Translation of "Souffle" in Portuguese

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Examples of using "Souffle" in a sentence and their portuguese translations:

Le vent souffle.

O vento sopra.

Je reprends mon souffle,

Deixe-me recuperar o fôlego.

Le vent souffle violemment.

- O vento está soprando muito fortemente.
- O vento está soprando com muita força.

Je perds le souffle.

Fiquei sem fôlego.

Elle retint son souffle.

Ela prendeu a respiração.

Tom retint son souffle.

Tom segurou a respiração.

Le vent souffle très fort.

A força do vento está a aumentar.

J'étais à bout de souffle.

Eu fiquei sem ar.

Je n'ai plus de souffle.

Estou sem fôlego.

Il a retenu son souffle.

Ele prendeu sua respiração.

Le vent souffle du nord.

O vento está vindo do norte.

- Pourquoi es-tu à bout de souffle ?
- Pourquoi êtes-vous à bout de souffle ?

- Por que você está sem fôlego?
- Por que vocês estão sem fôlego?

Le vent souffle vers le sud.

O vento sopra em direção ao sul.

Le vent souffle de la mer.

O vento está soprando do mar.

- Souffle les bougies.
- Soufflez les bougies.

- Sopre as velas.
- Apague as velas.

Nous attendions en retenant notre souffle.

Esperamos, prendendo a respiração.

Il a déjà expiré son dernier souffle.

Ele já está exalando o último suspiro.

La vue est à couper le souffle.

A vista é deslumbrante.

- Elle retint son souffle.
- Elle cessa de respirer.

Ela parou de respirar.

- Tom a haleté.
- Tom a eu le souffle coupé.

Tom arfou.

La traduction de son nom veut dire, "souffle de poison".

O seu nome, quando traduzido, significa "Hálito de veneno"

Il souffle beaucoup de vent ce matin, n'est-ce pas ?

Venta muito nesta manhã, não?

J'ai le souffle coupé d'avoir monté les marches quatre à quatre.

Fiquei sem fôlego após correr escadas acima.

L’œuvre à couper le souffle de sa courte vie inaugureront l'ère hellénistique:

As conquistas de tirar o fôlego de sua curta vida introduzida na era helenística, como grego

Peu de temps, et pas un souffle de vent pour propager leurs spores.

Não há tempo nem vento para espalharem os seus esporos.

- Il n'y a pas de vent aujourd'hui.
- Il ne souffle aucun vent aujourd'hui.

Não está ventando hoje.

Je pense qu'il serait utile de se pencher dans quelle direction le vent souffle.

Eu acho que seria útil inclinar em que direção o vento sopra.

L'eau peut descendre jusqu'à huit ou neuf degrés. Le froid vous coupe le souffle.

A água desce até aos oito, nove graus Celsius. O frio tira-nos o fôlego.

- Il a retenu sa respiration.
- Il a retenu son souffle.
- Il retint sa respiration.

- Ele conteve a respiração.
- Ele prendeu a respiração.

" Jupiter même aux Grecs souffle un feu belliqueux, / excite les mortels, et soulève les dieux. "

"O próprio Júpiter os gregos encoraja, / redobra-lhes as forças, e ele mesmo / instiga os imortais contra Dardânia."

En hiver, j'aime rester à la maison, près du feu, et écouter le souffle du vent.

No inverno, eu queria ficar em casa, perto da lareira, escutando o vento soprar.

- Vous ne pouvez pas vous tuer en retenant votre souffle.
- Tu ne peux pas te tuer en retenant ta respiration.

Você não pode se matar prendendo o fôlego.

En hiver dans l'est de la France : Le ciel est bleu, le soleil brille mais quand la bise souffle, il fait très froid.

Inverno, leste da França: o céu é azul, o sol brilha, mas quando o vento sopra, faz muito frio.

Le jour fuit, un second s'écoule dans la joie ; / mais l'autan a soufflé, la voile se déploie, / et son souffle sur l'onde appelle nos vaisseaux.

Passam-se os dias velozmente; faz bom tempo / e dos austros ao sopro as velas intumescem, / convidativas apontando para o mar.

Ils partent : l'aquilon gonfle, en sifflant, leurs voiles ; / au gré du souffle heureux qui frémit dans leurs toiles, / ils fendent de la mer les bruyants tourbillons, / et la proue en fuyant laisse au loin ses sillons.

Os austros o velame logo enfunam / e céleres vogamos pelas ondas / espumosas, seguindo a rota que nos traçam / tanto o piloto quanto os próprios ventos.

Des lieux les plus obscurs nous traversons l'horreur ; / et moi, qui tant de fois avais vu sans terreur / et les bataillons grecs et le glaive homicide, / une ombre m'épouvante, un souffle m'intimide ; / je n'ose respirer, je tremble au moindre bruit, / et pour ce que je porte, et pour ce qui me suit.

Pelos caminhos mais escuros avançamos; / e eu, que há pouco enfrentava destemido / chuvas de dardos e o ataque das cerradas / colunas gregas, fico agora apavorado / a cada sopro da mais leve brisa: / cada ruído me assusta e faz temer, / ao mesmo tempo, por quem trago às costas / e por aquele que conduzo pela mão.

Anchise prend un vase orné d'une guirlande ; / et, joignant la prière à sa liquide offrande, / debout sur le tillac, s'écrie : " O dieu des flots ! / Vous qui leur commandez le trouble et le repos, / et vous, dieux du rivage, écoutez ma prière : / " Dieux puissants, nous touchons au bout de la carrière : / encore un vent propice, encore un souffle heureux. "

Então meu pai Anquises / cinge de uma grinalda grande taça, / enche-a de vinho puro e invoca os deuses, / de pé no alto da popa: “Grandes numes, / que poder tendes sobre o mar e a terra, / ó senhores do tempo, concedei-nos / ventos propícios e feliz navegação!”

Il fuit, le héros reste : on s'étonne, et la foule / admire tant de grâce et tant de majesté. / Vénus même à son fils prodigua la beauté, / versa sur tous ses traits ce charme heureux qui touche : / elle-même en secret d'un souffle de sa bouche / imprime sur son front, allume dans ses yeux, / ce doux éclat qui fait la jeunesse des dieux, / en boucles fait tomber sa belle chevelure, / et pour lui de ses dons épuise sa ceinture. / C'est un dieu, c'est son fils. Bien moins resplendissant / sort d'une habile main l'ivoire éblouissant ; / ainsi l'art donne au marbre une beauté nouvelle ; / ou tel, entouré d'or, le rubis étincelle.

Na claridade, Eneias aparece, / qual um deus no semblante e na postura; / com seu sopro divino, a genitora / dera ao filho formosa cabeleira, / da juventude o róseo viço e a sedutora / graça que de seus olhos se irradiava: / qual pelas mãos do artista se realça / do marfim a beleza, ou quando em rútilo ouro / se engasta a prata ou o mármore de Paros.

Docile au sage avis du divin interprète, / Anchise ordonne alors que la flotte s'apprête, / qu'on rattache la voile, et qu'aux vents fortunés / ses plis prêts à s'ouvrir flottent abandonnés. / Hélénus en ces mots honore sa vieillesse : / " Mortel chéri des dieux, époux d'une déesse, / qui deux fois échappas aux malheurs d'Ilion, / cette Ausonie, objet de ton ambition, / d'ici ton œil la voit, ton espoir la possède ; / mais, pour atteindre au lieu que le destin te cède, / il faut raser ses bords, et par de longs chemins, / voyageur patient, gagner ces champs lointains. / Adieu, vieillard heureux, encor plus heureux père ! / Adieu : déjà l'autan, de son souffle prospère, / sur une mer propice appelle vos vaisseaux. / Adieu : mes souvenirs vous suivront sur les eaux. "

Aprestar os navios manda Anquises, / para largar enquanto o vento é favorável. / Respeitoso, dirige-lhe a palavra / o intérprete de Apolo: “Anquises, tu que foste / considerado digno da sublime / união com Vênus, ó mortal aos deuses caro, / que foste salvo de ambos os excídios / de Pérgamo, eis da Ausônia a terra é teu solar; / solta as velas e vai a ela aportar. / Mas é preciso que navegues para além / da costa próxima, porque da Ausônia a parte / que te franqueia Apolo, fica do outro lado. / Parte, ó pai venturoso, que contigo / levas o amor e a devoção do nobre filho. / E é só, não devo retardar-te com discursos, / quando os austros começam a soprar.”

Seul m'y pousse l'espoir que le lecteur - je devrais dire : le futur lecteur ; car pour l'instant, il n'y a absolument pas la moindre chance que mes écrits puissent sortir de l'ombre et être connus du public, - à moins qu'ils ne puissent un par miracle quitter notre forteresse menacée de toutes parts qu'est l'Europe et apprter à ceux du dehors un souffle des paraboles de notre solitude; - je sollicite la permission de recommencer : ce n'est que parce que je compte que l'on souhaitera être incidemment au courant de l'identité et de la personnalité de l'écrivain que je place avant ces publications ces quelques notes sur ma propre personne - non sans, bien sûr, susciter précisément par cela le doute parmi le lecteur, qui se trouve également entre bonnes mains, autrement dit : si, de tout mon être, je suis la personne avisée pour l'exécution d'une tâche à laquelle le cœur m'attire peut-être plus que toute relation qualifiante.

Somente o pressuposto de que o leitor - ou melhor dizendo, o provável leitor, porque até o momento não há a menor perspectiva dos meus textos verem a luz da publicidade - a menos que miraculosamente deixassem a nossa ameaçada fortaleza Europa e levassem um sinal dos segredos da nossa solidão àqueles lá fora; - rogo que me permitam recomeçar: somente porque antecipo o desejo de serem informados casualmente sobre o quem e o quê do autor, envio algumas poucas notas a respeito de meu próprio indivíduo antes destas aberturas - claro, não sem a consciência de que exatamente ao fazê-lo posso provocar dúvidas no leitor, de que está nas mãos corretas, ou seja: se eu, em todo meu ser, sou o homem correto para um trabalho ao qual talvez o coração me atraia mais do que qualquer relação qualificante em caráter.