Examples of using "Armer" in a sentence and their french translations:
Pauvre Tom !
Le pauvre petit!
Pauvre de moi.
- C'était un musicien pauvre.
- C'était un pauvre musicien.
Je suis un pauvre charpentier.
C'est un piètre élève.
Vous êtes un pauvre type.
Je ne suis qu'un pauvre étudiant.
Il est né de parents pauvres.
Elle a tout découvert ! Pauvre de moi !
Il était horriblement pauvre quand il était jeune.
- Il était une fois un pauvre homme et une femme riche.
- Il était une fois un pauvre homme et une riche femme.
pauvre général. Il a toujours fait la guerre sans cartes.
Je suis un pauvre étudiant et je ne peux pas vous payer.
Il était une fois un pauvre homme et une femme riche.
Il était une fois un pauvre homme et une femme riche.
- C'était un musicien pauvre.
- C'était un mauvais musicien.
Aristide était tellement honnête qu'il est mort pauvre.
Il était une fois un pauvre homme et une femme riche.
Me voici pauvre fou maintenant et pas plus sage qu'auparavant.
Dans un coin, près de la gare en marbre aux suspensions luxueuses, se trouve assis un pauvre mendiant.
Tom fut triste lorsqu'il découvrit que Marie était une croqueuse de diamants et Marie fut triste lorsqu'elle découvrit que Tom était pauvre.
Seulement lorsqu'il existera un pays où un pauvre mendiant peut devenir chef de l'État, pourrons-nous dire qu'il existe une vraie démocratie.
Pauvre Tom ! Il était amoureux fou au point d'avoir le nom de sa dernière petite amie tatoué sur son bras, et voilà que maintenant, plus aucune autre fille ne veut sortir avec lui.
Bien entendu, le peuple ne veut pas de guerre. Pourquoi est-ce qu'un pauvre gueux dans une ferme voudrait risquer sa vie dans une guerre dont il ne peut espérer au mieux qu'il en reviendra entier ? Naturellement, le commun de la population ne veut pas de guerre ; ni en Russie, ni en Angleterre, ni en Amérique, ni, en ce qui nous concerne, en Allemagne. C'est bien entendu. Mais, après tout, ce sont les dirigeants d'un pays qui en déterminent les lignes d'action, et ce n'est jamais qu'une question simple que d'entraîner le peuple, que ce soit dans une démocratie, une dictature fasciste, un Parlement, ou une dictature communiste. [...] Le peuple peut toujours être converti à la cause des dirigeants. Cela est facile. Tout ce qu'il suffit de faire, c'est de leur dire qu'ils sont attaqués et dénoncer les pacifistes pour leur manque de patriotisme qui expose le pays au danger. Cela marche de la même manière dans tous les pays.