique rentre dans le sol grâce au procédé de la photosynthèse :
Thomas ne se souvenait pas de la façon dont il était arrivé là.
En raison de ce que j'ai décrit plus haut, je suis parvenu à une décision différente.
Plus le cœur s'emballe, plus vite le venin se propage dans le corps.
Plus le cœur s'emballe, plus vite le venin se propage dans le corps.
Le même résultat on peut l'obtenir en faisant un calcul rapide et direct, du style de la physique.
Es-tu déjà parvenu a une décision ?
Voici l'adresse et un plan pour arriver à mon bureau.
L'EIIL devient puissante en Syrie, en partie parce qu'Assad tolère sa montée en puissance, car
- Gardez le sable hors de chaque orifice.
- Garde le sable hors de chaque orifice.
Il est plus facile à un chameau de passer par le trou d'une aiguille qu'à un riche d'entrer dans le royaume de Dieu.
- As-tu déjà pris ta décision ?
- Avez-vous déjà pris votre décision ?
- Comment es-tu entré dans ma chambre ?
- Comment es-tu entrée dans ma chambre ?
Un optimiste est quelqu'un qui sait précisément combien le monde peut être triste, tandis qu'un pessimiste est quelqu'un qui redécouvre cette réalité quotidiennement.
Il est plus facile à un chameau de passer par le trou d'une aiguille qu'à un riche d'entrer dans le royaume de Dieu.
Il suffit d’être sorti des rêves de la jeunesse, de tenir compte de l’expérience, de la sienne et de celle des autres, d’avoir appris à se mieux connaître, par la vie, par l’histoire du temps passé et du présent, par la lecture des grands poètes, et de n’avoir pas le jugement paralysé par des préjugés trop endurcis, pour se résumer les choses ainsi : le monde humain est le royaume du hasard et de l’erreur, qui y gouvernent tout sans pitié, les grandes choses et les petites ; à côté d’eux, le fouet en main, marchent la sottise et la malice : aussi voit-on que toute bonne chose a peine à se faire jour, que rien de noble ni de sage n’arrive que bien rarement à se manifester, à se réaliser ou à se faire connaître ; qu’au contraire l’inepte et l’absurde en fait de pensée, le plat, le sans-goût en fait d’art, le mal et la perfidie en matière de conduite, dominent, sans être dépossédés, sauf par instants. En tout genre, l’excellent est réduit à l’état d’exception, de cas isolé, perdu dans des millions d’autres ; et si parfois il arrive à se révéler dans quelque œuvre de durée, plus tard, quand cette œuvre a survécu aux rancunes des contemporains, elle reste solitaire, pareille à une pierre du ciel, que l’on conserve à part, comme un fragment détaché d’un monde soumis à un ordre différent du nôtre.