Examples of using "Daß" in a sentence and their french translations:
- Je sais que je ne sais rien.
- Tout ce que je sais, c'est que je ne sais rien.
Il ment comme un arracheur de dents.
Il pensait écrire quelque chose pour le journal.
J'ai réalisé plus tard que les Pékinois marchent lentement.
Il ment comme un arracheur de dents.
Je ne fais aucun mystère du fait que je trouve la nouvelle orthographe monstrueuse.
- Je sais que je ne sais rien.
- Tout ce que je sais, c'est que je ne sais rien.
- Que quelque chose soit difficile doit être une raison pour le faire.
- Parce que quelque chose est difficile, ça doit être une raison de plus de le faire.
Les femmes mariées sont rarement kidnappées parce que personne n'est sûr que la rançon ne serait jamais payée.
Les femmes s'efforcent de changer les hommes et se plaignent alors qu'ils ne sont plus ce qu'ils étaient.
Alors Jésus arrive de la Galilée au Jourdain, vers Jean, pour être baptisé par lui.
J'ai réalisé plus tard que les Pékinois marchent lentement.
« Probabilité, mais non vérité : impression de liberté mais non liberté » dit une maxime de Friedrich Nietzsche. Il en va de la vérité comme de la grossesse ou de la mort : elle ne peut être à demi. Si la vérité doit encore avoir une signification, elle ne peut pas être une demi-vérité. Cela ne signifie pas que quiconque fera jamais l'expérience de la vérité dans toute son ampleur. L'appréhension de la vérité n'a donc de sens que lorsqu'elle est en rapport avec la conscience qu'une personne a. En tant que meilleur savoir et conscience, elle est absolue.
Bien entendu, le peuple ne veut pas de guerre. Pourquoi est-ce qu'un pauvre gueux dans une ferme voudrait risquer sa vie dans une guerre dont il ne peut espérer au mieux qu'il en reviendra entier ? Naturellement, le commun de la population ne veut pas de guerre ; ni en Russie, ni en Angleterre, ni en Amérique, ni, en ce qui nous concerne, en Allemagne. C'est bien entendu. Mais, après tout, ce sont les dirigeants d'un pays qui en déterminent les lignes d'action, et ce n'est jamais qu'une question simple que d'entraîner le peuple, que ce soit dans une démocratie, une dictature fasciste, un Parlement, ou une dictature communiste. [...] Le peuple peut toujours être converti à la cause des dirigeants. Cela est facile. Tout ce qu'il suffit de faire, c'est de leur dire qu'ils sont attaqués et dénoncer les pacifistes pour leur manque de patriotisme qui expose le pays au danger. Cela marche de la même manière dans tous les pays.