Translation of "Fuis" in Portuguese

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Examples of using "Fuis" in a sentence and their portuguese translations:

Pourquoi tu me fuis ?

- Por que foges de mim?
- Por que você foge de mim?

- Fuyez !
- Fuyons !
- Fuyez.
- Fuis.

- Corra.
- Fuja.

" Fuis ; calme un vain courroux : fuis, c'en est fait. Ta mère / va protéger tes pas, et te rendre à ton père. "

"Foge depressa, filho, à lida vã põe termo. / A teu lado estarei até deixar-te / em segurança junto ao lar paterno.”

" Mais fuis la mer perfide et la côte d'Épire : / des Grecs nos ennemis ce bord est infesté. "

"Estas partes, porém, do litoral da Itália / mais próximas de nós, e que se banham / nas mesmas águas deste nosso mar, evita, / que estão de aqueus perversos infestadas."

Enfin nous échappons de cette ville en cendre. / Nous nous croyions sauvés, lorsque je crois entendre / d'un bataillon nombreux les pas précipités ; / et, dans l'ombre jetant ses yeux épouvantés, / " Fuis, cours, fuis ! je les vois, je vois briller leurs armes ! " dit mon père.

Já me encontrava perto da saída, / já passado o perigo acreditava, / quando ouvimos um súbito tropel. / Lobrigando na treva, meu pai grita: / “Filho, apressa-te, filho, estão chegando! / Lampejo de armas vejo e escudos reluzentes.”

Il ne me répond rien. Puis, d'un ton plein d'effroi, / poussant un long soupir : " Fuis, dit-il, sauve-toi ; / sauve-toi, fils des dieux ; contre nous tout conspire : / il fut un Ilion, il fut un grand empire. / Tout espoir est perdu ; fuis : tes vaillantes mains / ont fait assez pour Troie, assez pour nos destins. / Notre règne est fini, notre heure est arrivée. "

Não se importa / com minhas vãs perguntas, mas, soltando / longo suspiro, diz, com grande esforço: / “Foge, ó filho de Vênus, que a cidade / em poder do inimigo, em chamas se consome; / de seu fastígio Troia hoje desaba. / Bastante já fizemos pela pátria / e pelo rei."

" Fils d'Anchise, pourquoi, souillant des mains si pures, / viens-tu troubler mon ombre et rouvrir mes blessures ? / Hélas ! respecte au moins l'asile du trépas ; / d'un insensible bois ce sang ne coule pas. / Cette contrée a vu terminer ma misère ; / mais celle où tu naquis ne m'est point étrangère : / épargne donc ma cendre, ô généreux Troyen ! / Ma patrie est la tienne, et ce sang est le mien. / Ah ! fuis ces lieux cruels, fuis cette terre avare : / j'y péris immolé par un tyran barbare. / Polydore est mon nom ; ces arbustes sanglants / furent autant de traits qui percèrent mes flancs. / La terre me reçut ; et, dans mon sein plongée, / leur moisson homicide en arbres s'est changée. "

“Por que razão, Eneias, dilaceras / este infeliz? Oh, deixa-me sepulto! / Evita conspurcar as mãos piedosas. / Não sou estranho para ti – gerou-me Troia – / nem da planta este humor está manando. / Oh! Foge destas plagas desumanas, / foge da terra da cobiça e da avareza. / Sou Polidoro: neste sítio me prostraram / sob uma chuva de assassinas flechas, / hoje em pontudas hastes convertidas.”

L'été s'ouvrait à peine ; à l'orageux Neptune / mon père me pressait de livrer ma fortune. / D'un peuple fugitif j'assemble les débris ; / les yeux en pleurs, je pars ; je fuis ces bords chéris, / ces antiques remparts dont Vulcain fit sa proie, / et les toits paternels, et les champs où fut Troie ; / et, sur l'onde exilé, j'emmène en d'autres lieux, / et mon père, et mon fils, et mon peuple, et mes dieux.

Logo que chega a primavera, Anquises manda / largar as velas aos caprichos do destino. / Então com lágrimas nos olhos vou deixando / o porto, o pátrio litoral, toda a planície / onde um dia foi Troia. Ao mar me entrego, / qual exilado, com meu filho, os companheiros, / nossos penates, nossos grandes deuses.