Translation of "Proie" in Portuguese

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Examples of using "Proie" in a sentence and their portuguese translations:

- La mort cherche sa proie.
- La Camarde cherche sa proie.

A morte está à procura de sua presa.

La proie idéale pour elle.

É a sua melhor hipótese de matar uma presa.

L'aigle plongea sur sa proie.

A águia mergulhou sobre sua presa.

Une plus petite proie, peut-être ?

Talvez um alvo menor.

Un ours adolescent mange une proie.

Um urso adolescente... ... com uma presa morta.

Leur donne l'avantage sur leur proie.

... o que lhes conferem vantagem sobre as presas.

Elle s'est posée sur sa proie.

atirar a teia por cima.

Les faucons sont des oiseaux de proie.

Falcões são aves de rapina.

L'imagerie thermique révèle qu'elle a tué une proie.

As imagens térmicas revelam uma presa acabada de matar.

Trop sombre, ils ne distinguent pas leur proie.

Se estiver muito escuro, não conseguem ver a presa.

Cette fois la fourmi n'est pas une proie

desta vez a formiga não é presa

Mais il a besoin de lumière pour voir sa proie.

Mas precisa de luz para ver a presa.

Elle doit amener ses petits jusqu'à la proie, et vite.

Tem de levar as crias até à presa morta, sem demora.

Une cuve de fluide digestif va dissoudre lentement sa proie.

Uma cuba de fluido digestivo que dissolve lentamente as presas.

Lui permettant de repérer sa proie avec une précision mortelle.

o que lhe permite localizar as presas com uma precisão letal.

Le crabe a ce problème d'être la proie d'un animal liquide.

O problema, quando se é caranguejo, é seres caçado por um animal líquido.

- Les éperviers sont des oiseaux de proie.
- Les éperviers sont des rapaces.

Gaviões são aves de rapina.

- Plusieurs immeubles étaient en feu.
- Plusieurs immeubles étaient la proie des flammes.

Vários prédios estavam em chamas.

- Les faucons sont des oiseaux de proie.
- Les faucons sont des rapaces.

Falcões são aves de rapina.

"Voilà une proie typique." Je trouve des proies, des traces dans le sable,

"Certo, está a matar estes animais." Então, procuro mortes, pequenas marcas, escavações na areia,

- Les autours des palombes sont des oiseaux de proie.
- Les autours des palombes sont des rapaces.

Açores são aves de rapina.

On disait dans le livre: "Les serpents avalent leur proie sans la mâcher; ensuite ils dorment".

Dizia-se no livro: "As serpentes engolem as presas sem as mastigar; e depois vão dormir."

J’étais, le jour, en proie au hâle et aux frimas la nuit ; et le sommeil fuyait de mes yeux.

De dia o calor me castigava, e de noite eu morria de frio. E quantas noites passei sem dormir!

Mais c'était en journée, en faisant son travail que le biologiste, Richard Fitzpatrick, est devenu la proie d'un oursin en colère.

Mas foi durante o dia, a fazer o seu trabalho, que o biólogo marinho Richard Fitzpatrick foi vítima dum ouriço-do-mar chateado.

Là, sous un long portique, asile de Junon, / déjà le vieux Phénix, et l'horreur d'Ilion, / Ulysse, des vainqueurs gardent la riche proie.

Já nos pórticos desertos / do santuário de Juno o execrável Ulisses / e Fênix, guardas escolhidos, tomam conta / do esplêndido butim.

Il dit ; et de plus près / les flammes cependant menacent le palais ; / et, d'un cours plus rapide avançant vers leur proie, / en tourbillons fougueux leur fureur se déploie.

Já mais distinto o crepitar das chamas, / que a cidade devoram, faz-se ouvir, / de mais perto chegando as ondas de calor.

Sur eux, le fer en main, nous fondons avec joie, / et nos dieux sont admis à cette riche proie. / Une table, dressée au bord courbé des mers, / se couvre de ces mets par le hasard offerts.

De espada em punho acometemos. Ofertamos / parte da presa ao Rei do Olimpo e aos outros deuses; / sobre leitos de relva na enseada, / com lauta refeição nos regalamos.

Mais la faim presse : alors leur diligente main / dépouille avec ardeur leur sauvage butin, / divise par le fer la proie encor vivante, / enfonce un bois aigu dan la chair palpitante ; / d'autres sur des trépieds placent l'airain bouillant, / que la flamme rapide embrase en petillant.

Agora todos vão cuidar da caça / e o próximo repasto preparar. / Alguns esfolam, outros evisceram / os animais; da carne palpitante / estes cortam pedaços e os enfiam / nos espetos; aqueles já colocam / na praia os caldeirões de bronze e o fogo atiçam.

Tout fuit épouvanté. Le couple monstrueux / marche droit au grand prêtre ; et leurs corps tortueux / d'abord vers ses deux fils en orbe se déploie, / dans un cercle écaillé saisit sa faible proie, / l'enveloppe, l'étouffe, arrache de son flanc / d'affreux lambeaux suivis de longs ruisseaux de sang.

Ante a visão chocante, espavoridos / precipitamo-nos em várias direções. / Determinadas, as serpentes correm / até Laocoonte, mas primeiro / enlaça cada qual do antiste um filho, / e as infelizes presas, a dentadas, / têm devorados seus pequenos corpos.

Le vieillard, à ces mots, / de son cœur oppressé poussant de longs sanglots : / " Il est, il est venu ce jour épouvantable, / ce jour de nos grandeurs le terme inévitable : / Ilion, les Troyens, tout est anéanti. / De Jupiter sur nous le bras appesanti / livre aux enfants d'Argos leur malheureuse proie. "

Mal lhe faço as perguntas, me responde / em soluços: “Dardânia viu chegar / seu derradeiro dia, o inelutável fim. / Ílio acabou, troianos já não somos; / da teucra estirpe ora se esfuma a excelsa glória. / Júpiter inclemente a mais completa / vitória concedeu aos filhos de Argos, / que sobre Troia em chamas senhoreiam."

Elle baisse les yeux ; et, s'exprimant à peine : / " Que je te porte envie, heureuse Polyxène ! / Ton cœur ne connut pas les douceurs de l'hymen ; / mais du moins tu péris sous les remparts de Troie, / mais les arrêts du sort qui choisissait sa proie / n'ont pas nommé ton maître, et, captivant ton cœur, / mis la fille des rois aux bras de son vainqueur. "

Cabisbaixa e em voz débil me responde: / “De todas nós a mais feliz foi Polixena, / filha de Príamo, imolada sobre a campa / de Aquiles, junto aos muros elevados / de Troia, sem assim ter conhecido / a prova degradante do sorteio, / nem cativa ter tido de habitar / a alcova senhoril do indigno vencedor."

Tout l'irrite à la fois, et sa haine bravée / vit au fond de son cœur profondément gravée. / Aussi, du Latium fermant tous les chemins / aux vaincus épargnés par les Grecs inhumains, / sa haine insatiable en tous lieux suit sa proie, / et défend l'Ausonie aux grands destins de Troie : / l'inflexible destin, secondant son orgueil, / de rivage en rivage, et d'écueil en écueil, / prolongeait leur exil.

Inflamada por esses sentimentos, / para longe do Lácio ela afastava, / atirados por todo o imenso mar, / os bem poucos troianos que escaparam / dos ardis dos aqueus e do bárbaro Aquiles. / E, joguetes da sorte, eles erravam / de mar em mar havia muitos anos.

" Si d'un peuple proscrit rien ne doit échapper, / si, pour que le destin n'aît plus rien à frapper, / tu veux joindre les tiens aux ruines de Troie, / attends : voici Pyrrhus qui vient chercher sa proie – / Pyrrhus qui fait tomber, sous le glaive cruel, / le fils aux yeux du père, et le père à l'autel : / du meurtre de nos rois encore dégouttante, / bientôt de notre sang sa main sera fumante. "

"Se é desejo do céu que nada reste / de tão nobre cidade e se persistes / no intento de somar aos escombros de Troia / os teus restos mortais e a nossa ruína, / o caminho está aberto: que entre a morte. / Lá do lugar que ele cobriu do sangue / régio de Príamo, não tarda a vir / esse Pirro que soube assassinar / diante do pai um filho, e o pai ante os altares."

L'été s'ouvrait à peine ; à l'orageux Neptune / mon père me pressait de livrer ma fortune. / D'un peuple fugitif j'assemble les débris ; / les yeux en pleurs, je pars ; je fuis ces bords chéris, / ces antiques remparts dont Vulcain fit sa proie, / et les toits paternels, et les champs où fut Troie ; / et, sur l'onde exilé, j'emmène en d'autres lieux, / et mon père, et mon fils, et mon peuple, et mes dieux.

Logo que chega a primavera, Anquises manda / largar as velas aos caprichos do destino. / Então com lágrimas nos olhos vou deixando / o porto, o pátrio litoral, toda a planície / onde um dia foi Troia. Ao mar me entrego, / qual exilado, com meu filho, os companheiros, / nossos penates, nossos grandes deuses.

" Ô des Grecs le plus brave et le plus formidable, / fils de Tydée, hélas ! sous ton bras redoutable, / dans les champs d'Ilion, les armes à la main, / que n'ais-je pu finir mon malheureux destin ; / dans ces champs où d'Achille Hector devint la proie, / où le grand Sarpédon périt aux yeux de Troie, / où le Xanthe effrayé roule encor dans ses flots / les casques et les dards, et les corps des héros ! "

"Ó filho de Tideu, / ó tu, que és o mais bravo dentre os Gregos! / Pensar agora que morrer não pude / nos pátrios campos de batalha, sob os golpes / de teu potente ataque; onde o valente Heitor / jaz abatido por certeiro dardo / do neto de Éaco; lá, onde tombou / o gigante Sarpédon, e onde o Símois, / pela corrente arrebatados, rola ainda / tantos escudos, capacetes, corpos / de robustos guerreiros imolados!”

" Que de grâces / ne vous devons-nous pas, ô vous que nos disgrâces / ont seule intéressée ! En proie à tant de maux, / triste jouet des Grecs, de la terre et des eaux, / lorsque nous n'avons plus dans notre sort horrible / qu'un souvenir affreux, qu'un avenir terrible, / c'est vous dont les bontés à vos sujets chéris / daignent associer de malheureux proscrits ! / Et comment acquitter notre reconnaissance ? / Tous en ont le désir, mais aucun la puissance. / Tous les Troyens épars dans l'univers entier / ne pourraient de vos soins dignement vous payer. "

"Ó bondosa rainha, / só tu te compadeces das desgraças / indizíveis de Troia, e humanamente acolhes, / nesta cidade e em teu palácio, a nós, / remanescentes do furor dos gregos, / esgotados por todas as desditas / que na terra e no mar nos atingiram, / despojados de tudo. Ó Dido, nós não vemos / como condignamente agradecer-te, / nem que contássemos com todos os dardânios / por este imenso globo dispersados".