Translation of "Daß" in French

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Examples of using "Daß" in a sentence and their french translations:

Ich weiß, daß ich nichts weiß.

- Je sais que je ne sais rien.
- Tout ce que je sais, c'est que je ne sais rien.

Er lügt, daß sich die Balken biegen.

Il ment comme un arracheur de dents.

Er dachte, daß er etwas für die Zeitung schreiben würde.

Il pensait écrire quelque chose pour le journal.

Mir ist später aufgefallen, daß Pekinger einen langsamen Gang haben.

J'ai réalisé plus tard que les Pékinois marchent lentement.

- Er lügt wie gedruckt.
- Er lügt, daß sich die Balken biegen.

Il ment comme un arracheur de dents.

Ich mache keinen Hehl daraus, daß ich die neue Rechtschreibung scheußlich finde.

Je ne fais aucun mystère du fait que je trouve la nouvelle orthographe monstrueuse.

- Ich weiß, dass ich nichts weiß.
- Ich weiß, daß ich nichts weiß.

- Je sais que je ne sais rien.
- Tout ce que je sais, c'est que je ne sais rien.

Daß etwas schwer ist, muß ein Grund mehr sein, es zu tun.

- Que quelque chose soit difficile doit être une raison pour le faire.
- Parce que quelque chose est difficile, ça doit être une raison de plus de le faire.

Verheiratete Frauen werden selten entführt, weil niemand sicher ist, daß das Lösegeld jemals bezahlt wird.

Les femmes mariées sont rarement kidnappées parce que personne n'est sûr que la rançon ne serait jamais payée.

Die Frauen bemühen sich, den Mann zu ändern, und jammern dann, daß er nicht mehr der alte ist.

Les femmes s'efforcent de changer les hommes et se plaignent alors qu'ils ne sont plus ce qu'ils étaient.

Zu der Zeit kam Jesus aus Galiläa an den Jordan zu Johannes, daß er sich von ihm taufen ließe.

Alors Jésus arrive de la Galilée au Jourdain, vers Jean, pour être baptisé par lui.

- Mir ist später aufgefallen, daß Pekinger einen langsamen Gang haben.
- Später wurde mir klar, dass Pekinger langsam zu Fuß sind.

J'ai réalisé plus tard que les Pékinois marchent lentement.

"Wahrscheinlichkeit, aber keine Wahrheit: Freischeinlichkeit, aber keine Freiheit" sagt ein Spruch von Friedrich Nietzsche. Mit der Wahrheit ist es, wie mit ein bisschen schwanger oder ein bisschen tot. Das gibt es nicht. Wenn Wahrheit noch eine Bedeutung haben soll, dann darf sie keine halbe Wahrheit sein. Das soll aber nicht heißen, daß irgendjemand die ganze Wahrheit in ihrem vollen Umfang jemals erfahren wird. Der Wahrheitsbegriff ist nur dann sinnvoll, wenn er im Zusammenhang mit dem Gewissen eines Menschen gedacht wird. Als bestes Wissen und Gewissen ist er absolut.

« Probabilité, mais non vérité : impression de liberté mais non liberté » dit une maxime de Friedrich Nietzsche. Il en va de la vérité comme de la grossesse ou de la mort : elle ne peut être à demi. Si la vérité doit encore avoir une signification, elle ne peut pas être une demi-vérité. Cela ne signifie pas que quiconque fera jamais l'expérience de la vérité dans toute son ampleur. L'appréhension de la vérité n'a donc de sens que lorsqu'elle est en rapport avec la conscience qu'une personne a. En tant que meilleur savoir et conscience, elle est absolue.

Nun, natürlich, das Volk will keinen Krieg. Warum sollte auch irgendein armer Landarbeiter im Krieg sein Leben aufs Spiel setzen wollen, wenn das Beste ist, was er dabei herausholen kann, daß er mit heilen Knochen zurückkommt? Natürlich, das einfache Volk will keinen Krieg; weder in Rußland, noch in England, noch in Amerika, und ebenso wenig in Deutschland. Das ist klar. Aber schließlich sind es die Führer eines Landes, die die Politik bestimmen, und es ist immer leicht, das Volk zum Mitmachen zu bringen, ob es sich nun um eine Demokratie, eine faschistische Diktatur, um ein Parlament oder eine kommunistische Diktatur handelt. [...] Das Volk kann mit oder ohne Stimmrecht immer dazu gebracht werden, den Befehlen der Führer zu folgen. Das ist ganz einfach. Man braucht nichts zu tun, als dem Volk zu sagen, es würde angegriffen, und den Pazifisten ihren Mangel an Patriotismus vorzuwerfen und zu behaupten, sie brächten das Land in Gefahr. Diese Methode funktioniert in jedem Land.

Bien entendu, le peuple ne veut pas de guerre. Pourquoi est-ce qu'un pauvre gueux dans une ferme voudrait risquer sa vie dans une guerre dont il ne peut espérer au mieux qu'il en reviendra entier ? Naturellement, le commun de la population ne veut pas de guerre ; ni en Russie, ni en Angleterre, ni en Amérique, ni, en ce qui nous concerne, en Allemagne. C'est bien entendu. Mais, après tout, ce sont les dirigeants d'un pays qui en déterminent les lignes d'action, et ce n'est jamais qu'une question simple que d'entraîner le peuple, que ce soit dans une démocratie, une dictature fasciste, un Parlement, ou une dictature communiste. [...] Le peuple peut toujours être converti à la cause des dirigeants. Cela est facile. Tout ce qu'il suffit de faire, c'est de leur dire qu'ils sont attaqués et dénoncer les pacifistes pour leur manque de patriotisme qui expose le pays au danger. Cela marche de la même manière dans tous les pays.