Translation of "L'écrire" in Spanish

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Examples of using "L'écrire" in a sentence and their spanish translations:

- Sais-tu comment l'écrire ?
- Savez-vous comment l'écrire ?

¿Sabes cómo escribirlo?

Tu vas l'écrire?

¿Lo vas a escribir?

Pourriez-vous me l'écrire?

¿Podría escribírmelo?

Ou la capacité de l'écrire,

o la capacidad de escribirlo,

Pouvez-vous l'écrire s'il vous plait ?

¿Puede escribirlo, por favor?

Pourriez-vous l'écrire, s'il vous plaît ?

¿Podrías anotar eso, por favor?

Ça m'a pris plusieurs heures de l'écrire.

- Me llevó varias horas para escribirlo.
- Me tomó varias horas para escribirlo.

Vous n'êtes probablement pas en train de l'écrire,

Probablemente no estés creando guiones,

Laisse-moi l'écrire afin que je ne l'oublie pas.

Deja que lo anote para que no lo olvide.

Vous pouvez l'écrire si vous préférez ou le garder à l'esprit.

Pueden escribirlo si quieren, o solo recordarlo.

- Pouvez-vous l'écrire s'il vous plait ?
- Veuillez en prendre note.
- Veuillez le noter.

¿Puede escribirlo, por favor?

S'il y a quelque chose que vous voulez étudier et raconter, n'hésitez pas à l'écrire.

Si hay algo que quieras investigar y contar, no dudes en escribirlo.

- Je le lui ai fait écrire.
- Je la lui ai fait écrire.
- Je lui ai fait l'écrire.

Le pedí que lo escribiera.

Je connais un hymne géant autant qu'étrange qui dans la nuit de l'âme annonce l'aurore, et ces pages sont les cadences de cet hymne que l'air dilate dans l'ombre. Domptant le rebelle et étroit langage humain, je voudrais l'écrire avec des mots qui seraient, à la fois, soupirs et sourires, couleurs et musique. Mais il est vain de lutter : il n'est point de formule capable de l'emprisonner et c'est à peine, ô ma belle, si mes mains dans la es tiennes, je pourrais, seul, le murmurer à ton oreille.

Yo sé un himno gigante y extraño que anuncia en la noche del alma una aurora, y estas páginas son de ese himno cadencias que el aire dilata en las sombras. Yo quisiera escribirle, del hombre domando el rebelde, mezquino idioma, con palabras que fuesen a un tiempo suspiros y risas, colores y notas. Pero en vano es luchar, que no hay cifra capaz de encerrarle; y apenas, ¡oh, hermosa!, si, teniendo en mis manos las tuyas, pudiera, al oído, cantártelo a solas. (Gustavo Adolfo Bécquer)